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liberté fardeau

Publié le 28/09/2012

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fardeau
l existe sans doute plusieurs façons de définir la liberté, notamment parce qu'elle prend sens dans des domaines différents. Pourtant, dans tous les cas, nous savons bien que la liberté se définit toujours comme un pouvoir : pouvoir d'agir sans être empêché, pouvoir d'être ce que l'on est ou de posséder ce que l'on a, pouvoir d'exprimer notre pensée sans être censuré, mais aussi pouvoir de penser sans être sous influence. Ainsi, être libre, c'est être maître de sa pensée, de ses actes, de sa destinée, et il n'est donc pas étonnant que les hommes revendiquent leur liberté, soit à titre individuel, soit collectivement. Tout ce qui lèse notre liberté semble en effet peser sur nos choix, limite notre existence et ainsi lèse notre humanité. Il n'est donc pas étonnant que la liberté soit en elle-même désirable. Pourtant, on ne peut manquer d'observer que les hommes se comportent parfois de bien singulières façons. Ainsi, cet homme qui, à la fois reconnaît son crime, et en même temps se défend d'en être responsable, comme s'il avait accompli son acte sans liberté, cet homme ne tient-il pas un discours contradictoire ? En effet, s'il reconnaît que la faute lui incombe, comment peut-il nier en être responsable ? Il était libre, dans la mesure où il avait le pouvoir de ne pas la commettre, et donc il doit répondre de ce qu'il a fait : il est responsable. A ce moment, donc, il considère sa liberté comme un fardeau qu'il ne veut pas assumer, puisqu'il se décharge de sa responsabilité. Il est vrai qu'en l'occurrence, il sent bien que reconnaître sa liberté lui serait fatal. Mais la liberté n'implique-t-elle pas la pleine et entière acceptation de notre responsabilité ? Serait-elle alors un fardeau ? Cela nous amène à nous demander si la liberté est un pouvoir que nous cherchons à préserver ou si au contraire c’est une responsabilité dont l’homme voudrait se débarrasser ? A première vue, un fardeau se définie comme quelque chose de lourd ou d’encombrant dont on veut se déba...
fardeau

« insupportable.

La liberté qu'en a elle est un concept définissant l'état d'une personne ou d'un peuple qui ne subit pas de contraintes, de soumissions, de servitudes exercées par une autre personne, par un pouvoir tyrannique ou par une puissance étrangère.

Mais cette définition induit une loi suprême pour que ce concept soit appliqué.

Grâce a celle-ci on perd a proprement parlé en liberté mais on gagne en sécurité.

Ainsi on peut donc dire plus simplement que la liberté est la possibilité de pouvoir agir selon sa propre volonté, dans le cadre d'un système politique ou social, dans la mesure où l'on ne porte pas atteinte aux droits des autres et à la sécurité publique.

Tout ce qui pèse sur notre liberté semble peser sur nos choix et limiter notre existence. Ce qui parait insupportable c'est d'être privé de celui-ci.

Se sentir libre c'est aussi affirmer ses idées, ses opinions et ses envies malgré un avis familial qui refuse nos décisions.

C'est un pouvoir qui nous permet de nous sentir encore plus libre, libéré de l'oppression et de la pseudo liberté offerte par la famille, on peut donner l'exemple d'un homme qui décide d'affirmer son homosexualité alors que ses parents sont de fervent catholique.

Ainsi nous sentons-nous plus léger lorsque nous arrivons à affirmer nos choix, librement.

La liberté est alors synonyme d'autonomie, et non de fardeau. Enfin, nous pouvons constater que la liberté est recherchée de toute part, revendiquée, chérie et obtenue parfois aux périls de vies humaines, on pense bien évidemment aux différentes guerres qui ont eu lieu pour la pérennité de celle-ci.

Comment voir la liberté comme un poids alors qu'elle nous offre la possibilité d'agir de manière volontaire et réfléchie sans dépendre de quiconque.

La liberté pour qu'elle soit applicable nécessite au-delà des droits, des devoirs, notamment celui de respecter la liberté des autres.

Chacun a le droit, et se doit de choisir sa liberté, et en cela chacun doit prendre au sérieux la conservation de celle-ci. Nous venons de voir que la liberté est une valeur essentielle dans notre société pour permettre l'épanouissement de chacun.

Cependant, nous allons voir que, devenue primordiale, elle peut aussi être perçue comme une contrainte.

«Je suis condamné à être libre» a déclaré Sartre.

Le mot condamné nous ramène bien à la notion de contrainte, de fardeau.

Effectivement ont peut sentir peser cette liberté sur nous, par le déterminisme qui nous. »

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