16 résultats pour "apercevable"
- APERCEVABLE, adjectif.
- APERCEVANCE, substantif féminin.
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Dom Juan, apercevant Charlotte.
Rencontre entre Dom Juan et Charlotte, nouvelle conquête après la théorie, la pratique. I. La stratégie du séducteur La stratégie repose sur la flatterie, il agit par l’acte de dire, DJ prend l’initiative, il mène la conversation, il pose les questions, il avait été sauvé par Pierrot Idées Procédés Il la flatte Il est curieux et il inaugure l’échange e posant toute une série de questions Il la met sur un pied d’égalité, il devrait la tutoyer Dj va faire l’éloge de Charlott...
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moment que le bébé est en bonne santé, qu'il a tous ses doigts et tous ses orteils?
était lafille desamère, etildevait luifalloir uncertain tempspourchanger devêtements etse peigner. L'attente seprolongeait, lejour baissait deplus enplus etlabrume tombait. Detemps àautre, onpercevait leronflement d'une voiture surlaroute dePomfret, riend'autre. Wexford apercevait lesentier surune dizaine demètres enarrière et une cinquantaine enavant. Et soudain, elleapparut. Comment avait-ellepuvenir aussiviteetsans faire lemoindre bruit?Wexford distinguait nettement sonvisage, etilconstata qu...
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Du haut de l'escalier, on apercevait des petites boules glisser alertement sur des tapis
verts et, d'autres plus légères, zébrer le brouillard qui s'élevait des demis de bière et
des bretelles humides.
intérieure et,sur leplan delapolitique extérieure, dedénaturer àl’usage desétrangers l’héritage magnifique quelescuisines deFrance ontreçu desGaulois, àqui l’on doit, en outre, comme chacunsait,lesbraies, latonnellerie etl’art non figuratif. — Vous m’empêcherez toutdemême pasdedire, ditZazie, quec’(geste) est dégueulasse. — Bien sûr,bien sûr,ditGabriel, jeveux pasteforcer. Jesuis compréhensif moi,pas vrai, madame ? — Des fois,ditlaveuve Mouaque. Desfois. — C’est pastellement ça,ditTrouscaillon,...
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Molière, Tartuffe, Acte III, scène 2.
Tartuffe, Laurent, Dorine.
TARTUFFE, apercevant Dorine.
Laurent, serrez ma haire avec ma discipline,
Et...
Molière, Tartuffe, Acte III, scène 2. Tartuffe, Laurent, Dorine. TARTUFFE, apercevant Dorine. Laurent, serrez ma haire avec ma discipline, Et priez que toujours le Ciel vous illumine. Si l'on vient pour me voir, je vais aux prisonniers Des aumônes que j'ai partager les deniers. DORINE. Que d'affectation et de forfanterie ! TARTUFFE. Que voulez-vous ? DORINE. Vous dire... TARTUFFE. Il tire un mouchoir de sa poche. Ah ! mon Dieu, je vous prie, Avant que de parler prenez-moi ce mouchoir. DORINE. Co...
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Sujet francais
Sujet 1 | Énoncé Texte 2 Emma a épousé Charles Bovary, un officier de santé. Elle mène une vie plate et médiocre, bien différente du bonheur que lui faisaient imaginer ses lectures romanesques au couvent où elle a fait ses études. Elle sombre peu à peu dans l’ennui et la mélancolie. Un soir que la fenêtre était ouverte, et que, assise au bord, elle venait de regarder Lestiboudois, le bedeau 2, qui taillait le buis, elle entendit tout à coup sonner l’angélus 3. On était au commencement d’avr...
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CHAPITRE XXV
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.Clélia n'en croit pas ses yeux en apercevant Fabrice qui,
de la fenêtre de sa cellule, la...
CHAPITRE XXV • .Clélia n'en croit pas ses yeux en apercevant Fabrice qui, de la fenêtre de sa cellule, la salue, pleurant de bonheur. Elle s'évanouit, puis se cache pour obéir à son vœu de ne , plus le revoir. Cependant, elle apprend que Fabrice ne sortira pas vivant de la citadelle. Des paroles ambiguës de son père, le silence total du côté du prisonnier lui font peni ser que l' irrémédiable a déjà été commis. Hors d'ellei même, elle monte à la tour, bouscule ·les geôliers, arrive à Fabrice q...
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Dom Juan de Molière: Une structure éclatée
L'acte 1 a pour décor un palais. La remarque de Sgana relle apercevant son maître : « Le voilà qui vient se promener dans ce palais» (acte 1, scène 1) le précise. Ce n'est pas une résidence isolée dans la campagne, mais située dans ~-ne agglomération importante. La question que pose Dom Juan, inquiet de la présence de Gusman : « Et depuis quand est-il en cette ville?» (acte 1, scène 2) l'indique formellement. La destination...
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La belle Gabrielle, vol.
apercevait les eaux diaprées d'argent de la haute lagune. La musique continuait. Crillon écoutait toujours. Alors une petite gondole, avec son cabanon de drap noir à houppes soyeuses, s'avança silencieusement par le travers de la gondole qui portait Crillon. Un seul barcarol, vêtu à la façon des gens de service et masqué, la dirigeait sans effort. Cet homme après avoir rangé son esquif côte à côte avec l'autre, rama quelque temps de conserve comme pour donner la facilité à son maître de voir et...
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bien riche, par ma foi, pour gaspiller ton argent de cette façon !
Miss Sarah Pocket, etnon Estelle, vintm’ouvrir. « Comment ! c’estencore toi ?ditmiss Pocket. Queveux-tu ? » Quand jelui eus ditque j’étais seulement venupoursavoir comment seportait missHavisham, Sarahdélibéra si elle merenverrait ounon àmon ouvrage. Maisnevoulant pasprendre surelle une pareille responsabilité, elleme laissa entrer, etrevint bientôt medire sèchement quejepouvais monter. Rien n’était changé, etmiss Havisham étaitseule. « Eh bien ! dit-elle enfixant sesyeux surmoi, j’espère quetun...
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avait une rampe de velours rouge, s'ouvrait en deux branches, légèrement tordues, et entre lesquelles se trouvait, au fond, la
porte du grand salon.
adorables, au-dessusdeces jupes d’une ampleur royaleetd’une richesse unpeu chargée. Décolletée jusqu’àlapointe des seins, lesbras découverts avecdestouffes deviolettes surlesépaules, lajeune femme semblait sortirtoute nuedesagaine de tulle etde satin, pareille àune deces nymphes dontlebuste sedégage deschênes sacrés ; etsa gorge blanche, soncorps souple, étaitdéjàsiheureux desademi-liberté, queleregard s’attendait toujoursàvoir peuàpeu lecorsage etles jupes glisser, comme levêtement d’unebaigneu...
- Madame bovary
- Pierre et Jean
- Émile Zola LA CURÉE (1872)
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I
Au retour, dans l'encombrement des voitures qui rentraient par le bord du lac, la calèche dut marcher au pas.
mondaines envoiture découverte, menaçaitdeseterminer parune soirée d’unefraîcheur aiguë. Un moment, lajeune femme restapelotonnée, retrouvantlachaleur deson coin, s’abandonnant aubercement voluptueux de toutes cesroues quitournaient devantelle.Puis, levant latête vers Maxime, dontlesregards déshabillaient tranquillement lesfemmes étaléesdanslescoupés etdans leslandaus voisins : – Vrai, demanda-t-elle, est-cequetulatrouves jolie,cette Laure d’Aurigny ? Vousenfaisiez unéloge, l’autre jour,lorsqu’o...