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Commentaire de l’article XI du Discoure de Métaphysique de Leibniz

Publié le 05/12/2019

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Commentaire de l’article XI du Discoure de Métaphysique de Leibniz

             Après avoir parlé de la perfection de Dieu dans les articles précédents, cet article précise ce qu’implique cette perfection. Il démontre la distinction commune entre la volonté ordinaire et la volonté extraordinaire de Dieu. Car en réalité, nous prenons les phénomènes que nous ne comprenons pas, pour des exceptions à ce que nous comprenons. Tout d'abord, on distingue une première thèse, tout est conforme à ce que Dieu a créé et ce qui semble extraordinaire ne l'est que pour nous simple individu. Puis, par plusieurs exemples, Leibniz nous démontre que rien n'est jamais vraiment irrégulier car l'on peut toujours formuler des règles pour rendre cela régulier. Il nous explique que l’ignorance de l'ordre universel qui nous confronte à croire que ce qui est désordonné est compliqué, est la raison de notre adhésion à cette croyance. Enfin, Leibniz nous dit que pour Dieu tout est conforme à l’ordre, il ne faire rien hors de l’ordre et donc qu'il a créé le meilleur monde possible.

 

                  Leibniz en utilisant les termes « volontés ou actions de Dieu » ne départage pas la volonté ou l’action comme le fait l’opinion commune mais les met sur un pied d’égalité, pour Dieu ces deux termes sont identiques. Par « volontés ou actions de Dieu », nous pouvons comprendre que cela désigne l’ensemble des phénomènes dans la vie des individus. Toute action dans le monde est donc une volonté de Dieu. Leibniz divise les actions ou les volontés en deux catégories, ordinaire et extraordinaire. Cette division est remise en question dans le texte. Quelque chose d’ordinaire est dans l'ordre commun, c’est ce qui a coutume d'être, de se faire, d'arriver. A l’inverse quelque chose d’extraordinaire n'est pas selon l'ordre, c’est un événement extraordinaire. Ils ont tous les deux la même racine et viennent du mot « ordre ». Donc on peut en conclure que les actions de Dieu sont sois commune, en respectant tous les évènements de l’ordre naturel, comme le fait que la Terre tourne, c’est une action ordinaire ; soit ce sont des actions extraordinaires voire des miracles, qui ne sont pas habituels comme une aurore boréale.                                                                                                                            

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« Partant du principe qu’il n’y a plus de différence entre les actions extraordinaire et ordinaire, on peut dire que comme Dieu est le créateur du monde et que tout ce que fait Dieu est parfait, le monde ne peut avoir d’irrégularité.

Tout e personne s vivant dans le monde créer créé par Dieu, ne peut nier l’existence de l’irrégularité.

C’est pour cela que Leibniz va nous démonter grâce a à des exemples que sa thèse de l a première partie n’est pas qu’une thèse difficile à comprendre.

Mais que cela ce produit tous les jours, et donc nous prouver que l’irrégulier n’existe pas.

Supposons que l’on trace une quantité de point s sur le papier, de façon la plus désordonnée possible, Leibniz affirme que l’on pourra trouver une réglé régle pour trouver une ligne géométrique dont la notion sera soit constante, soit un iforme.

Leibniz nous confirme que tout individu s trace les points, sans ordre ni fin.

Mais pourquoi Dieu ne peut pas non plus produire hors d’ordre ? Mais é Etant nous même le sujet de notre action, nous avons conscience que nous traçons sans ordre ni fin, Leibniz compare cela a « l’art ridicule de la géomance géomancie » La géomance géomancie est une manière de prédire l'avenir en jetant des pierres ou de la terre sur une table.

Car pour Leibniz il est toujours possible d’avoir une règle qui explique une irrégularité.

Donc dans l’exemple de Leibniz il y a une règle qui démontre, sans jamais parler de hasard, de manière exacte la façon dont les points sont formés en un ordre, il est donc possible de tro uver « une ligne géométrique » Leibniz nous prouve encore sa théorie avec deux autres exemples qui fonctionne sur ce modèle.

Pour une ligne qui semble tracer au hasard, soumise à aucune règle, il existera to ujours une règle mathématique derrière cette ligne.

Pour le contour du visage qu’il soit normal ou difforme est toujours tracer d’un seul mouvement qui appartient à une règle, donc un ordre.

To us ces exemples prouvent la thèse de Leibniz qui nous dit que rien n’est hors d’ordre.

=l en conclut pour ce paragraphe, en nous donnant la raison de notre croyance a l’irrégularités.

Pour Leibniz, nous croyions à l’irrégularité parce que la règle de régul arité est trop complexe pour nous, donc nous l’éliminons.

Leibniz nous a démontrer démontré que comme Dieu ne fait rien hors d’ordre, tout est régulier dans le monde.

Mais tout ce qui appartient à une règle trop complexe à comprendre po ur une simple créature lui semble irrégulier.

Mais pour Dieu tout est régulier et appartient à une règle, car Dieu appartient à l’ordre universel.

Dans une dernière partie Leibniz affirme qdue Dieu aurai ts pu créer un monde tout autre tout un autre monde , m ais il aurait toujours été régulier « dans un certain ordre général ».

Car aucun désordre n’aurait pu être possible.

Pour lui vivre c’est « être harmonique », tout est ordonné.

Se dire que Dieu aurait pu créer un monde de désordre n’est pas pensable car ce la aurait été déraisonnable, or Dieu est un être de raison car c’est un être de perfection.

Mais qu’elle est donc la motivation de Dieu pour avoir choisi s de créer ce monde alors qu’il avait une infinité de monde.

Leibniz nous donne la raison, selon lui comme Dieu est parfait, c’est avec sa perfection qu’il a choisi s le plus parfait des mondes.

Mais qu’est -ce un monde parfait ? Pour Leibniz un monde parfait créer créé par Dieu est : « celui qui est en même temps le plus simple en hypothèses, et le plus riche en phénomènes ».

Dans le langage courant, le mot hypothèse désigne une supposition à partir de laquelle on construit un raisonnement, construit avec un e nsemble de proposition et le mot phénomène désigne un fait observé, perçu par les sens ou la conscience.

Leibniz nous explique ce qu’il veut dire par « celui qui est en même temps le plus simple en hypothèses, et le plus riche en phénomènes » en nous donnant un exemple mathématique, avec une ligne de géométrie constitué d’une façon simple et dont les propriétés et les effets serais prestigieux et utilisab le dans plusieurs autres cas.

Leibniz était un grand mathématicien, pour lui Dieu est aussi un mathématicien, qui a créé le monde avec des propriétés qui expliquent le moindre des phénomènes.

Mais des propriétés sont trop complexe pour que les individus le s comprennent ce qui créer l’ordre particulier.

Pourquoi si Dieu est si raisonné a -t-il créé des propriétés complexes alors qu’il aurait pu faire des propriétés simples que les humains auraient pu comprendre et expliquer.

Mais ce monde aurait été encore pl us imparfait si l’on se réfère à l’exemple mathématique.

La création du monde a été pour Dieu la plus simple, il n’est pas possible de faire plus simple et. »

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