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Gengis Khan ou Le fléau de Dieu

Publié le 16/03/2012

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dieu

Les Mongols parvinrent à s'emparer de la ville grâce à un stratagème, puis ils décapitèrent tous les officiers. Les habitants mâles ayant été contraints de se coucher sur le sol, les bras liés derrière eux, furent abattus comme des bêtes. Les femmes et les enfants subirent le même sort. Suivant certaines relations, sept cent mille personnes furent tuées. En avril 1221, la ville de Nichapour fut victime d'un bain de sang le plus grave de cette époque. Les Mongols assassinèrent les habitants, les décapitèrent et empilèrent leurs têtes en pyramides suivant le sexe et l'âge.

dieu

« pour voir si elle avait dit vrai.

Ensuite, ils prirent l'habi­ tude de dépecer leurs prisonniers pour chercher les bijoux qu'ils auraient pu avaler.

Les atrocités les plus barbares eurent lieu à Merv, en fé­ vrier 1221, en représailles du meurtre de mille hommes de la garde impériale du Khan.

Après un siège sans résultat, Tolui, un fils du Khan invita Un portrait du général mongol Souboutal" Ci-dessous : Des guermrs mongols montrent leur habileté .

le gouverneur de la ville à dîner et, lorsque le gouverneur arriva, Tolui le fit étrangler.

Les Mongols parvinrent à s'emparer de la ville grâce à un stratagème, puis ils décapitèrent tous les officiers.

Les habitants mâles ayant été contraints de se coucher sur le sol, les bras liés derrière eux, furent abattus comme des bêtes.

Les femmes et les enfants subirent le même sort.

Suivant certaines relations, sept cent mille personnes fu­ rent tuées.

En avril1221, la ville de Nichapour fut victime d'un bain de sang le plus grave de cette époque.

Les Mongols assas­ sinèrent les habitants, les décapitèrent et empilèrent leurs têtes en pyramides suivant le sexe et l'âge.

La décapita­ tion donnait aux Mongols l'assurance qu'il n'y avait au­ cun vivant caché parmi les morts, qui aurait pu reprendre les armes contre eux.

Les succès de Gengis Khan con­ sistaient moins en l'édification d'un empire qu'en pilla­ ges et destructions.

On prétend qu'il aurait déclaré un jour que son bonheur consistait à écraser ses ennemis, les voir tomber à ses pieds, s'emparer de leurs chevaux et de leurs biens et en­ tendre les supplications de leurs femmes.

On peut en con­ clure que son plus beau jour fut celui où il détruisit le sul­ tanat de Khârezm (1221), et fit régner la mort dans ses ruines.

Ainsi, de 1221 à 1226, les Mongols déferlèrent, pillant et tuant à la ronde.

En 1227, le vieux Khan tomba malade et mourut en Chine pendant le siège de Ning-sia.

Son armée et son héritage de violence persistèrent, et les successeurs de Gengis Khan agrandirent l'empire avec la même bru­ talité.

En 1240, ils rasèrent la ville de Kiev.

Chose remarquable, lorsque les guerres de conquêtes furent achevées, l'empi­ re mongol connut une période exemplaire de paix.

Les barbares assassins avaient pris goOt à la civilisation que, peu auparavant, ils avaient tenté de détruire.. »

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