Devoir de Philosophie

Explication de texte schopenhauer

Publié le 09/01/2020

Extrait du document

schopenhauer
Explication de texte   Extrait : “Le monde comme volonté et comme représentation”, 1819, Schopenhauer   Le texte que nous allons étudier est un extrait de « Le monde comme volonté et comme représentation » œuvre principale de Arthur Schopenhauer publié en 1819 qui fut plus connu lors de sa seconde édition.   Dans cet extrait Arthur Schopenhauer introduit la notion de volonté, une notion très importante dans la philosophie. Ici l’auteur met en relation et confronte deux termes, la volonté et l’intellect.   Tout d’abord qu’est ce que la volonté et l’intellect, la volonté est d’après Kant « reliée au devoir et à la loi morale » ici, Schopenhauer, fait de la volonté une sorte de force dite aveugle qui serait présente en tout être qui nous permettrait semble-t-il d’être libre dans ce que l’on fait vis à vis de motifs rationnels. C’est ce qui nous permet de passer à l’acte ou non suite à un événement, soit disant l’homme serait conscient de ce qu’il veut faire, il y a réflexion avant un acte.   C’est ainsi que l’on peut différencier l’homme de l’automate. L’automate n’as pas l’intention de faire ce qu’il fait, c’est un automatisme, contrairement à l’homme qui agirait suite à une intention et non suite à une impulsion.   Lors d’un passage à l’acte, il y a prémé...
schopenhauer

« étudie la situation, il y a une réflexion, cette dernière réflexion ne peut alors pas être dissocié de l'intellect et ce dernier serait indispensable pour chaque passage a l'acte car la réflexion et la préméditation d'un acte est une action uniquement faisable avec ?l'accord? de cet intellect.   Ici dans l'extrait une relation est remise en cause, celle de la volonté au raisonnement de l'intellect, existerait-il un désaccord entre la volonté et l'intellect ?   Dans ce texte nous pouvons directement le décomposer en trois parties très distinctes; Schopenhauer aborde d'abord le fait que l'homme serait ignorant de sa véritable volonté puis dans un second temp l'auteur vient à expliquer le fait que nous aurions aucun soupçon de nos impulsions ( de la ligne 10 a la ligne 17). Le philosophe finit alors par distinguer notre intellect et notre volonté comme motifs réel et motifs apparents.   Pour commencer pour pouvoir réfléchir et commettre un acte délibéré, choses dont nous sommes capable, il faut faire preuve d'une conscience de nos actes, d'une volonté qui semble-t-il serait une conscience ?suprême? qui nous permettrait d'avoir conscience de notre conscience ce qui nous pousserait alors à une réflexion profonde qui ferait de nous maître de nous même.   Or Schopenhauer conteste ce fait dès les premières lignes en disant que nous ne savons pas ce que l'on souhaite réellement ou bien ce que l'on craint, ?Souvent nous ne savons pas ce que nous souhaitons ou ce que nous craignons{...}? l.1 ,en soit il dit que nous ne savons rien de notre volonté au point que nous nous surprenons à réagir d'une certaines manière après un acte inattendu.   Par exemple lors d'un décès nous pouvons venir à ressentir une sorte de réjouissance lors ce que l'on touche un héritage, c'est ainsi que intérieurement nous nous surprenons car jamais auparavant nous aurions pu nous imaginer en train de ressentir de telles émotions suite à de tels événements. Ainsi le philosophe peut remettre en question notre soit disant conscience de notre volonté, car nous ne. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles