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« Je crois que l’avenir de l’humanité est dans le progrès de la raison par la science » E.

Publié le 16/06/2016

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« Je crois que l’avenir de l’humanité est dans le progrès de la raison par la science » E. Zola – Dissertation. Introduction. Cette phrase tirée du Docteur Pascal, le vingtième et dernier roman de la série des Rougon-Macquart d’Emile Zola, symbolise parfaitement le mouvement littéraire auquel cet auteur appartient : le naturalisme. En effet, le mouvement naturaliste est composé de trois axes principaux qui sont la physiologie (refus de toute psychologie), l’hérédité (l’expérimentation scientifique) et l’influence du milieu sur l’homme (et vice-versa). Dans cette dissertation, nous nous concentrerons principalement sur les mots « progrès » et « science ». Nous nous pencherons d’abord sur les aspects médicaux du progrès et sur la communication, nous passerons ensuite à la partie adverse : le mal. Nous parlerons alors du désir de puissance malsaine lié au progrès scientifique, pour ensuite nous intéresser aux sentiments, en s’opposant ainsi à la physiologie naturaliste, pour enfin, déboucher sur les aspects économiques du progrès. Nous conclurons cette argumentation par deux réponses nuancées à la question posée avec le titre, essayant de parvenir à un certain équilibre difficile à atteindre. Développement. Commençons tout d’abord par traiter l’un des sujets les plus importants pour l’homme : la vie. Sa durée, mais aussi sa qualité. Nous parlerons premièrement du vaccin. Cette technique d’immunisation contre un mal (un virus, une maladie, une infection,…) a permis à l’homme de vivre non seulement plus longtemps, mais aussi mieux. Peut-être pouvons-nous alors établir un lien avec l’influence de l’homme sur son milieu ? Cet aspect du naturalisme traversant les mouvements littéraires et, par conséquent, les générations. En effet, le vaccin est une substance d’origine microbienne qui, administrée à une personne ou un animal, lui permet d’être immunisé contre l’infection déterminée par les microbes-mêmes dont elle provient. Le vaccin a évité à l’homme bien des ennuis : certaines maladies qui étaient connues auparavant comme très pénibles ou même parfois fatales sont désormais impossibles à contracter, l’homme est alors hors de danger. Même si aujourd’hui, du moins en Europe occidentale, les vaccins sont, pour la plupart, disponibles pour tous et, pour certains, obligatoires, cela n’a pas toujours été le cas. Pour la seule année 2003, on estime que la vaccination a évité plus de 2 millions de décès selon l’Organisation mondiale de la santé. Parlons ensuite de la génétique. Tout comme le vaccin, cette avancée médicale majeure a permis à l’homme d’augmenter, encore une fois, son espér...

« Parlons ensuite de la génétique.

Tout comme le vaccin, cette avancée médicale majeure a permis à l’homme d’augmenter, encore une fois, son espérance de vie ainsi que sa qualité et son confort.

La génétique est l’étude des caractères héréditaires, de leur transmission et des maladies qui leur sont associées.

Ainsi, elle permet de les guérir ou de les prévenir.

Nous traiterons essentiellement de la génétique humaine dans cette dissertation, le titre nous demandant de parler uniquement de l’avenir de l’humanité.

Naturellement, l’homme naît avec une certaine prédisposition génétique (hérédité) propre à chacun.

Celle-ci peut entraîner, chez certains, une favorabilité à contracter certaines maladies plus ou moins graves telles que l’hémophilie ou certains types de cancers.

La génétique nous oriente également vers une médecine préventive, pas seulement par des modifications de notre alimentation et de notre hygiène de vie mais aussi par des traitements pharmaceutiques à long terme.

Le dépistage génétique permet donc de connaître les risques que nous ont transmis nos ancêtres et même de protéger nos futurs enfants de certaines maladies. Cependant, toutes les maladies génétiques ne sont pas héréditaires : certaines surviennent par accident, c’est le cas de la trisomie 21.

Cette maladie est généralement due à une anomalie accidentelle de la vingt-et-unième paire de chromosomes, la personne en possédant trois au lieu de deux.

Certaines maladies génétiques dites plurifactorielles sont, elles, dépendantes de plusieurs gènes et de facteurs extérieurs.

Les progrès en génétique humaine ont permis de diagnostiquer la trisomie 21 par exemple, ceci grâce à un travail sur les chromosomes.

Selon le site trisomie 21 France , un enfant né d’une mère de 50 ans ou plus a une chance sur vingt-huit d’être trisomique. Orientons à présent notre regard vers un autre aspect prédominant de notre société : la communication.

En effet, les progrès scientifiques et technologiques ont permis à l’homme d’énormes avancées et facilités inimaginables jusqu’à lors.

Ces technologies sont appelées technologies de l’information et de la communication.

On peut diviser ces technologies en trois catégories.

Les technologies de l’information utilisent des ordinateurs, devenus indispensables dans les sociétés modernes (traitement de données, gain de temps et d’efforts).

Les technologies de la communication comprennent les téléphones et la diffusion de la radio et de la télévision (cela se fait souvent par satellite).

Les technologies de réseau, dont la plus connue est internet, incluent également la technologie du téléphone portable, les communications par satellite, et d’autres moyens de communication encore peu développés.

Autrefois, la communication, outre l’orale, était assez restreinte.

Il était ainsi difficile d’échanger avec des personnes étant dans un autre pays que nous ou même dans une campagne reculée, bien que cela fût possible par communication épistolaire. Aujourd’hui, les choses ont bien changé.

Il est désormais aisé de discuter avec quelqu’un qui vit à l’étranger et même de le voir.

En France, plus d’1,4 milliard d’emails sont envoyés chaque jour, selon le site de marketing digital contactlab .. »

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