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Essai sur le bonheur

Publié le 08/01/2011

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Un homme vivant une existence simple, évoluait au rythme des journées de travail, il partait tôt rentrait tard mais avait à chaque retour de son travail la chance d’avoir une délicieuse femme qui l’attendait chez lui. Il se satisfaisait du peu qu’il avait et ne se plaignait jamais de ca qu’il n’avait pas. Son salaire faisait vivre leur ménage et leur permettait de temps à autre des petites vacances. Ainsi son égaux était simple et son bonheur bel et bien présent, du moins c’est ce qu’il cru jusqu'à l’arrivé d’un évènement qui allait transformer son existence. Un soir en rentrant une fois de plus, tard de son travail, sa femme l’attendait avec un air grave adossée au mure de l’entrée, en effet elle lui annonça qu’elle était enceinte depuis déjà plus d’un mois. Il reçu cette nouvelle avec un hurlement de joie et il prit sa douce dans ses bras alors qu’elle pleurait elle aussi. Le couple du donc s’adapter, acheta à crédit un appartement plus grand, vendant des objets de famille précieux ayant une grande valeur sentimentale. Finalement l’enfant vis le jour un samedi, le père arriva juste à temps pour soutenir sa pauvre femme dans cette difficile épreuve.

Le bonheur du simple homme n’était que de plus grande ampleur depuis la naissance de l’enfant. Il devait travailler plus dur, faire des heurs supplémentaires et partir moins souvent en vacances mais quel bonheur lorsqu’il il rentrait chez lui d’y découvrir, le petit garçon et sa mère dormir poings fermés, il passait plusieurs dizaines de minutes à les regarder ainsi, plongés dans leur sommeil. Le matin en partant il prenait soin de ne pas faire de bruit et de ne réveiller personne, embrassant sur le front avent de s’en aller chacun des autres habitants de cet appartement. Puis vint le jour ou, de nouveau en rentrant chez lui, sa femme l’attendais avec l’enfant âgé d’une paire d’année dans les bras, elle lui apprit qu’un deuxième enfant allait naître d’ici quelques mois. Bien sûre cette nouvelle le combla de bonheur et les préparatifs nécessaires à son arrivé furent faits. La petite dernière fut bien accueillie auprès de son frère, et son père sacrifia son précieux vélo de compétition qui lui était nécessaire à l’exercice de sa passion.

Ainsi l’homme n’arrêtait de se féliciter pour l’existence exemplaire qu’il menait, des désirs simples et des objectifs faciles lui avait permis jusqu'à maintenant de vivre heureux, il était comblé et même si son travail accaparait son temps et qu’il ne pouvais vivre sa passion qu’a travers l’écran de sa télé, il n’était pas déçu car il n’avait pas des rêves irréalisables. Il restait exemplaire, n’enfreignait jamais la loi, qu’elle soit publique ou morale, il n’avait connu qu’une femme et il lui était toujours resté fidèle et attentionnée.

Sa vie connue un nouveau tournant le jour ou un conducteur ivre le percuta de plein fouet à la sortie d’une intersection. Il fut transféré à l’hôpital le plus proche pour soigner son corps meurtri par cette cage d’acier. Il reprit connaissance au bout de quelques jours, on lui expliqua que l’ivrogne qui l’avait percuté était mort des suites de ses blessures. Après qu’une infirmière eu terminée de lui administrer sa dose journalière de médicaments il ne retrouva plus le sommeil et pensait à sa petite famille qui devait l’attendre et s’inquiéter chez lui. Il s’ennuya pendants de longues heurs, puis pour passer le temps il lu sa fiche médicale qui était accrochée au bout de son lit. Il parcourut les lignes tordant la bouche quand il ne comprenait pas des mots complexes du jargon médical. Fatigué par cette lecture il ferma les yeux quelques instants pensant au doux visage de sa femme et au deux enfants qui vivait sous son toit. Il reprit ensuite, puis un mot le foudroya, il le relu, et relu encore, il vérifia que c’était bel et bien sa fiche médicale, en effet son nom et son prénom y était inscrit en gros caractère. Il sentit des larmes couler sur ses joues rondes, la tristesse et la rage l’accablait, pourquoi ça, pourquoi lui, qu’avait-il fait pour qu’il mériter ce triste sort. Il plongea sa tête dans son oreiller, tantôt il pleurait, tantôt il hurlait sa haine contre le monde des hommes, après quelques minutes il reprit ce maudit bout de papier, il reposa ses yeux sur ce mot qui avait pour toujours détruis sa vie et massacré sa misérable existence, en effet, dans l’information supplémentaires, les mots stérile de naissance s’y trouvais inscris.

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