10 résultats pour "marbeuf"
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« Et la mer et l'amour », Recueil de vers, Pierre de Marbeuf
abondance de tétramètre (3,3,3,3) : 1er quatra in et v8 et v13 et (4233) pour les autres. Cela évoque une harmonie rythmique régularité des vagues qui vont et qui viennent. Comment la forme du sonnet renouvelle -t-elle un topos poétique ? analyse de la question : topos (idée développées chez plusi eurs auteurs et qui devient une tradition). Reformulation : Montrer que ce texte reprend une idée traditionnelle mais qu ’il est original grâce à sa façon de la développ...
- Et l'amour et la mer - Marbeuf
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Sur le bord sablonneux - Recueil de vers - Je disais l'autre jour - Pierre de Marbeuf
En premier lieu, ce sonnet s'annonce comme un bref récit. Il en présente d'abord les éléments constitutifs habituels: le lieu est donné par le " bord sablonneux d'un ruisseau " (vers 2) tandis que le temps est indiqué succinctementpar un " autre jour " (vers 1). Quant aux personnages, ils sont au nombre de deux : une femme qui est la " maîtresse" (vers 4) - au sens d'amoureuse - et " Silvandre " (vers 6). Quant à l'action, elle est réduite à quelques élémentsqui suivent la structure du sonnet :...
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Pierre de Marbeuf, Recueil de vers, « Et l'amour et la mer... » - Explication linéaire
répétitions (qu'elles soient lexicalisées, syntaxiques ou phonétiques) ainsi que la métaphore filée de l'amour et de la mer,tend à renouveler une poésie conventionnelle, en faisant à la fois subordonner son fond lyrique à sa forme mais, a fortiori, enlui apportant plus de vigueur par le jeu poétique auquel se livre l'auteur. [Notion de forme-sens] Le premierquatrain du sonnet enclenche la comparaison entre la mer et l'amour : l'union de ces deux motifs dans le premier v...
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Et la mer et l’amour – Pierre de Marbeuf
Poème en alexandrins, sans enjambements ni rejet ● Echos rythmiques : - allitérations en [M] - assonances en [OU] tout au long du poème ● Echos sonores : - homophonies : l’amère, la mer, la mère - paronymies : l’amer/l’amour, eau/maux Nombreuses répétitions
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Lecture analytique : Sonnet- « A Phillis » – Pierre de Marbeuf
Une dédicataire : Titre du poème – A Philis (pseudonyme couramment utilisé à l’époque et destiné à masquer l’identité de la destinatrice afin de ne pas la mettre dans une position délicate si amours clandestines). Adresse : avant dernier vers = « ton amour » Un émetteur : Indices dans les 2 derniers vers du sonnet. Me/ J’ Poésie d’impersonnelle qu’elle était apparaît personnelle Reconsidérer alors la visée du poème : un madrigal, compliment à une dame. Sonnet galant : forme privilé...
- Commentaire portant sur le sonnet de Marbeuf "Et la mer et l'amour"
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Pierre de Marbeuf, « À Philis ».
Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage,
Et la mer est...
Pierre de Marbeuf, « À Philis ». Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage, Et la mer est amère et l'amour est amer, L'on s'abîme en amour aussi bien qu'en la mer, Car la mer et l'amour ne sont point sans orage. Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage, Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer, Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer, Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage. La mère de l'amour eut la mer pour berceau, Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'ea...
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Corrigé
disponible
Pierre de Marbeuf, « À Philis ».
Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage,
Et la...
Corrigé disponible Pierre de Marbeuf, « À Philis ». Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage, Et la mer est amère et l'amour est amer, L'on s'abîme en amour aussi bien qu'en la mer, Car la mer et l'amour ne sont point sans orage. Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage, Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer, Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer, Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage. La mère de l'amour eut la mer pour berceau, Le feu sort de l'amour,...
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Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Je disais l'autre jour...
Je disais l'autre jour ma peine et ma tristesse
Sur le...
Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Je disais l'autre jour... Je disais l'autre jour ma peine et ma tristesse Sur le bord sablonneux d'un ruisseau dont le cours Murmurant s'accordait au langoureux discours Que je faisais assis proche de ma maîtresse. L'occasion lui fit trouver une finesse : Silvandre, me dit-elle, objet de mes amours, Afin de t'assurer que j'aimerai toujours, Ma main dessus cette eau t'en signe la promesse. Je crus tout aussitôt que ces divins serments, Commençant mon bonheur, finir...