Devoir de Philosophie

La modernité inaugurée par Descartes conduit-elle au Bonheur ?

Publié le 17/04/2009

Extrait du document

descartes

La modernité est tout d'abord le changement dans le temps de l'environnement, de la technologie et d'une société qui remplace le passé pour un présent plus évolué. Et le bonheur se trouve à être un état de plénitude en satisfaction, une phase agréable où il y a équilibre entre le corps et l'esprit. Où toute souffrance, inquiétude ou trouble sont absent.

Selon la philosophie de Descartes, la modernité qu'il inaugure conduit-elle au bonheur? Par sa vision de l'égalité, son projet humaniste ainsi les rapports entretenu avec nature l'on a contribué à l'avancement de toute sorte dans les sociétés, mais pas nécessairement atteint le bonheur. Voici les différents sujets élaborés plus en profondeur :

 

Chemin Égalité :

 

           Tout d'abord le sujet de l'égalité, la hiérarchie entre les hommes avant Descartes était pour l'Église une vision hiérarchique et inégalitaire des hommes. Cette hiérarchie était présentée sous forme d'un triangle équilatéral; au sommet de celui-ci se trouve le ciel (le vénérer), les Européens suivaient de près le ciel, alors qu'à l'opposé, au bas, c'était la terre. Les Indiens étant plus doués de corps, ils étaient considérés comme bon à travailler seulement, ils se retrouvent donc au pied du triangle plus près de la Terre, donc du pêcher. La philosophie d'Aristote était forte semblable, les hommes étaient dotés de la raison instrumentale, de la raison pratique, ainsi que de la raison théorique, ils étaient donc placés au sommet de la hiérarchie. Les femmes étaient placées sous les hommes, car elles n'étaient pas pourvues de la raison pratique. Finalement, les esclaves étaient au dessous des hommes et des femmes, car ils possédaient seulement la raison instrumental, ils étaient donc considérés que bon à produire. La vision de Descartes, elle, ne portent pas de préjugé, autant qu'aux femmes et qu'aux gens de moindre conditions. Pour lui, que l'on nomme la raison est entière et en tous les êtres humains, donc si nous sommes tous pourvu de cette raison égalitaire, nous somme donc tous égaux, et si certains atteignent le maximum de perfection et que d'autre non, c'est probablement que certains n'utilisent pas la bonne méthode pour y arriver. À la suite de ces différentes opinions, vint la révolution française. La déclaration des droits de l'homme et du citoyen, décrété en 1789, est l'un des textes fondamentaux de cette époque qui appuie la doctrine de Descartes par la mention que tous les hommes naissent et demeurent libres et égaux. De nos jours, il y a le multiculturalisme, qu'on peut interpréter de différentes façons. Tout d'abord il désigne la coexistence de diverses cultures au sein d'un même ensemble. Il désigne aussi l'anti-discrimination afin d'assurer un statu social égal à travers les différentes cultures. Tel qu'au Canada, on adopte la Charte canadienne des droits et libertés, qui instaure une politique afin que toutes personnes de différentes cultures soient sur un même pied d'échelon. On se retrouve donc dans une controverse de l'installation des hiérarchies précédentes. D'un côté, l'égalité des cultures réduit les conflits, étant donné qu'on émet la possibilité que tout le monde soit égal, personne n'est supérieur aux autres, on élimine la discrimination et incite une meilleur entente sur un même territoire (ou autre; dans un même ensemble). De l'autre côté, il se doit d'y avoir une hiérarchie, car tout le monde ne peut pas être dirigeant, il doit y avoir différents niveaux. Les cultures ne sont pas identiques et le resteront. Si l'on élimine la hiérarchie des cultures et qu'on décrète une égalité, il va de soit que tout le monde sera dans l'obligation de respecter et de traiter avec respect les différentes cultures qui nous entour. Il y aurait donc un choc, car certaines cultures sont complètement à l'opposées des moeurs et  valeurs d'une autre.  

Je me positionne donc pour la hiérarchie des cultures, car il nous faut cette hiérarchie pour que la société fonctionne bien. Il est inconcevable de ne porter aucun jugement sur les autres cultures et d'en accepter les différents. Par exemple, tel que les pays arables, comme le Coran, le vol est puni en coupant la main du criminel. Supposons que l'un de nos enfants, ou encore frère ou soeur, soit surpris à commettre un vol par l'un des membres de cette culture, serions-nous capable d'en accepter les conséquences proprement dites à cette culture ? À mon avis, on se doit de délimiter  par une certaine hiérarchie les cultures qui nous entour pour assurer une stabilité sociale.

 

descartes

« d'un seul être type qui est la base de toute chose.

Par opposition, le dualisme évoqué par Platon, le précurseur deDescartes, lui, soutient que qu'il peut y avoir quelque chose qui sort du champ de la physique.

Descartes aprèsmaintes réflexions commença à douter de tout, même en quoi il croyait certain.

En premier lieu, il se mit à douter surla fiabilité des sens concernant les choses éloignées, tel que le soleil qu'on perçoit tout petit tellement il est éloigné,alors qu'en réalité il est de grandeur immense.

Puis, il douta au sujet des choses rapprochées, avec l'exemple de lafleur rouge que nous percevons de couleur rouge, alors que l'abeille la perçoit d'ultraviolets.

[]En faisant cela, ildécouvrit qu'il pouvait même douter jusqu'au fait qu'il ait ou non des mains.

Comme va de suit, il affirme comme surqu'il n'y a plus rien de certain, il ne peut plus faire confiance à ses sens, car ceux-ci sont trompeur ; et il ne fautpas se fier à ceux qui nous on une fois trompés.

S'en suit de la table rase, une métaphore provenant de «tabularasa», élaboré par Descartes, il s'agit du doute méthodique, il faut se défaire des préjugés, oublier toutes chosesapprises qui sont ne sont pas stable, donc complètement fausse, et repartir à zéro sur d'autres bases.

Pour tenterd'amener des éléments stables, Descartes se demande comment il connait les choses.

Il suppose qu'on soit endormi,et que tel les choses qui sont présenter durant le sommeil, sont tel des tableaux de peinture, donc on n'attribue pasdes choses entièrement nouvelle, on les conçoit avec divers faits véritable.

À cet instant, la philosophie deDescartes ne nie pas l'existence de Dieu, mais il prétend de plus pouvoir en faire la démonstration.

Un malin génie,une force extérieure pourrait le tromper, mais il est trompé, c'est donc qu'il est.

Il cherche donc une certitude.

Sonhypothèse mena au cogito : «Je pense donc je suis», vu qu'il a la faculté de penser, il est donc une chose quipense.

Actuellement, le problème face à cette réponse est qu'on affirme l'existence de Dieu, ce qui va bien sur àl'encontre de nombreuses religions et qui crée «X» nombre de conflits mondiaux.

Le système cartésien amène auDéisme, qui lui aussi crée des contreverses.

Pour mon point de vue, une présence extérieure ne devrait pas êtresource à la problématique, c'est un sujet beaucoup trop controversé qui n'est pas assimilé de tous.

De plus,personnellement, Dieu est pour moi une référence du bien et du mal, une source d'inspiration et d'échappatoire, nonpas le tireur de mes fil, tel un pantin.

Par l'exemple simple d'un meurtrier qui a tué sa femme après avoir découvertson infidélité, ce n'est pas Dieu qui l'a trompé et enrouler dans de tel actes, qui a implanté une nouvelle conceptionde la réalité pour faire en sorte qu'il imagine une autre scène le vouant au meurtre.

Je pense plutôt que noussommes maître de nos actes et actions, que oui la perception des formes est la plus réaliste de toutes, mais que lereste est propre à la notre race (humaine, animale, etc.).

Reste que l'humaniste non traditionaliste développeplusieurs points forts intéressants tels que notre raison puisse continuer même après la mort du corps parl'intermédiaire de notre âme.

Chemin Nature : Aristote partage la vision du rapport de l'homme à la nature avec les Amérindiens, selon ceux-ci la natureest tel un être vivant créateur.

Il faut donc entretenir des relations harmonieuses avec celle-ci.

Par exemple, lepeuple amérindien qui refusait de détruit l'environnement naturel avait le rituel, à la suite de la chasse d'un animalpour se nourrir, de s'excuser auprès de l'âme de l'animal décédé.

L'on démontre une grande compassion en attraitavec la nature.

Ils poussaient même à éviter de tuer toutes femelles par précaution que les petits de celle-ci nepuissent grandir en l'absence de leur mère.

On peut constater que cette vision est à l'encontre de celle deDescartes, il liait la nature animal au sens simplement mécanique; que cette nature animal ne soit doter deréflexions ou de raisonnements, les animaux agissent que par instinct de survie.

Par exemple, que notre chien quiest si joyeux de nous voir après une absence, est une simple réaction à notre présence, le chien n'aurait pas lanotion du temps que nous sommes parti, mais simplement qu'à l'instant nous sommes présent et qu'il s'en réjoui.

Laphilosophie de Descartes met l'emphase sur le principe que nous devons être maîtres de la nature, afin d'en récolterles fruits et de survivre dans la société.

À défaut de cette théorie, on rend l'homme possesseur, l'exploiteur de lanature.

L'égocentrisme met en péril la santé de la nature.

Cette maîtrise amène bien l'abondance des ressources,ainsi que le maintien d'une santé autant physique que psychologique, mais cette soit disant «maîtrise» n'est pointstable.

D'après moi, l'instauration d'une harmonie entre la nature et l'homme doit continuer d'accroître, remercier lanature de ses services au lieu d'en abuser, de la respecter en principalement la conservant, et bien sur l'entretenirafin qu'elle puisse continuer à nous amener tous ces biens, car la surexploitation qui en est suivi amène par exemple,la disparition de certaines races animales de même que la déforestation de certaines régions.

En conclusion, pour en revenir à la question au tout début, je ne crois pas que la modernité inaugurée parDescartes mène instantanément au bonheur.

Le bonheur est un sentiment de pleine satisfaction relatif à chacun.

Jene crois donc pas que tous est trouver le bonheur après ces constations, mais plutôt qu'elles ont amenées unavancement dans la société.

Pour ce qui est du sujet de l'égalité, c'est un accomplissement attendu depuislongtemps que tous puissent se présenter sur un même pied d'échelon face à sa culture, mais celle-ci n'amène pasla satisfaction de tous et est encore controversée.

Le projet humaniste de Descartes crée plus de guerresreligieuses, malgré l'hypothèse logique qu'il a pu amener, elle ne mène donc absolument pas au bonheur qu'on nepeut établir d'équilibre entre le corps et l'esprit.

Finalement, pour ce qui est du rapport avec la nature, l'être humainpeut s'avérer satisfait pour un temps éphémère vu l'abondance de ressources retirées par la nature, mais vite faitl'on entrevoit les complications qui cessent dans l'immédiat ce bonheur.

Sujet désiré en échange : La religion implique-t-elle la démission de la raison ?. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles