17 résultats pour "chevet"
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Vocabulaire:
CHEVET, substantif masculin.
chambre parce que ses parents voulaient dormir... FRAN?OIS MAURIAC, Le Noeud de vip?res, 1932, page 179. SYNTAXE?: Accourir au chevet, appeler au chevet, s'asseoir au chevet, quitter le chevet, rester au chevet, se trouver au chevet, veiller au chevet (de quelqu'un). C.? De chevet. Qui est plac? au (pr?s du) chevet?: ? 4. La lecture au soir dans le lit avec un seul coupe-papier qu'on se dispute, et une lampe de chevet qu'on allume de la porte. JEAN GIRAUDOUX, L'Apollon de Bellac, 1942, 8...
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église (architecture) - architecture.
Les travées d’une nef sont comptabilisées par le nombre de divisions, à savoir les espaces délimités par deux piles maîtresses qui supportent les arcs doubleaux sur lesquels reposent les voûtes de la nef. On commence à dénombrer les travées en partant de l’entrée principale jusqu’au chœur. L’église de Paray-le-Monial en Saône-et-Loire est constituée d’une nef à trois travées alors que l’église Saint-Étienne de Caen en compte huit. Pour les églises dites à file de coupoles, c’est-à-dire dont la n...
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gothique, art.
tendent vers une certaine rigueur formelle et un équilibre des proportions. Par exemple, les différents types de voûtements sont abandonnés pour ne retenir, à quelques exceptions près, que la voûte quadripartite sur travée barlongue. En plan, un transept saillant sépare la nef et le chevet d’égale importance, alors qu’en élévation les grandes arcades possèdent la même hauteur que les fenêtres hautes. L’élévation est à trois niveaux : grandes arcades, triforium et fenêtres hautes. Les supports so...
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gothique, art - arts décoratifs.
tendent vers une certaine rigueur formelle et un équilibre des proportions. Par exemple, les différents types de voûtements sont abandonnés pour ne retenir, à quelques exceptions près, que la voûte quadripartite sur travée barlongue. En plan, un transept saillant sépare la nef et le chevet d’égale importance, alors qu’en élévation les grandes arcades possèdent la même hauteur que les fenêtres hautes. L’élévation est à trois niveaux : grandes arcades, triforium et fenêtres hautes. Les supports so...
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gothique, art - beaux-arts.
tendent vers une certaine rigueur formelle et un équilibre des proportions. Par exemple, les différents types de voûtements sont abandonnés pour ne retenir, à quelques exceptions près, que la voûte quadripartite sur travée barlongue. En plan, un transept saillant sépare la nef et le chevet d’égale importance, alors qu’en élévation les grandes arcades possèdent la même hauteur que les fenêtres hautes. L’élévation est à trois niveaux : grandes arcades, triforium et fenêtres hautes. Les supports so...
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roman, art - beaux-arts.
Dans le dernier tiers du XIe siècle, on assiste à une phase de stabilité et d’exploitation des recherches menées précédemment (les églises dites de pèlerinage, Saint-Martin de Tours, Saint-Martial de Limoges, Sainte-Foy de Conques, Saint-Sernin de Toulouse, Saint-Jacques de Compostelle) : le déambulatoire à chapelles rayonnantes s’impose ; l’édifice est entièrement voûté et divisé en cellules nettement individualisées à la fois sur la voûte, grâce aux arcs doubleaux, et par les colonnes enga...
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gothique, art - peinture.
tendent vers une certaine rigueur formelle et un équilibre des proportions. Par exemple, les différents types de voûtements sont abandonnés pour ne retenir, à quelques exceptions près, que la voûte quadripartite sur travée barlongue. En plan, un transept saillant sépare la nef et le chevet d’égale importance, alors qu’en élévation les grandes arcades possèdent la même hauteur que les fenêtres hautes. L’élévation est à trois niveaux : grandes arcades, triforium et fenêtres hautes. Les supports so...
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gothique, art - sculpture.
tendent vers une certaine rigueur formelle et un équilibre des proportions. Par exemple, les différents types de voûtements sont abandonnés pour ne retenir, à quelques exceptions près, que la voûte quadripartite sur travée barlongue. En plan, un transept saillant sépare la nef et le chevet d’égale importance, alors qu’en élévation les grandes arcades possèdent la même hauteur que les fenêtres hautes. L’élévation est à trois niveaux : grandes arcades, triforium et fenêtres hautes. Les supports so...
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- MAKURA-NO-SOSHI [Notes de chevet].
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La Legende des Siecles
Et que j'étais déjà barbe grise, elle avait
Coutume de venir dès l'aube à mon chevet;
Parfois, elle voulait m'attacher mon épée,
Et, de la dureté d'une boucle occupée,
Ou se piquant les doigts aux clous du ceinturon,
Elle riait.
Ayant plus d'habitude aux chemises d'acier. IX JOIE HORS DU CHÂTEAU Le soir vient, le soleil descend dans son brasier; Et voilà qu'au penchant des mers, sur les collines, Partout, les milans roux, les chouettes félines, L'autour glouton, l'orfraie horrible dont l'oeil luit Avec du sang le jour, qui devient feu la nuit, Tous les tristes oiseaux mangeurs de chair humaine, Fils de ces vieux vautours nés de l'aigle romaine Que la louve d'airain aux cirques appela, Qui suivaient Mar...
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Gothic Art and Architecture
I
INTRODUCTION
Notre Dame Cathedral, Paris
Notre Dame Cathedral, in Paris, was begun in 1163 and completed for the most part in 1250.
and by external arches, called flying buttresses. Consequently, the thick walls of Romanesque architecture could be largely replaced by thinner walls with glass windows,and the interiors could reach unprecedented heights. A revolution in building techniques thus occurred. With the Gothic vault, a ground plan could take on a variety of shapes. The general plan of the cathedrals, however, consisting of a long three-aisled nave interceptedby a transept and followed by a shorter choir and sanctuary,...
- gothique, art
- roman, art
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Vocabulaire:
CLINIQUE1, adjectif et substantif féminin.
? 4. Il n'a pas ?t? absolument inutile que la folie de ces derni?res ann?es ne trouv?t pas devant elle que des intelligences exerc?es ? une pr?vision de la crise pour ainsi dire clinique, et, jusqu'? un certain point, fataliste. JEAN-RICHARD BLOCH, Destin du si?cle, 1931, page 234. C.? Au figur?. Qui a la s?cheresse d'?criture d'un diagnostic clinique?: ? 5. Toutes ces choses dites ? froid, couch?es toutes nues sur le papier, ces mots d'une pr?cision horrible, ces phrases cliniques, priv?e...
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« Ce n’est qu’une poésie burlesque, je crains, dénaturée dans la mémoire des vieilles. Je laisse à votre jugement d’en interpréter le sens, s’il y en a un. Mais les vieilles gens se servent toujours d’une infusion de cette herbe contre les maux de tête. »
de pareilles choses. Mais qui sait ce qu’elle disait aux ténèbres, seule, dans les amères veilles de la nuit, lorsque toute sa vie semblait s’étriquer et les murs de son appartement se resserrer autour d’elle, comme une cage pour retenir quelque bête sauvage ? » Eomer se tut et contempla sa sœur comme s’il se remémorait tous les jours de leur vie passée en commun. Mais Aragorn dit : « J’ai vu aussi ce qu e vous avez vu, Eomer. Peu d’autres chagrins parmi les mauvaises fortunes de...
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Mais Denethor ne lui permit pas d’aller loin.
orque qui ordonna l’assaut contre le plus grand ennemi du Seigneur de Mordor. Un po uvoir et un esprit malfaisant le guidèrent. Dès que les grandes catapultes furent installées, elles commencèrent, avec un grand accompagnement de hurlements et force craquements de cordes et de treuils, à lancer des projectiles à une hauteur surprenante, d e sorte qu’ils passaient bien au- dessus des remparts pour tomber avec un bruit sourd à l’intérieur du premier cercle de la Cité, et bon nombre d’entre e...
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Mais Denethor ne lui permit pas d'aller loin.
accompagnement dehurlements etforce craquements decordes etde treuils, àlancer desprojectiles àune hauteur surprenante, desorte qu’ils passaient bienau-dessus desremparts pourtomber avecunbruit sourd à l’intérieur dupremier cercledelaCité, etbon nombre d’entreeux,parquelque artificesecret,éclataient en flammes dansleurchute. Il yeut bientôt granddanger d’incendie derrièrelemur, ettous ceux quiétaient disponibles s’affairèrent à étouffer lesflammes quijaillissaient enmaints endroits. Puis,parmi l...