1763 résultats pour "rousseau"
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Rousseau et la lecture
26 / Livres • 2 affirme: « ... ·gardons-nous d'en conclure qu'il faille aujourd'hui brûler toutes les bibliothèques et détruire les universités èt les académies. [ ... ] Quand le mal est incurable, le médecin applique des palliatifs. » Dans une lettre à Voltaire qui était choqué par ses thèses hos tiles à la littérature, il admet, dans le même esprit, « Mais il vient un temps où le mal est tel que les causes mêmes qui l'ont fait_ naît...
- Expliquer et discuter ce jugement de Sainte-Beuve sur Rousseau : « Pour nous, quoi que la raison nous dise, pour tous ceux qui, à quelque degré, sont de sa postérité poétiquement, il nous sera toujours impossible de ne pas aimer Jean-Jacques, de ne pas lui pardonner beaucoup pour ses tableaux de jeunesse, pour son sentiment passionné de la nature, pour la rêverie dont il a apporté le génie parmi nous et dont le premier il a créé l'expression dans notre langue. »
- Quels intérêts un lecteur du XXe siècle peut-il trouver à la lecture des quatre premiers livres des Confessions de Jean-Jacques Rousseau ? Qu'est-ce qui en fait, selon vous, la modernité ?
- D'après les pièces que vous connaissez du théâtre au XIXe siècle ou du théâtre moderne, vous chercherez dans quelle mesure ces pièces confirment ou contredisent ce que J.-J. Rousseau a dit de l'influence immorale du théâtre.
- La conception de Dieu et de la religion chez les 4 grands « philosophes » du XVIIIe siècle: Montesquieu, Voltaire, Rousseau, Diderot.
- Expliquer et discuter cette pensée de J.-J. Rousseau : « c'est précisément parce que la force des choses tend toujours à détruire l'égalité que la force de la législation doit toujours tendre à la maintenir ».
- Le régime idéal est démocratique (Rousseau)
- Le Douanier Rousseau: La Bohémienne endormie
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- D'après ce que vous connaissez et de la vie de Rousseau (séjour aux Charmettes, à l'Ermitage, Rêveries du promeneur solitaire) et de l'idéal de vie qu'il a tracé dans la Nouvelle Héloïse, l'Emile, etc., vous direz dans quelle mesure une vie analogue vous plairait ou vous déplairait.
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« Rousseau est le premier qui ait forcé tout le beau monde à sortir des salons et à quitter la grande allée du parc pour la vraie promenade aux champs. « (Sainte-Beuve.)
86 XVIII 0 SIhCLE 2. Mais c'est dans sa sensibilité surtout qu'il faut voir la source chez lui du sentiment de la nature. La solitude l'exalte. Jamais je n'ai tant pensé, tant existé, tant été moi.., que dans les voyages que j'ai faits seul et à pied. 3. Enfin il trouve dans la nature la confirmation de ses théories sociales. La vie à la ville est artificielle et compliquée, on y est l'esclave des préjugés, des conventions. La campagne, au contraire, est le milieu nécessai...
- Rousseau écrit dans l'Émile (1762) : « Je dis qu'un enfant n'entend point les fables qu'on lui fait apprendre, parce que quelque effort qu'on fasse pour les rendre simples, l'instruction qu'on en veut tirer force d'y faire entrer des idées qu'il ne peut saisir, et que le tour même de la poésie, en les lui rendant plus faciles à retenir, les lui rend plus difficiles à concevoir, en sorte qu'on achète l'agrément aux dépens de la clarté » Qu'en pensez-vous ?
- ROUSSEAU: On croit m'embarrasser beaucoup en me demandant à quel point il faut borner le luxe. Mon sentiment est qu'il n'en faut point du tout. Tout est source de mal au-delà du nécessaire physique. La nature ne nous donne que trop de besoins ; et c'est au moins une très haute imprudence de les multiplier sans nécessité, et de mettre, ainsi, son âme dans une plus grande dépendance. Ce n'est pas sans raison que Socrate, regardant l'étalage d'une boutique se félicitait de n'avoir à faire
- Que pensez-vous de ce jugement de Jules Lemaître sur Voltaire : « L'œuvre immense de ce petit vieillard ne nous attire plus guère. Diderot et Rousseau nous semblent beaucoup plus près de nous... Il y a chez lui une certaine sécheresse, une certaine brièveté d'esprit qui ne nous satisfait plus. »
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Du contrat social
intellectuel. Pour les riches, une prise de conscience qui impliquerait une « modération » dans leur consommation, et pour les pauvres, qu’ils cessent d’envier la richesse d’autrui, ceci dit, une « modération d’avarice et de convoitise ». L’écrivain vise un équilibre, un moyen d’éliminer l’injustice et le despotisme. Après ce discours où il décrit la manière d’agir et de penser idéale pour une société plus libre, Rousseau admet im...
