7 résultats pour "allions"
- Marcel Proust écrit dans A la recherche du temps perdu : « Des ailes, un autre appareil respiratoire, et qui nous permissent de traverser l'immensité, ne nous serviraient à rien, car si nous allions dans Mars et dans Vénus en gardant les mêmes sens, ils revêtiraient du même aspect que les choses de la Terre tout ce que nous pourrions voir. Le seul véritable voyage, le seul bain de Jouvence, ce ne serait pas d'aller vers de nouveaux paysages, mais d'avoir d'autres yeux, de voir l'uni
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Explication de texte, Victor Hugo
Partie 1 (vers 1 à 8) : description de la jeune femme à travers la quête du fruit Ce poème est une églogue narrative, mettant en scène deux personnes : le poète lui-même qui s'exprime à la première personne, et une jeune femme qui l'accompagne. • Hugo commence son poème par le pronom personnel « nous » au vers 1, qui renvoi au deux amants, et qui est aussi plus apte à traduire l'intimité, car c'est un texte autobiographique. Les deux personnages sont d'emblée liés...
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Commentaire (Quatre poèmes à Hélène)
par le poète, bouleverse son univers. Finalement la rencontre de la femme aimée transforme terriblement l'univers du poète. Un espace sec et stérile est décrit: l'attente est une « sécheresse », ou le « blé » est rare, et « ne monte pas plus haut qu'une oreille dans l'herbe ». Cette sécheresse, métaphore du manque, se retrouve aussi à travers l'image du « pas brûlant ». La femme devient liquide : elle apparaît telle une « douce pluie qui ne sèche jamais »). La femme aimée bouleverse le mon...
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Je n'en croyais pas mes yeux.
Navarro etson pilote savaient maintenant qu’ilsavaient unpassager clandestin, maisilsne semblaient pas pressés deme remercier deleur avoir sauvé lamise. Pendant cesquelques instantsd’accalmie, Alexregarda par lafenêtre del’hélico etlasurprise éclairasonvisage quandildécouvrit maprésence. Nosregards se croisèrent, etleplaisir quibrillait danssesyeux rechargea mesbatteries. Le pilote semit alors àexécuter unesérie detonneaux latérauxdanslebut évident deme faire lâcher prise… Aubout d’unmoment, lem...
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Le Grand Meaulnes
était au mois d'août.
Au moment où nous arrivions au sommet de la côte, à l'endroit où il reste deux grosse vieilles pierres qu'on dit être les vestiges d'un château fort, il en vint à parler des domaines qu'il avait visités et spécialement d'un domaine à demi abandonné aux environs du Vieux-Nançay: le domaine des Sablonnières. Avec cet accent de l'Allier qui arrondit vaniteusement certains mots et abrège avec précosité les autres, il racontait avoir vu quelques années auparavant, dans la chapelle en ruine de cette v...
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1L'inimaginable voyage
Un aspect singulier, même s'il est structurellement satisfaisant, de
décrit dansBereishir, grâceàla terre (ou,pour ainsidire,grâce àla boue), undétail supplémentaire danslerécit duDéluge suggère, àson tour, quenous devrions voirunlien entre l'énorme destruction provoquéeparleDéluge etlenouvel actede« création » – c'est-à- dire lenouveau commencement delavie, parmi lesrares survivants, quisuit leDéluge et rétablit legenre humain surterre. Carnous apprenons dansdenombreux commentaires midrashiques queleseaux duDéluge, lestorrents, quiont arraché touslesêtres vivant...
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longtemps.
heureusement cellequenous avions prévudeconsacrer àune marche danslaville etàla découverte dessites touristiques. Notrepremière interview avecKlara étaitprévue pourle samedi. C'estparce quenous avons manqué levendredi quenous n'avons paspuvoir lessites touristiques etque ceque nous avons vude laville estlimité àce que nous avons puobserver depuis lesvitres denotre taxi,pendant quenous foncions chezKlara Freilich, lesamedi, etàce que nous avons pudécouvrir lorsquenousl'avons revue,ledimanche etle...