Devoir de Philosophie

y'a-t-il des limites à la liberté de penser?

Publié le 13/02/2014

Extrait du document

Y’a-t-il des limites à la liberté de penser ?   Une pensée est un système qui construit et déconstruit le monde, ainsi que notre vie de tous les jours. Ne pouvant être contrôlées, chacun peut ainsi penser sans fin, en toute liberté : y mettre des limites semble donc impossible. La limite est ainsi comme une borne, elle peut-être vue comme un obstacle, une contrainte, elle est le contraire même de l’infinité, s’opposant ainsi à la possibilité. Nous pouvons alors voir une certaine tension du terme de limite avec l’idée de liberté. Celle-ci se présente comme une possibilité sans borne, laissant donc la volonté s’exprimer, chacun peut faire ce que bon lui semble. La pensée, elle, est un système frivole d’une mécanique de l’âme, elle est immatérielle, et est le fruit d’une introspection réfléchie, ou non.  La liberté de penser est-elle donc acquise naturellement ? SI Cette dernière est intérieure, comment peut-elle être limitée ?  Est-elle ainsi une liberté de chacun ou un rapport de groupe ? Ainsi, faut-il limiter la penser de la population ? D’un cote, Mettre des limites à la liberté de penser peut alors être ravageur, amenant un regroupement de personne sur un même axe pouvant être faux. De plus, d’après Descartes, la pensée n’en serait que « purement historique «, prenant ainsi le passé en acquis sans se pencher sur le futur. Mais  d’un autre côte, limiter la pensée de mauvais penseurs n’en serait que mieux.     I.     La liberté de pen...

« Descartes dit « je pense donc je suis » -> la seule certitude que l'auteur peut avoir c'est d'être car il pense.

Nous pouvons donc dire que penser est un mécanisme bien humain.

Certain chercheur assurent ainsi que l'homme est une espèce qui se démarque des autres car elle pense.

Penser est un mécanisme qui rythme notre vie, qui rappelle ce que nous sommes, pour faire avancer le monde et l'esprit d'une collectivité qui est la nôtre.

Florent Pagny ->  « Ma liberté de penser » -> Musique de masse : rappel son droit fondamental, le matériel peut avoir plusieurs propriétaire, mais la pensée n'a qu'un seul maître, soi-même.

 Penser est un instinct primaire, propre à chacun et permet une avancée sur les secteurs auxquels appartiennent les personnes.

Penser, c'est nous, et c'est les autres.

L'arrêt de penser implique donc la mort.

La mort du corps, c'est aussi la mort de l'âme. Il faut aussi penser car chacun est différent, et doit apporter nombre d'informations sur sa fonction, et sur ce qu'il est.

Ainsi, les pensées qui s'opposent peuvent, suivant leur approfondissement, faire avancer la société.

Et accepter, sans s'y soumettre, la partie opposée, c'est émettre la possibilité de pouvoir changer d'avis, de permettre au peuple d'avoir une pensée profonde et personnelle, sans hiérarchie de gouts.

Les deux opposés doivent donc soumettre des idées plausibles et approfondies.

Ce cheminement permet donc une remise en question constante, sans bornes, pour ainsi arriver à une liberté réfléchie.     2)   Une liberté qui peut être mal exploitée.   Liberté mal exploitée -> Alain -> “Préjugé.

Ce qui est jugé d'avance » -> l'homme se créer des limites à lui-même, posant ainsi à leur inexistence, des vérités établies.

La non connaissance amène à une voie de pensée effrayée par l'inconnu.

La pensée, ainsi formaté par une voix humaine qui lui dit « non » quand elle dit « peut-être », se fraye un chemin sur la route de l'inconnaissance et de l'inexorable incongruité.

Les paroles qui s'opposent sont donc inégales et le débat inexistant dans le fond et non dans la forme.

Avoir la liberté de penser c'est avoir le devoir de s'informer, pour avoir une liberté qui fait avancer.

Dans le cas contraire, la liberté se limite elle-même, comme Thésée aurait pu partir dans le labyrinthe sans le fameux fil d'Ariane, pour se perdre ainsi entre les murs, et y trouver, au mieux, un minotaure.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles