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Devoir de Philosophie: Spinoza, Autorités théologique et politique

Publié le 22/05/2023

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« Spinoza, Autorités théologique et politique “Ce gouvernement, je le caractérise d’un mot : la police partout, la justice nulle part.”.

Cette citation de Victor Hugo représente bien une autorité qui peut nous être imposée injustement, ici une autorité politique, elle représente donc bien le point de vue de Spinoza.

Nous allons voir dans ce texte qu’il émet tout d’abord l’hypothèse d’un monde où la liberté de penser est réprimander.

Ensuite il décrira donc une duplicité et il énoncera les différents profils d’individus face à cette problématique. Spinoza admet tout d’abord l’hypothèse que la liberté des hommes est "réprimée", “tenus si étroitement en bride” et est tenue restreinte.

Les hommes “n’osent prononcer un mot” sur le pouvoir publique.

“Le jugement” ici représenté par la liberté de penser s’oppose donc à la liberté d’expression.

On peut facilement se représenter cette idée par l’exemple d’un état totalitaire, en effet dans un milieu où les gens peuvent être tués pour leurs opinions, la liberté même de penser, “le jugement”, la liberté d’expression sont totalement bridés et même anéanties.

Mais on peut aussi retrouver ce même schéma dans notre société actuelle qui est remplie de “jugements” et de préjugés, une personne ne peut donc pas s’exprimer librement sur certains sujets sans avoir peur de se faire juger, stéréotyper.

Donc on aura jamais la véritable pensée des personnes car elles sont contraintes à celle d’un système politique.

Effectivement, il est impossible que “leurs pensées soient conformes aux volontés politiques officielles” car chacun à ses propres opinions et sa propre façon de voir le monde donc chaque homme a le droit d’avoir sa propre liberté de penser.

Ici le système nous réprimande et restreint nos libertés. Spinoza pose ensuite une problématique, “Que se produirait-il donc” si la société continuait à restreindre nos libertés ? Si cela se produisait on aurait une duplicité des citoyens, c'est-à-dire que les hommes suivraient des idées qui ne sont pas en accord avec leurs pensées.

Ils agissent ici donc contre leurs propres volontés mais dans leurs intérêts et dans l’intérêt commun.

On aurait alors produit des hommes suivant le chemin de “la perfidie, la fourberie, la déchéance… La “bonne fois” ne serait donc plus coutumière mais détrôner par l’hypocrisie et donc la perte des meilleurs habitudes.

Je dirais même que les valeurs les plus importantes comme la courtoisie, le courage, le respect, la galanterie et l’honneur même des hommes serait totalement bafoué à un profit politique où.... »

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