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philosophie de l'art

Publié le 18/01/2014

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philosophie
L'Art Introduction: L'art est apparu en même temps que l'homme, on a coutue d'associer l'appartion de l'Homo Sapiens et celle de l'art qui instaure un nouveau type de rapport de l'homme au monde. Homo Habilis est succédé par l'homo sapiens. L'homo habilis (2 millions d'années avant notre ère) est celui qui frabrique des outils, capable de mettre en place des moyens pour parvenir à une fin et de détourner un objet de la nature de sa fonction ou de lui attribuer une fonction autre que celle qu'il avait au départ. Capacité de l'homme à prendre uen distance par rapport à la nature pour subvenir à ses besoins, qui va placer l'homme du côté de la technique et le dissocier de la nature. L'homo sapiens peut aussi décorer les outils (gravures), produire des objets qui ne sont pas utiles (statues, art mobilier, Venus hottentote par exemple), produire un art pariétal (capacité de représenter le monde). Il se distingue moins de l'homo habilis par sa connaissance que par sa capacité à s'exprimer par l'art. Sapiens du terme sapor; le goût, qui donne sapienta, la sagesse. Distinction se fait, outre les caractères physiologiques, et ceux sont descriptibles en terme d'attitude. Lascaux ou La naissance de l'art de Bataille , dans lequel il insiste sur le fait que, à Lascaux, ce n'est pas simplement que l'homme se distingue de l'animal en le dessinant, c'est qu'en représentant, l'animal, il se différerait de sa propre animalité, dans la mesure même où il est consicent de sa représentation. Assujetissement aux besoins (chasse), il se sépare cependant de sa condition animale. On se sépare de ce rapport au monde fondé sur la survie et les besoins. Figure qui ne correspond à aucun animal répertorié à l'époque, la ''licorne de Lascaux'', animal avec un muffle carré de felin, des pattes de rhynocéros et deux cornes immenses, animal imaginaire par lequel l'homme se distingue encore plus de la nature, capacité d'imagination de l'homme qui fait basculer ses représentations de l'art, on n'est plus du côté des besoins ni même des représentations mais de l'imagination. La licorne de Lascaux renvoie à l'identification de critères importants qui permet de aprler d'art. L'art a un caractère qui est celui de suspendre la représentation utilitaire au monde (bien qu'il y ait quand même un but, finalité sans fin). Il n'est pas dépourvu de finalité mais n'a pas de but utilitaire. L'art peut avoir une fin en soi, alors que l'outil, du côté de la technique, est un moyen de représentation utilitaire. On peut aussi opposer l'homo habilis (homo faber) centré sur le travail et l'homo sapiens, fondé sur une utilité fondée sur le ''jeu''. Bataille dit que l'homo sapiens est avant tout un homo ludens (l'homme qui joue). L'homo ludens est la capacité de se détacher de la réalité, de suspendre le caractère utile. Du côté de sa production ou de sa contemplation, elle amène au plaisir. Le terme de ''jeu'' pour caractériser l'activité esthétique est souvent utilisée. Nietsche sous la fifure de Dyonisos évoquera cette forme de l'art (jeu). ''Jamais un coup de dé n'abolira le hasard'', rapport entre l'activité poétique et le jeu. Le paradigme du jeu est quelque chose qui concerne en soi son propre plaisir (contrairement au travail dont la finalité amène au plaisir). Suspension du rapport entre art et finalité . L'art ne consiste pas simplement à se détacher de la réalité, il apparaît aussi comme une manière de constituer une autre réalité. À l'activité ludique par laquelle l'enfant s'échappe du réel, l'art apparaît aussi constitutif de formes. L'art n'est pas que divertissement, il est consitutif d'un autre monde. Hannah Arendt le montre dans Condition de l'homme moderne, elle distingue la sphère de l'action de celle du travail, de l'oeuvre proprement artistique. Caractère physiologique du travail. Le travail est cyclique, voué à disparaître comme l'exitence. Une oeuvre permet de saisir ce qui ne passe pas. L'art est éphémère. Distance par rapport au temps, à la nature, permet de mettre l'art du côté d'une certaine spontanéité, liberté. L'art est une activité qui témoigne de la liberté humaine, d'abord parce qu'au premier abord, il est une manière de se limiter aux données naturelles, de se détacher du passé. L'art exerce une liberté envers le passé, rapport spécial passé/art. Venus d'Urbino (Titien) et l'Olympia (Manet). Figures de la nudité sont des déesses, des figures mythologiques. Manet, cependant, change cette vision. Tout artiste ne fait pas comme si il était le premier. Il conserve un rapport à l'histoire. Cyrulnib (Boris), psychanaliste, spécialiste du comportement animal, concept de résilience, capacité de surmonter un traumatisme très fort venant de l'enfance par l'art. Même lorsque l'art imite la nature, (Hegel) on peut considérer qu'il exerce sa liberté contrairement au crabe décorateur (crabe qui, pour échapper à ses prédateurs, prend tout ce qu'il y a autour de lui pour se déguiser). Si on peut dire que l'art est une activité gratuite, désintéressée, une manière d'échapper au temps du quotidien, de constituer un monde dont le caractère et d'une manière, d'exercer sa liberté et une manière particulière de donner au monde un sens humain, à tous ces titres, l'art a pu intéresser la philosophie. Elle peut s'apparenter à un type d'activité similaire, donner un sens au monde, aller vers une activité qui se détache de la catégorie du travail. Posture du philosophe qui parle d'un monde dont il se soustrait. Elle se détache aussi des dimensions vitales (du travail) et se distancie de ce qui est reçu du monde. Faire apparaître le monde d'une autre manière. Enfin, manière commune de se situer par rapport au monde, n'est pas d'apporter des réponses mais de poser des questions, de donner du sens à partir d'elles. Interrogation des rapports art/sens, savoir/goût esthétique. Rapport conflictuel philosophie/art, manière d'aborder l'art par la philosophie pour s'en distinguer, conflit entre l'art (dépourvu de savoir, de rigueur) et le sens. ''L'art dégage un sens qui appartient à la philosophie de déceler'' (Hegel et Platon). Le sens de l'art (celui qu'il a lui-même, sens subjectif, comme la crainte des ennemis (qu'ils éprouvent) et celui qu'on lui donne, sens objectif). On peut au contraire considére qu'il a un sens qui lui vient de lui. Dévoiler quelque chose comme un sens innérent à l'art, qui n'appartient qu'à l'art de révéler. Manière d'être attentif à ce sens particulier et singulier que l'art véhicule seul. Cette révolution est l'esthétique, consiste à être attentif au sens de l'art. Aesthetis. L'art donne du sens et enseigne à la philosophie une manière particulière de donner du sens. Dans les écrits d'artiste de la bibliographie, Paul Klee, Théorie de l'art moderne . Le peintre de la vie moderne de Baudelaire est nécessaire. Ces deux textes sont les plus conseillés dans ces écrits d'artistes. On peut ajouter La distinction de Bourdieu. SAVOIR MANIER D'AUTRES DOMAINES QUE LE DOMAINE PHILOSOPHIQUE. L'art est souvent présent chez Platon. La philosophie qui pense l'art pense que l'art ne pense pas. La philosophie qui, elle, prétend être du côté de la vérité (chez Platon), et de l'essence des choses juge que l'art est du côté du faux et de l'apparence. Ce terme même d'art ne correspond pas exactement ce que Platon en dit dans son texte, il n'y a pas de réelle réflexion sur l'art, il s'intégre sur la technè. Il s'agit du champ d'une production qui consiste à articuler des moyens pour atteindre une fin. Il recoupe la technique d'un menuisier comme le travail d'un peintre. Texte extrait du Sophiste, dialogue entre l'étranger et Théétète Le texte s'ancre dans une critique sophiste, cette figure qui exerce un certain nombre de fonctions dans la cité. Il élargit la catégorie du sophiste à une catégorie ontologique, quelque soit ce qui est évoqué dans les textes de Platon, rapport à l'être, au bien, au vrai et au beau (ici). Dans cette catégorie de sophiste vient se loger l'artiste, critiqué dans ce texte. Il s'agit d'une tentative de faire passer l'art par la raison (roi) pour la critiquer. Livre 7 de la République, allégorie de la caverne . L'artiste est le marionnettiste, il montre des marionnettes à ses spectateurs (ceux qui contemplent les images sur les murs). Problématique de la mimesis. Les marionnettes sont des simulacres d'êtres. L'être est représenté par le soleil (la vérité). Eidos veut dire idée et forme, il est caractérisé pour Platon comme le premier degré, le modèle, le lieu du vrai, de l'être, de l'essence, caractérisé apr une mimesis comme étant le modèle. En dessous, il y a la production de l'artisan qui produit allégoriquement les marionnettes. Enfin, il y a l'artiste, montreur de marionnettes qui produit les reflets de ces images. Les spectateurs des oeuvres d'art sont les prisonniers. Celui qui fait les marionnettes est déjà en train d'imiter une partie de la nature. Il ne se fonde pas sur l'idée du chat mais sur une imitation de l'idée du chat. L'artiste est donc à deux degrés du modèle. Le simulacre vient à côté d'un autre terme, la copie. L' eidolon est la ''copie'', il est la copie de l'eidos (''idée''). La copie est l'imitation de l'idée. Le simulacre est le phantasma, c'est-àdire le côté des ombres. Il s'agit d'une imitation de la copie de l'idée. L'artiste est celui qui est le plus éloigné de l'être, du réel. Les ombres sont les ''simulacres'', les marionnettes sont les ''copies'', le soleil est l'''idée''. Ils n'imitent pas la réalité, ils cherchent volontairement à déformer cette réalité afin d'atteindre la beauté. C'est la perspective, il faut s'adapter à l' oeil. Ce qui compte est la manière dont l' oeuvre va être vue. L'origine de toute vision n'est pas important, ce qui importe est le point de vue du spectateur. Platon reproche à l'artiste de ne rechercher que l'esthétique et de déformer la réalité pour atteindre ce but, il la déforme sciemment pour produire non pas quelque chose de réel mais d'apparent, de sensible. Ils sont attachés aux sensations, ils sont dans le ''voir'' et l'''entendre'', ils ne réflechissent pas les images, ils sont prisonniers du sensible (et de l'opinion). Ils veulent ce qui est agréable à la vie, donc beau. Ce qui est vraisemblable (semblable au vrai) et donc pas du côté du vrai. Le pharmakon est du côté des ombres, c'est le remède et le poison (dans le Phèdre de Platon), c'est la couleur des peintres, les sortilèges (prestiges), le terme ambivalent pour désigner la drogue médicale (ce qui fait du bien et du mal). Il situe son discours à un moment où la epinture dégènère en Grèce dans les ''trompe l' oeil'', époque qu'il juge dégradé, où les peintres rivalisent pour faire une imitation la plus proche possible de la réalité. Les artistes visent à reproduire les idées et non pas la réalité (un oeil dans les fresques égyptiennes représentent l'âme, et donc l'intelligible, l'idée et non pas la réalité. L'art de la copie est l'art de reproduire les choses dans des proportions réelles. L'art du simulac...
philosophie

« spontanéité, liberté.

L'art est une activité qui témoigne de la liberté humaine, d'abord parce qu'au premier abord, il est une manière de se limiter aux données naturelles, de se détacher du passé.

L'art exerce une liberté envers le passé, rapport spécial passé/art. Venus d'Urbino (Titien) et l'Olympia (Manet).

Figures de la nudité sont des déesses, des figures mythologiques.

Manet, cependant, change cette vision.

Tout artiste ne fait pas comme si il était le premier.

Il conserve un rapport à l'histoire.

Cyrulnib (Boris), psychanaliste, spécialiste du comportement animal, concept de résilience, capacité de surmonter un traumatisme très fort venant de l'enfance par l'art. M ême lorsque l'art imite la nature, (Hegel) on peut considérer qu'il exerce sa liberté contrairement au crabe décorateur (crabe qui, pour échapper à ses prédateurs, prend tout ce qu'il y a autour de lui pour se déguiser).

Si on peut dire que l'art est une activité gratuite, désintéressée, une manière d'échapper au temps du quotidien, de constituer un monde dont le caractère et d'une manière, d'exercer sa liberté et une manière particulière de donner au monde un sens humain, à tous ces titres, l'art a pu intéresser la philosophie. Elle peut s'apparenter à un type d'activité similaire, donner un sens au monde, aller vers une activité qui se détache de la catégorie du travail.

Posture du philosophe qui parle d'un monde dont il se soustrait.

Elle se détache aussi des dimensions vitales (du travail) et se distancie de ce qui est reçu du monde.

Faire apparaître le monde d'une autre manière. Enfin, manière commune de se situer par rapport au monde, n'est pas d'apporter des réponses mais de poser des questions, de donner du sens à partir d'elles.

Interrogation des rapports art/sens, savoir/goût esthétique. Rapport conflictuel philosophie/art, manière d'aborder l'art par la philosophie pour s'en distinguer, conflit entre l'art (dépourvu de savoir, de rigueur) et le sens.

''L'art dégage un sens qui appartient à la philosophie de déceler'' (Hegel et Platon).

Le sens de l'art (celui qu'il a lui-même, sens subjectif, comme la crainte des ennemis (qu'ils éprouvent) et celui qu'on lui donne, sens objectif).

On peut au contraire considére qu'il a un sens qui lui vient de lui.

Dévoiler quelque chose comme un sens innérent à l'art, qui n'appartient qu'à l'art de révéler.

Manière d'être attentif à ce sens particulier et singulier que l'art véhicule seul.

Cette révolution est l'esthétique, consiste à être attentif au sens de l'art.

Aesthetis.

L'art donne du sens et enseigne à la philosophie une manière particulière de donner du sens. Dans les écrits d'artiste de la bibliographie, Paul Klee, Théorie de l'art moderne .

Le peintre de la vie moderne de Baudelaire est nécessaire.

Ces deux textes sont les plus conseillés dans ces écrits d'artistes.

On peut ajouter La distinction de Bourdieu. SAVOIR MANIER D'AUTRES DOMAINES QUE LE DOMAINE PHILOSOPHIQUE. L'art est souvent présent chez Platon.

La philosophie qui pense l'art pense que l'art ne pense pas.

La philosophie qui, elle, prétend être du côté de la vérité (chez Platon), et de l'essence des choses juge que l'art est du côté du faux et de l'apparence.

Ce terme même d'art ne correspond pas exactement ce que Platon en dit dans son texte, il n'y a pas de réelle réflexion sur l'art, il s'intégre sur la technè .

Il s'agit du champ d'une production qui consiste à articuler des moyens pour atteindre une fin.

Il recoupe la technique d'un menuisier comme le travail d'un peintre. Texte extrait du Sophiste , dialogue entre l'étranger et Théétète Le texte s'ancre dans une critique sophiste, cette figure qui exerce un certain nombre de. »

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