La mort devrait elle être enseignée?
Publié le 26/11/2012
                            
                        
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De   fait   de   se   fonctionnement   mentale   aux   enfants,   il   est   donc   important   de  
déculpabiliser   l’enfant   et   de   le   rassurer,   d’ailleurs   ce   que   monsieur   Lazhare   a  
essayé de faire aves ses élèves.
En   outre,   enseigner   la   mort   à   l’enfant,   d’une   part,   c’est   une     préparation  
psychologique de l’enfant lui permettant   d’accepter la réalité de la de la mort, a  
la   fois   dans   sa   dimension   concrète,   matérielle   et   dans   ses   implications  
psychiques,   affectives.
                                                            
                                                                                
                                                                      D’autre   part,   c’est     un   moyen   de   travailler   et   d’aider  
l’enfant à gérer son deuil  et de lui donner l’occasion de s’exprimer sur des sujets  
tabous   rejetés par la famille tel que la mort.
                                                            
                                                                                
                                                                    Dans ce contexte, diverses études  
réalisées dans ce sens et ils   ont   confirmées   que   les enfants qui  ne  trouvent  
pas   un   espace   ou   ils   peuvent       exprimer   et   investir   leurs   chagrins   et   leurs  
douleurs, ont beaucoup de chance qu’ils tombent  malades, souffrent de troubles  
de   comportement   ou   d’un   accident.
                                                            
                                                                        
                                                                      C’est   la   chose   qu’on   peut   aussi   observer  
dans   le   filme   de   Bachir   Lazhar,   quand   la   directrice   de   l’école   a   voulu   gérer  
l’incident   de   suicide     comme   toute   autre   tache   administrative,   et   a   refusé   toute  
sorte de communication au sujet de la mort avec les enfants, ce qui a favorisé  le  
comportement agressive de Soufi et Allice (agressivité et l’intimidation)
En fin, dans tout ce qui précède, nous pouvons affirmer la nécessité d’enseigner  
la   mort   à   l’école,   puisque   l’école   constitue   l’espace   le   plus   favorable   a   l’élève  
pour bien exprimer ses frustrations relative au sujet de la mort, et la aussi ,il peut  
partager ses expériences avec ses camarades de classe et avec son instituteur.
                                                            
                                                                                
                                                                     
Et  la aussi ou  il peut trouver  des réponses exactes a ses interrogations et a se  
préparer psychologiquement à faire face aux réalités de la vie, mais le problème  
qui se pose a qui l’habilité pour enseigner la mort?.
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