7 résultats pour "camerounaise"
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Le peuple camerounais et son élite intellectuelle
En quête de porte-parole, l’opinion camerounaise se fourvoie sur le rôle de l’élite intellectuelle.
maison blanche. On pensait alors que le rédempteur de l’Afrique était arrivé à la tête de la première puissance et que le "i have a dream" de Martin Luther s'était réalisé. Quelle ne fut pas la désolation ! Le monsieur n'était qu'un pantin qui est même venu empirer la situation et qui a montrer que ce rêve lutherien reste encore très éloigné. Le messager désigné par le peuple, qui n’a probablement pas demandé à l’être, doit malheureusement suivre notre danse de bout e...
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L’économie camerounaise a connu une décélération selon le Rapport économique et financier 2005 du
ministère des Finances : croissance de...
L’économie camerounaise a connu une décélération selon le Rapport économique et financier 2005 du ministère des Finances : croissance de 2,8 % et inflation de 1,8 % en 2005 ; réalisation des dépenses inscrites au budget à hauteur de 50 %, en direction du secteur de la santé ou de la lutte contre la pauvreté ; perte globale de compétitivité contribuant au renchérissement du coût des produits locaux… La morosité a été encore alimentée par l’inflexibilité manifestée par le gouvernement dans l’appli...
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L'économie camerounaise a poursuivi la dynamique de croissance engagée depuis 1994-1995 et
consécutive à la dévaluation du franc CFA. La...
L'économie camerounaise a poursuivi la dynamique de croissance engagée depuis 1994-1995 et consécutive à la dévaluation du franc CFA. La croissance serait néanmoins passée de 5,2 % à 4,9 % courant 1998-1999, selon le Comité monétaire national. Les pouvoirs publics ont continué les réformes d'ajustement soutenues par le FMI et la Banque mondiale. En septembre 1998, un prêt de 42 milliards de francs CFA a d'ailleurs été accordé dans le cadre de la Facilité d'ajustement structurel renforcée (FASR)...
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L'économie camerounaise a connu un recul inquiétant en 2001 : croissance de 5,3 %, inflation de 2,8 %,
déficit de...
L'économie camerounaise a connu un recul inquiétant en 2001 : croissance de 5,3 %, inflation de 2,8 %, déficit de la balance commerciale, explosion de la pauvreté (touchant plus de 56 % de la population) et incapacité du gouvernement à débloquer les fonds destinés aux pays pauvres très endettés (PPTE), 400 milliards FCFA, faute de projets éligibles. La revue trimestrielle FMI-Banque mondiale, au Cameroun du 27 février au 14 mars 2002, attribuait cette situation à la persistance d'une politique f...
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L'économie camerounaise a poursuivi la dynamique de croissance engagée depuis 1994-1995 grâce aux
effets de la dévaluation du franc CFA...
L'économie camerounaise a poursuivi la dynamique de croissance engagée depuis 1994-1995 grâce aux effets de la dévaluation du franc CFA en janvier 1994. Les pouvoirs publics ont mis en œuvre une stratégie d'assainissement des finances publiques qui s'est traduite par une croissance de 50 % de l'excédent budgétaire (5,7 % du PIB pour 1997-1998). Les réformes des entreprises publiques se sont poursuivies avec l'adjudication provisoire de la concession de la Regifercam aux groupes français SAGA (tr...
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L'économie camerounaise est restée fragile en 2002 : croissance de 4,3 %, inflation de 4,5 % et
investissements directs étrangers...
L'économie camerounaise est restée fragile en 2002 : croissance de 4,3 %, inflation de 4,5 % et investissements directs étrangers stagnant à 1,3 milliard de dollars. La revue trimestrielle FMI-Banque mondiale, du 27 février au 17 mars 2003, attribuait cette situation au retard pris dans les réformes structurelles. Les critiques pointant les effets pervers des privatisations (augmentation du tarif de l'électricité dans un contexte de pénurie, crise du transport ferroviaire de voyageurs, controver...
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L'économie camerounaise est restée en croissance (4,2 % en 2000). Selon le Comité monétaire national
réuni le 22 février 2001,...
L'économie camerounaise est restée en croissance (4,2 % en 2000). Selon le Comité monétaire national réuni le 22 février 2001, l'inflation était de 2 %, l'accumulation des arriérés intérieurs arrêtée, les relations avec les créanciers extérieurs normalisées, le compte d'opérations créditeur de 126,5 milliards FCFA. Plusieurs facteurs expliquent ce maintien : la bonne tenue du cours du pétrole, l'éligibilité à l'"initiative d'allégement de la dette" des pays pauvres très endettés (PPTE) - 37 mill...