8 résultats pour "concevons"
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Le mot "feindre" dans l'oeuvre de DESCARTES
On ne peut pas feindre aussi que peut-être plusieurs causes ont ensemble concouru en partie à ma production, et que de l'une j'aireçu l'idée d'une des perfections que j'attribue à Dieu, et d'une autre l'idée de quelque autre, en sorte que toutes ces perfectionsse trouvent bien à la vérité quelque part dans l'univers, mais ne se rencontrent pas toutes jointes et assemblées dans une seule quisoit Dieu. MEDITATIONS METAPHYSIQUES, Méditation Cinquième. au contraire, je ne puis pas même feindre...
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GÉOLOGIE
LA GÉOLOGIE AVANT LES GÉOLOGUES
La géologie comme nous la concevons aujourd'hui est une science relativement
jeune.
2 affirmation chargée d'importantes implications géologiques et pas si évidente que ça jusqu'à la fin du XVII esiècle. Parmi les Romains, enfin, Pline l'Ancien (23-79 apr. J.-C.), mort étouffé par les cendres du Vésuve lors de l'éruption de 79 apr. J.- C. qui détruisit Pompéi et Herculanum, dans sa monumentale Historia naturalis décrit des minéraux et des roches, en s'arrêtant surtout sur ceux qui permettent des applications pratiques, comme les argiles, les marbres et les gemmes, qui trouven...
- Expliquez et critiquez ce propos d'un sociologue contemporain: Nous concevons notre société moderne, dans son développement, non pas comme une société qui chasse le mythe pour la rationalité, mais qui suscite de nouveaux mythes et de nouvelles irrationalités ?
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Décrire les Phénomènes moraux sur lesquels repose ce qu'on appelle conscience morale, sentiment ou notion du devoir, distinction du bien et du mal, obligation morale, etc.
elle nous concevons le bien, mais nous sommes bien loin de le comprendre dans toute son étendue. Nous savonsqu'il existe, qu'il est la règle des êtres libres, qu'ainsi les actions libres sont justes ou injustes; mais quand il fautsortir de ces formes universelles, arriver aux applications, et déterminer les actions qui en fait sont justes ouinjustes, les difficultés commencent, et les erreurs avec elles.16. Cependant , dans le cercle de la vie pratique, il se trouve un assez grand nombr...
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Le mot "trompeur" dans l'oeuvre de DESCARTES
En quatrième lieu, lorsque je dis que Dieu ne peut mentir ni être trompeur, je pense convenir avec tous les théologiens qui ontjamais été et qui seront à l'avenir. Mais puisqu'il ne peut y avoir en nous rien de réel qui ne nous ait été donné par lui, comme il a été démontré en prouvant sonexistence, et puisque nous avons en nous une faculté réelle pour connaître le vrai et le distinguer d'avec le faux, comme on peutprouver de cela seul que nous avons en nous les idées du vrai et du faux, si cet...
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Le travail n'est-il que servitude?
(Sophocle, Antigone). De synonyme de chute et de malédiction, le travail prend ici les couleurs de la conquête libératrice et créatrice. 2) Problématisation Or de tels jugements contradictoires concernant le travail se retrouvent en nos opinions communes. Tantôt - dans le jugement du cadre, de l'employé, de l'ouvrier ou de l'écolier harassés- il apparaît comme une contrainte s'opposant à une liberté que nous posons au-delà de lui, dans les loisirs, le jeu, les vacances. Tantôt - dans le ju...
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Le mot "faute" dans l'oeuvre de DESCARTES
LES METEORES, DISCOURS NEUVIEME , De la couleur des nues et des cercles ou couronnes qu'on voit quelquefois autour des astres. Mais souvent elles ne paraissent que blanches, non point tant par faute de lumière que parce que la matière où elles se formentn'est pas entièrement transparente. MEDITATIONS METAPHYSIQUES, Première Méditation. ce qui m'a fait différer si longtemps, que désormais je croirais commettre une faute, si j'employais encore à délibérer le temps quime reste pour agir....
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Le mot "parfait" dans l'oeuvre de DESCARTES
de rien procède quelque chose, je ne la pouvais tenir non plus de moi-même. mais qu'il fallait, de nécessité, qu'il y en eût quelque autre plus parfait, duquel je dépendisse, et duquel j'eusse acquis tout ce quej'avais. Car si j'eusse été seul et indépendant de tout autre, en sorte que j'eusse eu, de moi-même, tout ce peu que je participais de l'êtreparfait, j'eusse pu avoir de moi, par même raison, tout le surplus que je connaissais me manquer, et ainsi être moi-même infini,éternel, immuable, t...