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Qu'on admire tant qu'on voudra la société humaine, il n'en sera pas moins vrai qu'elle porte naturellement les hommes à s'entre-haïr, à proportion que les intérêts se croisent, à se rendre mutuellement des services apparents et à se faire, en effet, tous les maux imaginables. J.-J. Rousseau (note 9 du Discours sur l'inégalité)
4. La politesse, fruit de la civilisation, est souvent hypocrisie, La Rochefoucauld l'avait déjà dit et bien d'autres: Les hommes ne vivraient pah longtemps en société. s'ils n'étaient les dupes les uns des autres. II. Ce qu'il y a d'exagéré et même de faux. 1. La société ne crée pas l'égoïsme qui est instinctif et ori· ginel. Mêine à l'état sauvage, et surtout à l'état sauvage, les hommes désireraient assouvir leurs passions, rechercheraient l...
- Que pensez-vous de cette opinion sur l’oisiveté : « Hors de la société, l'homme isolé, ne devant rien à personne, a le droit de vivre comme il lui plaît ; mais dans la société, où il vit nécessairement aux dépens des autres, il leur doit en travail le prix de son entretien ; cela est sans exception. Travailler est donc un devoir indispensable à l’homme social. Riche ou pauvre, puissant ou faible, tout citoyen oisif est un fripon » (J.-J. Rousseau) ?
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- Rousseau et les lumières
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Justice et pouvoir
être libre. On peut aller jusqu'à dire que la liberté pour Rousseau prend la place du cogito chez Descartes. Descartesconsidérait les animaux comme de simples automates, des machines, et la pensée seule assurait l'homme de sadifférence essentielle avec les bêtes. A cela Rousseau rétorque, faisant sienne les thèses sensualistes : « Toutanimal a des idées puisqu'il a des sens [...] et l'homme ne diffère à cet égard de la bête que du plus ou moins. »Mais, alors que l'animal est régi par l'inst...
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La morale est-elle rationnelle ?
et de vertu »). De même, à la suite de l'injustice, Rousseau montre que la pitié débouche sur une maxime valabledans l'état de nature (« une maxime de bonté naturelle ») autrement plus efficace que la maxime qui a cours dansl'état de société.A chaque fois, la pitié est un sentiment immédiat (« sans réflexion »), à l'opposé de ce que serait une raisonnaissante qui pèserait le pour et le contre, les avantages et les inconvénients. La pitié s'oppose même à l'instinct.En effet, elle est même...
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Une vie heureuse n'est elle qu'une succession de plaisirs
qu'il se réalise ou alors si il est impossible à réaliser, ce désir montre donc notre imperfection. Car nous manquons de ces biens qui sont parfois difficiles à obtenir et les ressources qui sont nécessaires pour les acquérir sont aussi parfois limité à cause des obstacles qui s'opposent à la réalisation. Donc l'absence continue de l'objet qui est désiré devrait nous permettre d'être tranquille dans notre âme, de notre ataraxie c'est-à-dire l'absence de trouble ou alors comme le bonheur qui est...
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Rosseau. Emile ou de l'education
concerné. On ne pr éfère une chose que lorsque l’on a compar é c'est àdire lorsque l’on a soumis les objets à notre r éflexion. La passion ici est une expression de la libert é, par le libre choix de l’ être aim é car elle n’est soumise mais elle s’autod étermine par rapport à la raison, la culture. Le texte évolue ensuite et aboutit à un éloge de l’Amour en exposant à la fois ses qualit és humaines et vertueuses. Ainsi, dans cette longue phrase de la ligne 7 à la ligne 11, Ro...
- LE CANARD DU BATELEUR (J.-J. ROUSSEAU)
- La religion dans les Confessions de Rousseau
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Les femmes dans les "Confessions" de Rousseau
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Rapports du droit et du devoir
pourrait en aucun cas engager la liberté de ses enfants, nés libres, car en admettant que l'on puisse disposer de saliberté, on ne peut engager celle des autres.Rousseau commence ici à démontrer les arguments fallacieux qui justifient l'emprise du pouvoir sur les hommes, etles privent de leur bien le plus précieux au nom d'une prétendue sécurité. Mais il va plus loin en montrant que mêmeun contrat de soumission est, en fait, juridiquement nul, moralement inconcevable.Un contrat suppose un échang...
- Rousseau: désir et illusion
- Les Confessions de Rousseau: Un langage nouveau
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rousseau raison pitie
HLP Jean-Jaques Rousseau est un écrivain,philosophe du XVIII ème siècle il appartient au siècle des Lumières. Rousseau est connu pour son roman Julie ou la Nouvelle Héloïse(1761) et pour avoir collaboré à la confection de l’encyclopédie avec Diderot ou encore Voltaire. Nous allons étudier un extrait de son essai philosophique Discours sur l’origine de l’inégalité parmi les hommes (1754). En lisant cet extrait on en vient a se demander Qu’est ce qui ,selon Rousseau ,oppose raison et piti...
- L'oeuvre autobiographique de Rousseau
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Le style de Rousseau dans les Confessions
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Rousseau et la justice de l'impôt
— Rappeler que la philosophie politique de Rousseau donne fréquemment lieu à une lecture contradictoire: le Contratsocial fonde-t-il la démocratie ou le totalitarisme? Il semble que cet extrait se dirige plutôt vers le second (quiaffleure par exemple dans le contrôle sur la répartition de la population: problème de la liberté de déplacement). CONCLUSION Difficulté constante de la lutte contre l'inégalité des richesses, dans toutes les sociétés. Toute la question rested'en concilier les moyen...
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Rousseau: liberté et droit
Dans ce texte, Rousseau a donc argumenté la thèse énoncée initialement, insistant successivement sur trois points: l'incommensurabilité de la liberté qui en fait une qualité irréductible ; la dimension morale de nos actions quisuppose cette même liberté comme condition ; enfin, la liberté comme condition du droit. III - EXPLICATION Ici Rousseau examine une notion difficile, qui est au cœur de la notion de droit. Il y a nullité de l'acte lorsque lesdeux contractants n'ont pas les mêmes...
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- La fessée : Les Confessions - Rousseau
- L'humour dans les Confessions de Rousseau
- La mémoire dans les Confessions de Rousseau
- Théodore ROUSSEAU, Les chênes
- LES IDÉES ESTHÉTIQUES DE ROUSSEAU
- Pierre Waldeck-Rousseau
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La journée se passe de cette sorte à folâtrer avec la plus grande liberté, et toujours avec la plus grande décence. Pas un seul mot équivoque, pas une seule plaisanterie hasardée ; et cette décence, nous ne nous l'imposions point du tout, elle venait tout
« Nous étions seuls, je respirais avec embarras, elle avait les yeux baissés. » La phrase s'ordonne selon trois indépendantes, trois perceptions de la personne - sujet : « nous », « je », « elle »... La solitude commune fonde la complicité, de ce « nous », se dégage ensuite le « je » de la conscience qui découvre la « circonstance » et l'embarras qu'il partage avec l'autre (« les yeux baissés »), « Elle ». Le « nous » se disjoint, se décompose et nous dévoile deux sujets fixé...
- Rousseau: Langage et convention
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l'histoire enseigne t-elle la relativité des valeurs ?
de l'esprit, soit cette vision intérieur de l'intellect. Inutile de se résigner ainsi à l'injustice: l'idéal nous sauve del'abandon de la justice en nous permettant de la trouver intacte en un certain endroit et de tendre vers elle commevers un idéal. Cet idéal, c'est précisément ce que va refuser Montaigne. En ce sens, et par sa critique même, peut-être va-t-ilnous permettre de mieux saisir ce que nous entendons exactement par le mot « valeur ». Montaigne, dans Les Essais (« L'apologie...
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Le destin de l'homme est-il de rompre avec son animalité en conservant et en augmentant ses connaissances ?
- D'après Rousseau, la rupture avec l'animalité a été pour l'homme une déchéance profonde qui a charrié plus de malheurs que de bienfaits : « Quand d'uncôté l'on considère les immenses travaux des hommes, tantde sciences approfondies, tant d'arts inventés, tant deforces employées (…) et que de l'autre on recherche avecun peu de méditation les vrais avantages qui ont résulté detout cela pour le bonheur de l'espèce humaine, on ne peutqu'être frappé de l'étonnante disproportion qui rè...
- Résumé: Les « Confessions » de Rousseau
- ROUSSEAU: L'écrivain. Son influence
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Du contrat social de Rousseau
une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun s'unissant à tous n'obéisse pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre qu'auparavant. » Un pacte social Ce pacte est ainsi défi ni : « Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale, et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout. » La volonté générale est...
- Rousseau: Deux sortes de dépendances
- Le droit de propriété (Rousseau)
- ROUSSEAU: la statue de Glaucus
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- ROUSSEAU: Enfance et éducation
- J.-J. Rousseau: les forts et les faibles