886 résultats pour "aristote"
- ARISTOTE : DE LA GENERATION ET DE LA CORRUPTION (Résumé & Analyse)
- ARISTOTE : TRAITE DU CIEL (Résumé & Analyse)
- ARISTOTE : ETHIQUE A EUDEME (Résumé & Analyse)
- ARISTOTE : le temps, nombre du mouvement
- ÉTHIQUE ET POLITIQUE chez Aristote
- L'éducation encyclopédique chez Aristote
- "C'est à l'être capable d'acquérir le plus grand nombre d'arts que la nature a donné l 'outil de loin le plus utile, la main." Aristote, Des Parties des animaux. Commentez cette citation.
- "De même que l'enfant doit vivre selon les commandements de son maître, notre faculté de désirer doit se conformer aux prescriptions de la raison." Aristote, Ehique à Nicomaque, 384-322 av. J.-C. Commentez cette citation. ?
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- Vous exposerez sommairement la différence de structure entre la Logique classique (celle d'Aristote et de Port-Royal) et les Logiques modernes (Logistique et Axiomatique). Vous dégagerez la signification philosophique de cette opposition. ?
- "Parmi les êtres, les uns sont par nature, les autres par d'autres causes ; par nature, les animaux et leurs parties, les plantes et les corps simples, comme terre, feu, air, eau ; ce sont des choses, en effet, et des autres de même sorte, on dit qu'elles sont par nature." Aristote, Physique, 384-322 av. J.-C. Commentez cette citation. ?
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DM : la philosophie est-elle une science comme les autres ?
premiers penseurs aux spéculations philosophiques, Aristote explique les effets de celui-ci sur ceux qui l'éprouvent. Il prépare ainsi le terrain, au moyen du concept d'ignorance, à l'énoncé de sa thèse, selon laquelle les philosophes s'adonnent à la connaissance en n'ayant aucune visée utilitaire. L'étonnement aurait pour effet la prise de conscience de l'ignorance qui conduit à l'éprouver: « apercevoir une difficulté et s'étonner, dit-il, c'est reconnaître sa propre ignorance ». De fait, p...
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La philosophie de Saint-THOMAS
la philosophie reçoit-elle dans son domaine propre une autonomie nouvelle. La raison doit engager sa démarchelibrement d'après ses exigences propres. Ce qui fait la valeur de la philosophie en tant que philosophie, ce n'est pasqu'elle est chrétienne, c'est qu'elle est vraie, rationnellement correcte. En ce sens, saint Thomas est comme on l'adit le premier philosophe moderne.Bien entendu, Dieu étant unique, la vérité est une et il ne saurait y avoir aucune contradiction, aucun conflit entrele...
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L'amitié et la connaissance de soi
Aristote commence sa réflexion sur la question de la connaissance de soi en rappelant deux choses : la difficulté et le plaisir qu'on éprouve à parvenir à une réelle connaissance de soi. Cela semble plutôt paradoxal. Première caractéristique de la connaissance de soi : sa difficulté. Si l'on en croit Aristote, « apprendre à se connaître est très difficile ». En disant cela, il ne part pas d'une vérité du sens commun : spontanément, n'aurions-nous pas tendance à dire que la conna...
- LE TEMPS ET LE MOUVEMENT - ARISTOTE
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Les hommes sont-ils naturellement sociables ?
«L'homme est un animal politique.» Aristote, Les Politiques (Ive siècle avantJ.-C.). • La célèbre formule d'Aristote va plus loin que la simple affirmation d'unesociabilité de l'homme. Il ne suffit pas de dire que l'homme aime la compagniede ses semblables, ou qu'il en a besoin pour repousser les bêtes sauvages.Pour Aristote, l'organisation en «cité» (État) est le te/os de l'homme, son butnaturel. C'est pourquoi Aristote va jusqu'à dire que la cité est «antérieure à lafamille et à chacun d...
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L'etre et le devenir
populaires, ne peut entrer dans l'abstraction du Bien, de l'Être et de l'Un, dont l'intelligence procède, mais qui n'est pas l'intelligence. Quel est maintenant le système qu'Aristote a construit pour remplacer celui de Platon et satisfaire à la causalité, principe qui domine tout quand il s'agit d'expliquer le monde?c Aristote appelle causes quatre principes différents, dont deux seulement se rapportent d'une manière directe au changement, la cause efficiente et la cause finale. Conte...
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- LES ÉCHANGES ET LA SOCIÉTÉ (Aristote)
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Dissertation : le vivant est-il un mécanisme ?
un mouvement orienté dans une certaine direction, comme s'il se dirigeait de lui-même. Il semble donc suivre un certain mouvement qu'on ne peut prévoir à l'avance à partir de sa seule étude matérielle, mais que l'on peut simplement constater après-coup, mais visant une fin comme but. Cependant, on verra dans une seconde partie que cette finalité du vivant peut être écartée, et doit l'être, pour que l'on puisse expliquer le fonctionnement de l'organisme, ce qui revient à réduire le vivant à un mé...
- LE TRAVAIL ET LA TECHNIQUE (Aristote)
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Aristote: Primauté de la sagesse.
Né à Stagire (Macédoine) en 384 av. J.-C., mort à Chalcis (Eubée) en 322.Fils du médecin Nicomaque, il vint à Athènes et suivit l'enseignement de Platon, de 367 à 347. A la mort de sonmaître, et mal vu à Athènes en sa qualité de Macédonien, Aristote fonda une école à Axos, en Troade. La morttragique de son ami Hermias, livré aux Perses, l'obligea à se retirer à Lesbos. En 342, Philippe, roi de Macédoine, luiconfia l'éducation d'Alexandre. A l'avènement de celui-ci au trône, en 335, Aristote revi...
- HISTOIRE DES ANIMAUX d'Aristote
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Aristote et la communauté (commentaire)
Textes commentés 45 Ces premières lignes de la Politique introduisent des notions essentielles, et tout d'abord celle de cité. L'étude des régimes menée dans les autres livres présuppose en effet des considérations plus fondamentales conduites dans les débuts de III et IV, et tout d'abord en 1. La cité, une ville indépendante entourée de terres, est le cadre dans lequel les diverses sociétés grecques ont organisé leur existence, jusqu'à la constitution...
- La technique chez Aristote
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Aristote: La loi, le juste et l'équitable
L'équitable est supérieur au légal et il revient à l'équité de préciser et de corriger la loi. Étapes de l'argumentation Aristote part d'un constat (qu'il aurait mieux valu reproduire dans ce passage pour en faciliter l'intelligence) : nousdistinguons parfois l'équité de la justice, c'est-à-dire de la loi. Une telle distinction pose un problème, une « difficulté» : où est le juste ? S'il se ramène à l'équitable, alors la justice n'est plus juste ; inversement, s'il se confond avecla justice lég...
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- ÉTHIQUE À EUDÈME, Aristote
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grecque, philosophie - philosophie.
6 ARISTOTE À la place des idées de Platon, qui possèdent une existence propre, distincte et éternelle, Aristote proposa un groupe d’universaux qui constituent les propriétés communes de tout groupe d’objets réels. Les universaux, à la différence des idées de Platon, n’existent pas en dehors des objets qu’ils représentent. Plus proche de la pensée de Platon était la définition que donna Aristote de la forme, entendue comme propriété distinctive des objets, mais ayant une existence indépendante...
- Le vivant chez Aristote
- Aristote: Ethique et Politique
- Aristote: l'homme et l'abeille
- GÉNÉRATION ET DE LA CORRUPTION (De la) d’Aristote
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L'imitation - Platon et Aristote
« athée et misérable ». La première mimétique est « eikastique », elle produit l'icône de la chose, la seconde est« fantastique » et ne produit que son fantasme [14] . La première mimétique s'efforce de reproduire la vérité de la chose même, elle est, pourrait-on dire, rigoriste et puritaine, la seconde est hédoniste, tendant toujours au plaisir età l'agrément [15] . Pour conclure ce rapide aperçu, il nous faut dire que c'est la conformité à l'Idée qui est le critère de vérité pourPlaton. A pa...
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L'Organum d'Aristote
Vous avez dit syllogisme ? Il s'agit d'un raisonnement déductif tel que, de deux propositions initiales appelées prémisses (une majeure et une mineure), une troisième (nommée « conclusion ») est logiquement tirée en ce qu'elle y était implicite. Le syllogisme consiste à vérifier l'appartenance d'un prédicat (majeur) à un sujet (mineur) par l'introduction d'un terme, intermédiaire (moyen terme) qui est tel que le majeur s'attribue à lui et qu'il attribue lui-même au mineur. Le syllogisme règle (d...
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- Aristote Justice et droit
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Aristote: le choix et le souhait
monter supérieur aux autres concurrents, et au fait qu'il aura été jugé tel (pas seulement par moi, mais bien par lejury décernant le prix).La seconde conséquence notable, puisque le souhait est indépendant de mon action, c'est qu'il peut concerner deséléments situés à beaucoup plus long terme que le choix. Ce dernier s'élabore à partir du réel, et son résultatapparaît dans un délai relativement court, puisqu'il dépend de la façon dont je le mets en oeuvre. Au contraire, lesouhait, parce qu...
- Aristote: esclave par nature ?
