Le poids de la fatalité dans les Confessions de Rousseau
Publié le 29/10/2010
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Mais Rousseau remonte aussi à sa naissance pour y découvrir le premier chaînon d'une destinée malheureuse. « Le sort qui semblait contrarier [la] passion « de ses parents, fait naître Jean-Jacques et Jean-Jacques fait bien involontairement mourir sa mère : « Ma naissance fut le premier de mes malheurs « (p.45). L'aveugle fatalité apparaît aussi dans les signes d'infirmité et de maladie : « J'étais né presque mourant [...]. J'apportai le germe d'une incommodité « (p.45).
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