cours de philo

avons. Toute perception est une construction par exemple je

ne verrais jamais d’un seul regard les 6 faces d’un cube. Il

faut que ma conscience fasse la synthèse des diffèrent

moment perceptif pour construire ma représentation du cube

b. Une présence susceptible de varier en intensité

i. On peut observer diffèrent niveau de conscience, c’est-à-dire

que la conscience peut être plus ou moins vive. Exemple de

faible conscience : endormissement, rêverie, distraction. Par

opposition il existe des états de consciences vive exemple :

vigilance, concentration, réflexion etc… On peut remarquer

que la conscience travail à construire des plans. Elle met aux

point certaine chose et repousse aux second et aux troisième

plan d’autre chose

c. Conscience et temps : Bergson philosophe français

i. La perception, l’attention à la vie serait la première fonction

de la conscience mais cette fonction ne pourrait pas

s’accomplir sans mémoire. Une conscience qui serait réduite à

l’instant, ne serait pas une conscience. Retenir se qui n’est

déjà plus anticiper ce qui n’est pas encore voila la fonction de

la conscience. « la conscience est un très d’union entre ce qui

à été et ce qui seras. Un pont jeté entre le passée et

l’avenir ». « assis à ma table de travail, j’entend dans le

lointain un chien qui aboie ; a vrais dire ce n’est qu’un son

d’une certaine qualité qui vient frapper ma conscience mais

grâce à l’expérience passer que j’ai accumulé le son est

identifier il prend un sens pour moi » Bergson. Percevoir,

pour Bergson c’est se souvenir. Bergson établie dans sa

philosophie le lien entre conscience mémoire. Remarque :

pour lui la conscience et en premier lieux, la fonction du réel,

elle est centrer sur l’action, elle est essentiellement

pragmatique, elle permet de survivre.

2) La conscience réfléchie ou « savoir »

a) Un savoir qui sépare

a. Le mot conscience vient de l’expression latine cum scientia

qui signifie avec savoir, accompagné de savoir. La pierre

dans laquelle je mets un coup de pied roule mais elle ne

sait pas qu’elle roule. L’herbe haute agiter par le vent

bouge mais ne sais pas qu’elle bouge. En ce sens être

conscient signifierais aux contraire savoir que je roule où

savoir que je bouge.

b. Or ce savoir me sépare de l’objet de mon savoir. Être

conscient de la trousse sur ma table suppose que je me

rapporte à la trousse mais également que je m’en

différencie. Sartre dit qu’être conscient d’une chose c’est

ne pas être la chose, c’est se poser soit même à coter de

la chose comme autre qu’elle.

c. Pour Sartre avoir conscience de soit c’est se décoller de

sois, ce regarder comme on regarde un autre. De ce fait

ne nous coïncident jamais parfaitement avec nous-même,

a la différence des choses. Nous somme toujours à

distance de nous mais aussi du monde et des autres, c’est

la raison pour laquelle nous éprouvons parfois le

sentiment que le monde nous est étranger, que les autres

nous sont étranger et même que nous somme étranger à

nous même.

b) Une conscience qui semble être une spécificité humaine

a. Contrairement à l’animal qui semble étroitement lie à la

nature l’homme cherche à s’émanciper. C’est ce qui fait

selon pascal à la fois sa grandeur et sa misère. La misère

de l’homme qui se demandent pourquoi il vit, misère de

l’homme qu’il c’est qu’il vas mourir mais aussi grandeur de

l’homme pars qu’il sait

b. L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la

nature ;mais c’est un roseau pensant. Il ne faut pas que

l’univers entier s’arme pour l’écraser : une vapeur, une

goute d’eau suffit pour le tuer. Mais quand l’univers

l’écraserais, l’homme serait encore plus noble que ce qui

le tue parsqu’il sait qu’il meurt et l’avantage qu’a l’univers

à sur lui, l’univers n’en saait rien