- Aristote: La compétence technique
- Aristote Socrates Onassis
- Aristote et les premiers principes
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Thomas d'Aquin et la tripartition des sciences
Au 12 e et 13 e siècle, la question de la connaissance, l’étendue possible du savoir, s’est trouvée complètement changée par la redécouverte du système aristotélicien 1 . Ainsi, les travaux d’Aristote se propagèrent en Europe par le biais de traducteurs et de commentateurs arabes comme Avicenne et Averroès 2 . À cette époque, Thomas d’Aquin, philosophe, mais avant tout théologien catholique, tenta de fond...
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ARISTOTE
en est de plus profonds. Mais il faut de toute façon, pour mesurer en connaissance de cause la stature de ce pen· seur, commencer par reviser sa légende. La légende Tout d'abord, il est patent que jamais l'aristotélisme n'est parvenu dans la pensée occidentalè à se tailler un monopole et à opprimer ainsi de façon durable et étendue les autres courants, souvent très opposés à ses positions maîtresses. L'adaptation thomiste, qui...
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Aristote
Nature de l'esprit Étonnement (naturel) Réflexion (naturelle) .Ignorance
- La critique des idées de Platon chez Aristote
- Primauté de l'expérience sur la méthode chez Aristote
- Aristote
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Qu'est-ce qu'un citoyen libre ?
à une communauté quelconque, ou encore régie par des intérêts « économiques », que l'accès à une sphère autre,seulement politique, et qui permet à l'homme de s'épanouir en tant qu'homme, de viser le bonheur, d'entretenir avecles autres hommes des liens libres, libérés de tout enjeu vital.Plus étranges peuvent paraître les deux autres thèses, liées, d'Aristote, affirmant que la cité est une réaliténaturelle, et surtout, qu'elle est antérieure par nature à l'individu. Cela signifie que l'ho...
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Les hommes ne vivent-ils en société que par intérêt ?
C'est au second chapitre du premier livre de la « Politique » que l'on retrouve en substance la formule d'Aristote. On traduit souvent mal en disant : l'homme est un « animal social », se méprenant sur le sens du mot « politique », qui désigne l'appartenance de l'individu à la « polis », la cité, qui est une forme spécifique de la vie politique, particulière au monde grec. En disant de l'homme qu'il est l'animal politique au suprême degré, et enjustifiant sa position, Arist...
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TEXTE PHILOSOPHIE ETAT ET JUSTICE
EC1 Textes Etat + questions. L'Etat, la société, la justice, le droit. Textes. Répondre aux questions suivantes à partir des textes en rouge: 1) En quel sens et pour quelle raison Aristote fait-il de l’homme un animal politique ? 2) Qu’est-ce qui légitime l’existence de l’État selon Hobbes ? 3) Quelle est la différence entre liberté naturelle et liberté civile d’après Rousseau dans Du contrat Social ? 4) Comment peut-on définir l’équité ? Appuyez-vous sur le raisonnement aristotélicien...
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Pourquoi refuser la conscience à l'animal ?
nous ne les entendons pas ; car comme les chiens et quelques autres animaux nous expriment leur passion, ils nousexprimeraient aussi bien leurs pensées, s'ils en avaient. » DESCARTES, « Lettre au marquis de Newcastle » Le texte commence par l'énoncé d'une thèse : seul un échange de signes (par exemple : les signes de la paroleconstitués par des sons de voix –mais on peut penser aussi aux gestuelles dont se servent les sourds pourcommuniquer) indique la présence de l'âme dans un corps et...
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ARISTOTE: Les Idées de Platon
fixe dans la nature mouvante et changeante des êtres générables et corruptibles, de tout ce qui naît et périt).Ici, il s'agit de se référer aux Idées en tant qu'origine, source génératrice de ces mêmes êtres sensibles (ce quiimplique qu'elles aient la capacité de les engendrer). Ici et là, il s'agit bien (ce qui unifie d'une certaine façon ladouble fonction des Idées) d'expliquer les choses : de faire sortir leur existence sensible aussi bien que leuressence intelligible d'une réalité supérieure...
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Aristote et l'ordre politique
Pyth. II, v. 72. Et qui appartenait peut-être déjà au passé au moment où Aristote élaborait sa philosophie politique :cf. Pellegrin, préface de son édition des Politiques, p. 17-18. 10 Cf. Certaines des critiques faites par Habermas à H.Arendt. Voir résumé de J.-M. Ferry, Habermas. L'éthique de la communication, PUF, 1987.9 8 b/ La meilleure « pour la plupart des Cités ». S'agit-il du régime « constitutionnel » décrit en Pol. IV 8 ? (voir lesarguments en ce sens dans l'Appendice II). On peut obj...