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Pourquoi travaillons nous ?

Publié le 19/01/2023

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« Pourquoi travaillons nous? Le première réponse de la question ci-dessus serait rapide et sans hésitation; nous travaillons pour gagner le pain quotidien.

Néanmoins, au fond, nous entretenons les relations ambivalentes avec le travail.

Il va de soi de dire qu’elle n’existe presque personne qui, lundi matin, n'a jamais rêvé d'avoir gagner le loto pour éviter le train-train de la semaine suivant.

En revanche, quand le besoin de gagner l'argent a été éliminer soit grâce à la retraite, soit à l’héritage ou le loto beaucoup de gens continuer de travailler.

Ils font le travail bénévole, les études académiques ou continuer à faire le travail économique, mais avec les heures réduites.

Ne suggère-t-il pas, donc, qu'il existe les raisons de travailler plus profond que l'impératif de survivre? Est-il peut-être le fait que le travail nous aide trouver notre place dans le monde; notre profession nous définit, à juste titre ou non, dans la société.

Ou encore, existe-t-il une pulsion intérieure, le travail nous donne une satisfaction, nous sentons une meilleur personne grâce au travail? Rousseau était un de peu des philosophes qui a pensé que le travail a été crée par la société plutôt qu'un besoin de survivre.

Pour lui, dans ce qu'il a appelé "l'état de nature" l'homme vivait libre par rapport aux besoins et c'était seulement après avoir crée la conception de propriété qu'on avait besoin de travailler.

Par contre, Hegel a cru qu'il était impossible de survivre sans travailler, au moins sans cueillir les fruits sauvage set les premières récoltes montrent la pulsion de travailler pour survivre.

Arendt, dans "Condition de l'Homme Moderne" renforce cette idée de la nécessité - "travailler, c'était l'asservissement de la nécessité, et cet asservissement était inhérent aux conditions de la vie humaine".

En plus pour Bacon et Descartes l'impérative de créer la technique après avoir compris la nature a eu le but de le dominer pour aboutir à la libération de l'homme de la nature. Cela dit, dans le 19ème siècle pour Nietzsche le besoin de survivre est devenu une force moins importante dans le travail.

Nietzsche a postulé que l'habitude de travailler elle-même devient d'abord un besoin; "Dans les pauses où les besoins sont apaisés et, pour ainsi dire, endormis, l'ennui vient nous surprendre" (Nietzsche; Humain, trop humain).

Ensuite, le travail devient une dynamique culturelle et sociale.

Nous pouvons constater cette dynamique aujourd'hui.

D'une part la conscience professionnelle est devenu si fort que l'épuisement (le.... »

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