12 résultats pour "cognée"
-
Vocabulaire:
COGNER, verbe.
? Employ? avec un pronom r?fl?chi indirect. [Le compl?ment d?signe une partie du corps] Il a essay? de s'ouvrir le cr?ne en se cognant la t?te contre le mur (JULIEN GREEN, Journal, 1942, page 264 ). Remarque?: 1. Se cogner la t?te. Cogner sa t?te. 2. On rencontre le verbe suivi d'un objet interne. Il s'en va cogner un grand coup dans le petit po?le (LOUIS-FERDINAND C?LINE, Voyage au bout de la nuit, 1932, page 622). ? emploi absolu. [?ventuellement suivi d'un compl?ment d'objet secondaire...
-
Vocabulaire:
COGNÉE, substantif féminin.
?. L'un de ces cornets [les oreilles du li?vre] (...) ?piait le gr?sillement de la gel?e, tandis que l'autre, ouvert ? l'horizon, recueillait les cogn?es d'une hache dont r?sonnait la for?t morte (FRANCIS JAMMES, Le Roman du li?vre, 1903, page 32). Fr?quence absolue litt?raire Cogn?e?: 161. Coign?e?: 4. Forme d?riv?e du verbe "cogner" cogner COGNER, verbe. I.? Emploi transitif. A.? Vieux. Frapper sur quelque chose pour l'enfoncer. Cogner un clou. ? Au figur?, r?gionalisme (Canada), f...
-
Vocabulaire:
COGNE, substantif masculin.
Amable du coude?: ? Ton p?re qui cogne des clous!... GERMAINE GU?VREMONT, Le Survenant, 1945, page 95. Remarque : Grand dictionnaire universel du XIXe. si?cle (Pierre Larousse), DICTIONNAIRE DE LA LANGUE FRAN?AISE (?MILE LITTR?) mentionnent l'expression figur?e cogner un f?tu (? s'occuper de choses sans importance ?) et la plupart des dictionnaires g?n?raux du XIXe. si?cle, le substantif masculin cogne-f?tu (? celui qui se donne beaucoup de peine pour ne rien faire ?) qui para?t cependant...
- Vocabulaire: COGNEMENT, substantif masculin.
-
La Terre
plus, car elle se doutait de la scene qui l'attendait.
Silence! c'est fini... Je cogne sur le premier qui continue. Et si je veux continuer, moi! demanda Fouan, la voix tremblante, est-ce que tu cogneras? Sur vous comme sur les autres.... Vous m'embetez! Francoise, bravement, s'etait mise entre eux. Je vous en prie, mon oncle, ne vous en melez point.... Vous avez bien vu que je suis assez grande fille pour me defendre. Mais le vieux l'ecarta. Laisse, ca ne te regarde plus.... C'est mon affaire. Et, levant sa canne: Ah! tu cognerais, bandit!......
- Expliquez cette maxime populaire : « Il ne faut pas jeter le manche après la cognée. » Dites comment chacun de nous peut la mettre en pratique dans la conduite de sa vie. ?
-
Elle avait une allure différente, elle était différente.
La plus jeune, jene m'en souviens pas,adit lentement Meg,assise danslasalle deséjour de son beau-frère. Bronia.J'aifouillé dansmamémoire, j'aiessayé, maisjen'y arrive pas...Lorka je l'ai vue, parce quenous avons grandi ensemble, etRuchele étaittoujours danslamaison. Mais Bronia, jen'y arrive pas– iln'y aaucun souvenir, jene peux pasvous direpourquoi. Elleétait encore unbébé. Elle s'est interrompue uneseconde. Lorsque vousalliez chezeux,elleétait là,quand vousm'avez montré cettephoto, j'aisuque c...
-
Vocabulaire:
CLOU, substantif masculin.
? 3. ? Tu ne viendras pas chez moi faire tes manigances. ? Il la prend par la main, la ram?ne jusque sur les marches. Maintenant, compte les clous de la porte, tu sauras combien il y en a. HENRI POURRAT, Gaspard des Montagnes, Le Pavillon des amourettes, 1930, page 133. ? Il n'y manque pas un clou [en parlant d'une maison, d'un b?timent] . Elle/il est en parfait ?tat?: ? 4. Du capitole, il ne restait absolument rien. Pourtant il est l?, devant nous et l'on m'assure que pas un clou n'y manq...
-
-
Malo arboris nodo malm cane,a reqairendus est
Il faut une cognée dure lorsque le nœud de l'arbre est dur
Cet...
Malo arboris nodo malm cane,a reqairendus est Il faut une cognée dure lorsque le nœud de l'arbre est dur Cet adage, qui est encore vivant dans nos traditions proverbiales modernes, est cité par saint Jérôme en tant que vu/gare proverbium (Ep.,69, 5; Commentaire sur l'Evangile de Matthieu, 21, 24) avant d •être repris par les auteurs médiévaux, notamment par le Défenseur de Ligugé (Liber scintillan1m, 21, 6 [Pl 88, 656a]), mais aussi par saint Abbon de Fleury (Ep., 14 [Pl 139, 443a]); Alcuin (Gra...
-
ddddd
et Argan croient que La première source de comique est le caractère d'Argan . Il nous fait rire avec sa peur de la maladie et sa dépendance des médecines et des lavements , avec son marchandage pour économiser et ne pas être dupe de M. Fleurant , son apothicaire . Il y le comique du caractère de Toinette qui nous fait rire par ses ruses et surtout par le renversement des rôles qu'elle créé : c'est elle la plus forte et pas son maître. Puis , il y a le comique de langage , on rit du style fleuri...
-
-ACE, -ASSE, suffixe.
pouillasse - " grand pouilleux " savantasse - " p?dant qui joue les savants " b) Substantif (inanim?)?: bancasse - MARINE. " coffre servant de banquette de lit " brinasse - " seconde qualit? d'?toupe (brin) " caillasse - " pierraille " cognasse - " coing sauvage " godasse - populaire, "chaussure" lavasse - " mauvais liquide " milliasse - " par plaisanterie quantit? immense " Confer grimace - " contorsion du visage " ragougnasse - " mauvais rago?t, cuisine inf...
-
Gardez vos cotillons de torchon.
L'homme QuiRit vomitoires. Quellefoule!quedis−tu deFibi etde Vinos quin'avaient pasl'air des'en apercevoir? quecesfemmes bréhaignes sontstupides! qu'onestbête enEgypte! Nesoulève paslaportière. Soispudique, Deas'habille. Il fit une pause, ettout àcoup onentendit cetteexclamation: Que Deaestbelle! C'était lavoix deGwynplaine. FibietVinos eurent unesecousse etse retournèrent. C'étaitlavoix deGwynplaine, mais dans labouche d'Ursus. Ursus, d'unsigne, parl'entre−bâillement delaportière, leurfitdéfens...