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les mesures de clémence qui seraient sollicitées en faveur des insurgés à l'égard desquels les commissions mixtes auraient statué ».

Publié le 31/10/2013

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les mesures de clémence qui seraient sollicitées en faveur des insurgés à l'égard desquels les commissions mixtes auraient statué «. Et comme si cela ne suffisait pas, il désigne trois commissaires... chargés de surveiller le travail de la commission, c'est-à-dire de la pousser aussi systématiquement que possible à l'indulgence. A partir de mars 1852, chacun des trois commissaires se met au travail avec une ardeur inégale et des résultats ontrastés. Le général Espinasse rapporte trois cents grâces ou commutations, le général Canrobert sept cent ingt-sept, ce qui n'est rien à côté de ce que réalise le conseiller d'État Quentin-Bauchart, avec un total de trois ille quatre cent quarante et un. Ce dernier recevra d'ailleurs de Louis Napoléon une lettre le louant pour sa énérosité : « Vous seul, écrit-il, avez compris ma pensée. « ouis Napoléon ne se priva pas, du reste, d'accorder directement sa grâce. Comme le firent Morny -- il est uste de le reconnaître -- et beaucoup d'autres hommes en place. ne telle attitude, jointe aux conflits de compétence entre la police, la justice et l'armée, ainsi qu'au soutien ienveillant de l'opinion publique, eut pour effet de ramener dès 1853 le nombre des condamnés à près de six ille. Ce chiffre ne cessa de diminuer avec régularité, du fait d'un grand libéralisme dans l'octroi des grâces, esquelles étaient souvent précédées d'un engagement, soit à ne plus militer, soit à reconnaître et à respecter le nouveau régime. e destin d'un Louis Bouloumié est assez révélateur du sort de plusieurs milliers de vaincus du coup d'État. Il onfirme combien, après la rigueur et la confusion initiales, l'attitude envers les proscrits fut généralement nspirée par une volonté de retour à la normale. Il donne quelques indications sur le soin personnel que Louis apoléon apporta lui-même au règlement, dans le sens de la clémence, de centaines et de centaines de ossiers. ouis Bouloumié, ancien magistrat, était avocat à Rodez. Fondateur de l'Aveyron républicain, il avait accueilli vec la faveur que l'on imagine la révolution de Février. Lors de l'élection présidentielle, il fit campagne pour avaignac. Élu capitaine commandant de la Garde nationale et conseiller municipal, c'était, comme l'on dit, un itoyen engagé. ès que la nouvelle de l'opération du 2 décembre est connue à Rodez, il se rend, avec d'autres personnalités ocales, protester à la préfecture. Trois jours plus tard, la réussite du coup d'État étant désormais assurée, le réfet, après l'expectative prudente qui sied aux hommes chargés de la continuité de l'État, sait enfin quel camp hoisir et Louis Bouloumié est emprisonné. Les conditions de détention sont précaires. Sa santé se détériore apidement: il souffre de coliques néphrétiques. rès vite, une pétition signée de plusieurs de ses amis réclame sa libération. Le rapport de la police, transmis le 7 février 1852 au ministère de l'Intérieur n'est pas défavorable : « Monsieur Bouloumié est père de famille, allié ux personnes les plus honorables. Loin d'être un homme dangereux, il est [...] parfaitement inoffensif... «. La olice conclut donc dans le sens de l'apaisement: « La mise en liberté de Monsieur Bouloumié serait accueillie vec une profonde gratitude et comme une grâce inappréciable. « l faut l'avis du préfet. On le sollicite. Lui, fait du zèle. S'appuyant sur les conclusions de la commission épartementale, il émet un avis défavorable, se bornant à accepter qu'on transforme « l'Algérie plus en Algérie oins «, c'est-à-dire qu'on réduise la durée de la transportation décidée. ouvelle offensive le 16 mars, venant cette fois du duc d'Istrie, parent de Bouloumié, auprès du ministre de la olice générale : « Le Prince lui-même avait daigné m'exprimer son désir de voir terminer cette longue captivité ...] Veuillez en même temps parler au Prince-Président de mon dévouement que je serais heureux d'avoir l'occasion de lui prouver... son tour, Louis Bouloumié prend la plume, sans doute sans enthousiasme, et s'adresse à Louis Napoléon, xcipant de ses problèmes de santé. Il demande qu'on commue sa peine « en un internement à Toulouse où [il ivra] complètement étranger à la politique «. e prince de la Moskowa appuie la demande, aux côtés du duc d'Istrie. Tous deux s'en prennent au préfet qui ourrait avoir des motifs autres que politiques. ls obtiennent que la peine initiale soit commuée en expulsion. Louis Bouloumié s'exile donc à Barcelone. Il evient à la charge le 29 juin 1852 et demande l'autorisation de se rendre dans le département des Vosges pour rendre les eaux. L'autorisation est accordée : il peut passer un mois à Contrexéville. Le 10 septembre, c'est ersigny qui est alerté, pour qu'on en finisse. Il écrit au garde des Sceaux : « Je m'intéresse beaucoup à onsieur Bouloumié et je serais heureux qu'il fût possible de donner à sa demande une solution prompte et avorable... « e 12 décembre, Louis Bouloumié produit ce qu'on lui demande : un engagement à se tenir tranquille : « Le suffrage universel a prononcé. Homme de principe, je dois m'incliner. Je déclare donc me soumettre à la volonté nationale et m'engage à ne rien faire désormais contre le gouvernement de l'Élu du Pays. « C'est fini. Louis Bouloumié pourra rester en France. Cette décision aura d'ailleurs des conséquences inattendues. Bienfaiteur de Plombières et de Vichy, Louis Napoléon aura été, sans le savoir, à l'origine de la création de la station thermale de Vittel. On a signalé en effet à Louis Bouloumié, pendant son séjour à Contrexéville, les vertus d'une source dite de Gérémoy, qu'il acquiert dès 1854 et qui deviendra, sous son impulsion et celle de ses descendants, un des lieux les plus prestigieux de France. Le mouvement de clémence fut consacré par le décret du 16 août 1859, qui instituait un pardon général. Il n'y a guère que Hugo à refuser obstinément l'amnistie ; se montrant insensible à tous les gestes de Louis Napoléon, il les traita par la dérision. Bien que méritant mieux, jamais Louis Napoléon ne parut se laisser décourager par ces rebuffades. Il avait sans doute le coeur moins empli de haine et l'esprit plus lucide ; lui du moins savait éprouver du respect pour son adversaire. Dès qu'il avait appris qu'un des fils de Hugo était toujours détenu, il avait ordonné sa libération. En 1852, il se rendit à une représentation de Marion de Lorme, qui était toujours à l'affiche de la Comédie-Française, applaudit la pièce et déclara : « Victor Hugo est vraiment un bien grand talent. « A l'avènement de l'Empire, il transmit une première offre d'amnistie au poète qui répondit par des vers fameux, dont les quatre derniers sont dans toutes les mémoires: Si l'on n'est plus que mille, eh bien, j'en suis! Si même, Ils ne sont plus que cent, je brave encore Scylla; S'il en demeure dix, je serai le dixième; Et s'il n'en reste qu'un je serai celui-là! Et quand vint, précisément, le moment d'être le dernier, il revendiqua le droit à l'entêtement dans une déclaration rédigée à Hauteville House, et datée du 18 août 1859: « Personne n'attendra de moi que j'accorde, en ce qui me concerne, un moment d'attention à la chose appelée amnistie. « Dans la situation où est la France, protestation absolue, inflexible, éternelle, voilà pour moi le devoir. « Fidèle à l'engagement que j'ai pris vis-à-vis de ma conscience, je partagerai jusqu'au bout l'exil de la Liberté. Quand la Liberté rentrera, je rentrerai. « *** Dans le procès que l'histoire instruisit contre Louis Napoléon, ni les larges circonstances atténuantes qui araissent devoir être reconnues à l'auteur du coup d'État, ni la mansuétude dont fit preuve le président 'auront été retenues comme éléments à décharge. e coup d'État -- et surtout les conditions dans lesquelles il a été accompli -- va déclencher, dans le court et le oyen terme, des haines inexpiables et interdire une réconciliation qui, au fil des années, devenait bjectivement possible. Sur le long terme, il sera considéré comme ayant marqué son auteur d'une tache neffaçable. n peut soutenir, comme l'a fait Louis Girard, que le coup d'État a outragé « le sentiment du droit enraciné dans la bourgeoisie française « mais n'est-ce pas alors faire itière de la certitude, présente à bien des esprits, que, si Louis Napoléon avait quitté benoîtement ses fonctions n 1852, le pays se serait retrouvé au bord de la guerre civile? Doit-on lui faire grief du fait que son intérêt ersonnel rejoignait si évidemment l'intérêt général? drien Dansette n'en estime pas moins que « pour les élites du pays [...], le coup d'État fut un double scandale : oral, car son succès parut le triomphe de la force sur le droit, intellectuel, car l'intelligence méprisait le pouvoir ersonnel [...]. En France, l'échec de la révolution de Février n'était pour la jeunesse cultivée qu'un temps 'arrêt dans la marche victorieuse de la démocratie libérale. Une dictature conservatrice, au siècle de la liberté, el apparaissait le second Empire: un anachronisme. « era-t-on scandale si l'on tente au moins de nuancer le propos? ue le régime né du 2 Décembre marque un recul par rapport à la république de M. Cavaignac ou à celle dont rêvaient M. Thiers et ses amis, c'est déjà bien douteux... Mais que la « république « versaillaise puisse signifier, après l'Empire libéral, la reprise de la marche de la France vers des lendemains qui chantent, cela relève, cette fois, sans nul doute, d'une sinistre plaisanterie. Ce qui est sûr -- et éminemment regrettable -- c'est que tout ce qui va s'accomplir désormais se fera en l'absence des républicains et d'une bonne partie des forces de progrès. C'est regrettable pour Louis Napoléon ; c'est surtout dommageable pour la France. Et la fraction de l'opinion qui se tiendra à l'écart en pâtira aussi. Les tenants de la République et du progrès sont passés à côté d'une grande occasion. Ce ratage laissera des traces. Entre eux et la classe ouvrière. Entre eux et la France. Car il ne faut pas négliger l'essentiel, à savoir que, les 21 et 22 décembre 1851, les Français approuvèrent à une énorme majorité le coup d'État de Louis Napoléon Bonaparte. Le résultat du plébiscite, que celui-ci avait tenu à organiser sans retard, fut éclatant: 411 431 voix pour les « oui « contre 641 351 pour les « non «, avec environ 1 400 000 abstentions... Devant un tel résultat, on a bien sûr cherché chicane, rappelant qu'une trentaine de départements étaient en état de siège. Mais que n'eût-on dit si prétexte en avait été tiré pour reporter ou annuler le plébiscite? On a fait valoir aussi que les listes électorales avaient été établies dans la précipitation, ce qui ne pouvait manquer de nuire à leur fiabilité. Cela est vrai, mais était-ce suffisant pour dénaturer le scrutin? On a objecté aussi, et surtout, que l'administration avait pesé de tout son poids sur l'expression