La Nature a-t-elle des droits ?

Si on prend la nature dans sa totalité comporte aussi bien des aspects positifs, comme donner la vie, et des aspects négatifs, avec les tsunamis, les séismes … autrement dit, toutes les catastrophes dites naturelles. Dans ce cas-là est-il possible d’octroyer un droit à un être qui a la possibilité d’ôter la vie ? Le principe même du droit repose sur le respect, donc la nature dans son ensemble n’est pas en mesure de recevoir des droits car d’une certaine manière elle ne respecte pas l’homme. Or un sujet de droit, a des droits que les autres doivent respecter, mais qui doit aussi respecter les droits des autres.  Si l’homme signe un contrat avec la nature, l’homme renonce d’une certaine manière à sa place unique d’être possédant la capacité de penser, et il doit accepter de devenir un élément parmi un tout. A partir de ce moment on arrive à la fin de l’anthropocentrisme. Alors que depuis les sociétés fonctionnent sur ce principe même qu’est l’anthropocentrisme, comment pourrait-on introduire un droit naturel sans que cela est de lourde conséquence ? Dès lors on ne peut pas attribuer à la nature des droits si on veut éviter l’effondrement des sociétés, mais malgré cela un problème reste en suspens on peut pas complètement faire abstraction de la nature puisque l’homme dépend de la nature, donc l’homme est obligé d’assumer certaines responsabilités vis-à-vis d’elle.