25 résultats pour "mirbeau"
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Van gogh et Mirbeau
2 Introduction Mirbeau, dont le regard scrutateur fut d’une grande acuité, fit de sa passion pour la peinture un acte de foi, de sa critique un sacerdoce. Doté d’un flair quasiment infaillible - Gustave Geffroy parle de «prescience» et Frantz Jourdain d’une «certitude un peu divinatrice» - il pose sur l’art qui l’entoure un regard lucide. S’érigeant en chantre de l’impressionnisme, il souffle dans les trom pettes de...
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Journal d'une femme de chambre (le). Roman d'Octave Mirbeau (analyse détaillée)
oral (expressions familières, nombreux points d'exclamation et de suspension qui semblent mimer un discours), cer taines pages détonnent par le caractère soutenu de la langue et sont de vérita bles essais, tels les passages critiques sur Paul Bourget ou politiques sur l'affaire Dreyfus. Par cette disparité, Mirbeau trahit sa volonté de cerner un même objet par de multiples points de vue. Toutes les histoires et tous les sou venirs de Célestine...
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MIRBEAU Octave : sa vie et son oeuvre
paroxysme, Mirbeau est devenu anticlérical et antimilita riste, avec la même fougue qu'au temps où il luttait pour l' É glise, l'armée et Je roi, et Je même goût pour les scandales, les polémiques et les duels ... Il sympathise avec les milieux anarchistes et, à la fin du siècle, l'ancien antisémite sera résolument dreyfu sard. Ses romans ne cessent alors de dénoncer les tares de la société contemporaine : le fameux Jardin des sup plices (1899) et l...
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Le journal d'une femme de chambre d'Octave Mirbeau (questionnaire de compréhension)
Question 8 : Quel passage vous a particulièrement frappé dans ce roman ? Pourquoi ? Au chapitre XIII, se trouve un passage particulièrement marquant sur la condition et le traitement des domestiques à l'époque : « On prétend qu'il n'y a plusd'esclavage… (…) Non, mais vous vous en feriez mourir, mes petites vaches !... ».Ce passage met en avant l'extrême dureté avec laquelle les « gens de maison » sont vus, sans cesse rabaissés. On en dégage une idée de race inférieure et unrenoncement face à l'...
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Les affaires sont les affaires. Comédie en trois actes et en prose d'Octave Mirbeau (résumé de l'oeuvre & analyse détaillée)
Lech at, commencent à se méfier de leur évent uel partenaire (Acte 1). Mm e lecha t s'inqu iète du changement de sa fille qui, devenue la ma?tresse de Julien , lui confie son dégoût envers son père et veut s'enfuir . Le~ ingénieurs pensent pouvoir duper Lechat. mais celui-ci les démasque. le fils de Lechat. Xavier, revient d'Ostende pou r demander à son père de régl er ses dettes (Acte Il). Lechat accepte de payer à condition que Xavier le...
- Mirbeau, Octave - écrivain.
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AFFAIRES SONT LES AFFAIRES (Les). d’Octave Mirbeau (résumé & analyse)
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)AFF AIRES SONT LES AFF AIRES (Les) OcrAVE MIRBEAu. Comédie en trois actes, 1903. Gem1a.ine ne supporte plus de vivre au château de Vauperdu chez son père, Isidore Lechat, homm e d' affaires milli onnaire et directeur de journal sans scrupules. Elle aime en secret Lucien Garraud, le chim iste qu'il a engagé pour lancer la révolution agro nomique dont il rêve. Deux ingénieurs, Phinck et Gruggh, qu'Isidore a invités chez l...
- OCTAVE MIRBEAU
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- JOURNAL D’UNE FEMME DE CHAMBRE (Le) d'Octave Mirbeau (résumé & analyse)
- Cormon, Fernand Mirbeau, Octave
- FOYER (Le). d’Octave Mirbeau
- JARDIN DES SUPPLICES (Le) d’Octave Mirbeau
- MIRBEAU, Octave (1848-1917) Poète, il participe ardemment à la vie littéraire et politique de son temps.
- CALVAIRE (Le). d’Octave Mirbeau (résumé & analyse)
- JOURNAL D’UNE FEMME DE CHAMBRE (Le) d’Octave Mirbeau (résumé)
- JARDIN DES SUPPLICES (Le) d'Octave Mirbeau (résumé & analyse)
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- Octave MIRBEAU: Le Journal d'une femme de chambre (Résumé & Analyse)
- MIRBEAU, Octave (1848-1917) Poète, il participe ardemment à la vie littéraire et politique de son temps.
- MIRBEAU, Octave
- Octave Mirbeau
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AFFAIRES SONT LES AFFAIRES (Les) Octave Mirbeau. Comédie en trois actes (résumé)
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)AFFAIRES SONT LES AFFAIRES (Les). Cornédie en trois actes d'Octave Mirbeau (1850-1917), représentée et Ptlbliée erl 1.903. C'est une des œuvres les plus singulières du théâtre natttrali.ste, car eJle peint, dans toute son âpre psychologie, l'homme d'atfai.res qtti néglige sa faitlille et ses an1is au profit de ses intérêts in1n1édiats. Isidore Lechat, bien qu'à la tête d'une grande fortune, · pers...
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Le Journal d'une femme de chambre
Ce roman a donné lieu à deux adaptations cinématographiques : la première, en 1946, de Jean Renoir, la seconde, de Luis Bufiuel, en 1963, avec Jeanne Moreau dans le rôle principal. « Il brandit son marteau,( ••• ) tandis que, derrière lui, sœur Angèle continuait de réciter les litanies de la Sainte Vierge. ,. - ---- --- EXTRAITS Il n'y a pas de secrets pour une femme de chambre J'adore servir à table. C'est là qu'on sur prend ses maîtres da...
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Définition: AFFADISSANT, -ANTE, participe présent et adjectif.
3.... rien que de voir cet escalier, cela m' affadit l'estomac, me coupe les jambes, et je suis prise d'un désir fou de me sauver... OCTAVE MIRBEAU, Le Journal d'une femme de chambre, 1900 page 287. 4. Ses nerfs [de Mario, résolu à venger l'assassinat de sa maîtresse] vibraient. Un goût de meurtre lui affadissait la bouche.
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Bunuel Luis, 1900-1983, né à Calanda (Aragon), cinéaste mexicain d'origine espagnole.
sujets les plus graves et, sur le plan technique, par son dépouillement. Elle reste attachée à la culture hispanique littéraire (Cervantès, le roman picaresque) et picturale (Goya, Murillo). Personnage sans compromis, Luis Buñuel resta fidèle au surréalisme et combattit dans ses films les valeurs prônées par l'Église, la bourgeoisie et l'armée. Complétez votre recherche en consultant : Les livres Buñuel Luis - La Voie lactée, page 779, volume 2 Complétez votre recherche en consultant...
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Dictionnaire en ligne:
ENFLAMMÉ, -ÉE, participe passé et adjectif.
de Hongrie, duchesse de Thuringe (1207-1231), 1836, page 271 ). L'appel que nous avions rédigé dès les premiers jours du désert, un morceau lyrique, enflammé (GEORGES DUHAMEL, Le Désert de Bièvres, 1937, page 146) : Ø 2. Le vieillard ne s'interrompait pas de jouer. On eût dit que son violon l'entraînait (...) : était-ce bien là ce petit homme toujours si timide? Était-ce lui, avec ce visage enflammé, ce front que la passion mouillait de sueur, ces effluves de vie ardente et d'âpre enthousiasme?...