des suffrages. Il n'est pas exclu qu'elle ait, çà ou là, tenté de le faire. Mais, ne disposer que de quinze jours n'était pas un gage de grande efficacité. Et puis, comment eût-elle été capable d'étouffer un mouvement significatif de réprobation? Non, il faut bien se résoudre à admettre que ce qu'a fait Louis Napoléon correspondait au souhait de l'immense ajorité des Français. William Smith a très justement rappelé que « si le coup d'État fut un crime, la France fut moins une victime qu'une complice «. De fait, le coup d'État fut très populaire. En février 1852, Guizot écrivait à sa fille : « Le pays, il serait puéril de le dissimuler, le gros [du] pays s'est félicité du coup d'État du 2 décembre. Il s'est senti délivré dans le présent de l'impuissance à laquelle l'Assemblée et le Président se réduisaient mutuellement. « George Sand, encore moins suspecte de complaisance, se confiait en ces termes à Mazzini : « Il y a eu terreur et calomnie avec excès, mais le peuple eût voté sans cela comme il a voté. En 1852, ce 1852 rêvé par les Républicains comme le terme de leurs désirs et le signal d'une révolution terrible, la déception eût été bien autrement épouvantable. Le peuple eût résisté à la loi du suffrage restreint et voté envers et contre tout, mais pour qui? Pour Napoléon! « Jules Ferry, lui-même, reconnut l'authenticité du vote, y discernant la même expression de la détermination de la classe paysanne que lors de l'élection présidentielle, détermination qu'allait affirmer encore davantage la ratification de l'Empire: « Un jour les masses agricoles montrèrent qu'elles pouvaient vouloir. Le paysan voulut couronner sa légende et d'un mot fit l'Empire. Ce mot-là fut passionné, libre, sincère. Il le répéta trois fois et avec plus d'enthousiasme en 1852 qu'en 1848 et 1851. « Thèse que Prévost-Paradol corrobore en s'écriant, dans un véritable accès de rage : « Je suis, quant à moi, guéri du suffrage universel et j'emploie mes loisirs à guérir les autres. « Car c'est là le constat, incontournable : le suffrage universel s'est bel et bien exprimé, librement, largement, en faveur de Louis Napoléon. Le seul crime de celui-ci est de l'avoir rétabli, fidèle dans cette démarche au principe de toute son existence. On pourra trouver cela regrettable, incompréhensible, affligeant, fâcheux, incroyable, mais c'est ainsi: à l'époque, le corps électoral ne voulait pas donner la majorité aux républicains. Las de ses propres divisions, il réclamait Louis Napoléon. Durant des décennies, en noircissant à plaisir l'acte, le dessein et la personne de Louis Napoléon, cette vérité, cette simple vérité aura été occultée. Ce camouflage prendra dans l'Histoire d'autres formes que celle de cette réputation salie : il résulte de l'étonnant rapport que, depuis lors et jusqu'à une période toute récente, la gauche entretient avec le suffrage universel, rapport fait d'adulation apparente et de méfiance réelle, et qui inspirera encore sa conduite en 1958 et lors de la campagne référendaire de 1962. Pour elle, le suffrage universel doit être « médiatisé «, au sens littéral du terme. Il est hors de question de laisser le peuple en faire trop librement usage... A plus de cent ans de distance, ceux qui croyaient avoir à défendre, une fois encore, la liberté... contre les aspirations du peuple, ne manquèrent pas d'établir un parallèle entre le 13 mai 1958 et le 2 décembre 1851. En recourant à cette comparaison, ils entendaient jeter l'opprobre sur Charles de Gaulle et réaliser à son étriment l'opération si magnifiquement réussie contre le prince-président. C'était évidemment se tromper du tout au tout, et prendre un fantasme pour la réalité. Mais, peut-être

« « Le suffrage universel aprononcé. « Homme deprincipe, jedois m'incliner.

Jedéclare doncmesoumettre àla volonté nationale etm'engage àne rien faire désormais contrelegouvernement del'Élu duPays.

» C'est fini.Louis Bouloumié pourraresterenFrance.

Cettedécision aurad'ailleurs desconséquences inattendues.

BienfaiteurdePlombières etde Vichy, LouisNapoléon auraété,sans lesavoir, àl'origine dela création delastation thermale deVittel.

Onasignalé eneffet àLouis Bouloumié, pendantsonséjour à Contrexéville, lesvertus d'unesource ditedeGérémoy, qu'ilacquiert dès1854 etqui deviendra, sousson impulsion etcelle deses descendants, undes lieux lesplus prestigieux deFrance. Le mouvement declémence futconsacré parledécret du16août 1859, quiinstituait unpardon général. Il n'y aguère queHugo àrefuser obstinément l'amnistie;se montrant insensible àtous lesgestes deLouis Napoléon, illes traita parladérision. Bien queméritant mieux,jamaisLouisNapoléon neparut selaisser décourager parces rebuffades.

Ilavait sans doute lecoeur moins emplidehaine etl'esprit pluslucide ;lui du moins savaitéprouver durespect poursonadversaire.

Dès qu'il avait appris qu'undesfilsdeHugo étaittoujours détenu,ilavait ordonné salibération.

En1852, ilse rendit à une représentation deMarion deLorme, quiétait toujours àl'affiche delaComédie-Française, applauditla pièce etdéclara :« Victor Hugoestvraiment unbien grand talent.

» A l'avènement del'Empire, iltransmit unepremière offred'amnistie aupoète quirépondit pardes vers fameux, dont lesquatre derniers sontdans toutes lesmémoires: Si l'on n'est plusquemille, ehbien, j'ensuis! Simême, Ils ne sont plusquecent, jebrave encore Scylla; S'il endemeure dix,jeserai ledixième; Et s'il n'en reste qu'un jeserai celui-là! Et quand vint,précisément, lemoment d'êtreledernier, ilrevendiqua ledroit àl'entêtement dansune déclaration rédigéeàHauteville House,etdatée du18août 1859: « Personne n'attendra demoi que j'accorde, encequi me concerne, unmoment d'attention àla chose appelée amnistie. « Dans lasituation oùest laFrance, protestation absolue,inflexible, éternelle,voilàpourmoiledevoir. « Fidèle àl'engagement quej'aipris vis-à-vis dema conscience, jepartagerai jusqu'auboutl'exildelaLiberté. Quand laLiberté rentrera, jerentrerai.

» *** Dans leprocès quel'histoire instruisit contreLouisNapoléon, niles larges circonstances atténuantesqui paraissent devoirêtrereconnues àl'auteur ducoup d'État, nilamansuétude dontfitpreuve leprésident n'auront étéretenues commeéléments àdécharge. Le coup d'État —etsurtout lesconditions danslesquelles ila été accompli —va déclencher, danslecourt etle moyen terme,deshaines inexpiables etinterdire uneréconciliation qui,aufildes années, devenait objectivement possible.Surlelong terme, ilsera considéré commeayantmarqué sonauteur d'unetache ineffaçable. On peut soutenir, commel'afait Louis Girard, quelecoup d'État aoutragé «le sentiment dudroit enraciné danslabourgeoisie française»mais n'est-ce pasalors faire litière delacertitude, présenteàbien desesprits, que,siLouis Napoléon avaitquitté benoîtement sesfonctions en 1852, lepays seserait retrouvé aubord delaguerre civile?Doit-on luifaire griefdufait que sonintérêt personnel rejoignaitsiévidemment l'intérêtgénéral? Adrien Dansette n'enestime pasmoins que«pour lesélites dupays [...],lecoup d'État futun double scandale : moral, carson succès parutletriomphe delaforce surledroit, intellectuel, carl'intelligence méprisaitlepouvoir personnel [...].EnFrance, l'échecdelarévolution deFévrier n'étaitpourlajeunesse cultivéequ'untemps d'arrêt danslamarche victorieuse deladémocratie libérale.Unedictature conservatrice, ausiècle delaliberté, tel apparaissait lesecond Empire: unanachronisme.

» Fera-t-on scandalesil'on tente aumoins denuancer lepropos? Que lerégime nédu 2Décembre marqueunrecul parrapport àla république deM.Cavaignac ouàcelle dont rêvaient M.Thiers etses amis, c'estdéjàbiendouteux...

Maisquela«république »versaillaise puissesignifier,. »

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