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LA JUSTICE

Publié le 10/01/2013

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LA JUSTICE Introduction La justice est une aspiration universelle. Elle est présente dans chacun de nous mais elle est difficile à d'écrire. Etymologiquement, Justice : « Jus Dicere « : Dire le droit : le respect du droit. Le droit est un ensemble de règles : Institution judiciaire -> respect des lois d'un pays Notion morale -> respect de la morale La justice judiciaire et la justice morale peuvent coïncidés ou s'exclures. Une action peut être injuste au regard de la loi mais juste au regard de la justice morale. Quel est le fondement de a justice institutionnelle ? La justice existe que si on est en apport avec les autres. Est-ce que la justice institutionnelle et la justice morale sont identiques ? Quel est le fondement ? Pourquoi ? Comment ? Est-il universel ou pas ? I) Qu'est-ce que la justice ? A) La justice naturelle n'existe pas Sophistique -> un sophiste, des orateurs, capable de faire passer la vérité pour des mensonges. Socrate ( Platon est son disciple, IV avant J-C ) cherche la vérité en dialoguant avec les gens. La République livre de Socrate écrit par Platon. Trasymaque est un sophiste et prêtant savoir ce qu'est la justice. Socrate : Il vaut mieux être juste qu'injuste et il vaut mieux mieux subir une injustice que de la combattre. Trasymaque dit l'inverse. Pour Trasymaque, dans la nature la justice n'existe pas, c'est la loi du plus fort. Ainsi ce qui est juste est le respect de la loi de la cité. Ainsi les plus forts qui vont posséder le pouvoir vont faire des lois dans leurs propres intérêts. « Tout gouvernement institut les lois selon son intérêt propre «. Donc obéir aux lois revient à servir l'intérêt d'un autre. Du coup pour Trasymaque l'injustice est plus profitable que la justice. Mythe : Rendre des explications concrètes sur une chose que nous ne comprenons pas. Ce mythe pour Glaucon montre que personne n'est juste volontairement. Cela montre aussi que les hommes obéissent aux lois par crainte de sanctions et pace qu'ils ne peuvent commettre l'injustice impunément. Les hommes qui obéissent aux lois sont justes que par intérêt. Le juste est plus malheureux que l'injuste quand l'injustice peut se faire impunément. Nietzsche nous dit que la vie est naturellement inégale, cruelle et violent. « Parler en sois de juste et d'injuste est dépourvu de sens, en soi un préjudice, une violence, une extorsion, une destruction ne peut naturellement être rien « d'injuste «, pour autant que la vie par essence, à savoir la vie en ses fonctions fondamentale, procède par e préjudice, la violence, l'extorsion et la destruction et qu'elle ne serait être pensée sans se caractère. « B) Une exigence humaine, morale, politique. C'est bien parce que la justice est difficile à trouver qu'elle est une exigence morale, humaine, politique Le fait ce constate. Le droit exige autre chose. Jean-Jacques Rousseau distingue le fait et le droit en critiquant la notion « le droit du plus fort «. « Force ne fait pas droit « pour Rousseau et donc pour lui cette expression est contradictoire car elle confond deux ordres, le fait et le droit. C) Du sentiment d'injustice au sentiment de justice 1. Expérience de l'injustice a. Etre victime de l'injustice. Les catastrophes naturelles sont injustes, elles frappent tout le monde sans que cela soit mérité. La nature n'a pas de valeur morale, les catastrophes naturelles sont des malheurs. La justice n'a pas d'intention. L'injustice concerne uniquement les rapports humains. Plaute : « Homo homini lupus « : L'homme est un loup pour l'homme. Il y a plein de forme d'injustice. Elle semble liée à la nature humaine. Pour Emmanuel Kant l'injustice est lié au penchant égoïste de l'homme, à s'exempter des lois. b. Commettre l'injustice Après avoir commis l'injuste on peut avoir un sentiment de remord, la faute, la honte. Adolf Eichmann à organisé l'acheminement des juifs vers les camps de la mort. Procès en 1961 à Jérusalem couverte par Hannah Arendt, grande philosophe du 20e siècle. Elle montre ainsi que pour être conscient de la l'injustice, pour pouvoir se mettre à la place de l'autre, ressentir de la piti&e...
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« I) Qu’est-ce que la justice ? A) La justice naturelle n’existe pas Sophistique -> un sophiste, des orateurs, capable de faire passer la vérité pour des mensonges. Socrate ( Platon est son disciple, IV avant J-C ) cherche la vérité en dialoguant avec les gens.

La République livre de Socrate écrit par Platon . Trasymaque est un sophiste et prêtant savoir ce qu’est la justice. Socrate : Il vaut mieux être juste qu’injuste et il vaut mieux mieux subir une injustice que de la combattre.

Trasymaque dit l’inverse. Pour Trasymaque , dans la nature la justice n’existe pas, c’est la loi du plus fort.

Ainsi ce qui est juste est le respect de la loi de la cité.

Ainsi les plus forts qui vont posséder le pouvoir vont faire des lois dans leurs propres intérêts.

« Tout gouvernement institut les lois selon son intérêt propre » .

Donc obéir aux lois revient à servir l’intérêt d’un autre.

Du coup pour Trasymaque l’injustice est plus profitable que la justice. Mythe : Rendre des explications concrètes sur une chose que nous ne comprenons pas. Ce mythe pour Glaucon montre que personne n’est juste volontairement.

Cela montre aussi que les hommes obéissent aux lois par crainte de sanctions et pace qu’ils ne peuvent commettre l’injustice impunément.

Les hommes qui obéissent aux lois sont justes que par intérêt.

Le juste est plus malheureux que l’injuste quand l’injustice peut se faire impunément. Nietzsche nous dit que la vie est naturellement inégale, cruelle et violent. « Parler en sois de juste et d’injuste est dépourvu de sens, en soi un préjudice, une violence, une extorsion, une destruction ne peut naturellement être rien « d’injuste », pour autant que la vie par essence, à savoir la vie en ses fonctions fondamentale, procède par e préjudice, la violence, l’extorsion et la destruction et qu’elle ne serait être pensée sans se caractère.

» B) Une exigence humaine, morale, politique.. »

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