La peine de mort et éthique

« La peine de mort, cette sanction qualifié d’abominable fut et est encore une méthode utilisée pour rendre justice dans notre société.

Demandé la plupart du temps par une cour de justice, elle prévoit d’exécuter une personne reconnue coupable d’un crime, qualifié de capital.

En ce moment, sur 197 pays reconnus, 82 prévoit d’exécuter une personne pour ses actes.

Cependant la quasi-totalité des pays ont connu dans leur histoire cette peine qui fait beaucoup débattre dans un monde où l’on prime les droits de l’Homme.

Des questions se posent sur l’éthique de cette pratique ? Est ce qu’un être-humain, certes censé rendre justice, possède le droit de vie ou de mort sur une autre personne ? Est-il raisonnable d’ôter la vie à une personne pour ses actes volontaires ou peutêtre involontaires ? Nous nous demanderons donc si l’aspect philosophique de la peine de mort peut permettre de rendre compte sur cette pratique plus que capitale. Pour se faire, nous réaliserons tout d’abord un historique de cette sentence pour pouvoir mieux vous exposer l’aspect philosophique de ce thème avec l’aide Des délits et des peines écrit par Cesare Beccaria. ILa peine existe depuis la nuit des temps.

Dès l’Antiquité, d’où nous avons les premières traces d’exécutions, la société a prévu d’exécuté les plus hauts criminel d’état.

C’est le Code d’Hammurabi qui légalisais la mort d’autrui chez les Babyloniens, environ 1750 ans avant notre ère.

Mais il était déjà signifier que ce moyens fut le derniers, en cas d’extrême dangerosité, après tous. »