16 résultats pour "prescrites"
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prescrites par la nature, ils se persuadaient si parfaitement que
122 Discours de la méthode Outre que les trois maximes précédentes n'étaient fondées que sur le dessein que j'avais de continuer à m'instruire : car Dieu nous ayant donné à chacun quelque lumière pour discerner le vrai d'avec le faux, je n'eusse pas cru me devoir contenter des opi nions d autrui un seul , moment si je ne me fusse proposé d'employer mon propre juge ment à les examiner lorsqu'il serait temps; et je n'eus...
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PEUT-ON FONDER LE DROIT SUR LA FORCE ?
ce mot « droit » n'ajoute rien à la force ; il ne signifie ici rien du tout. » (Contrat social, I chap. 3).La force ne peut donc pas engendrer le droit puisque la violence ne peut créer ni moralité, ni devoir. Le plus fort estle plus fort autant de temps qu'il est le plus fort. Il n'y a là rien de moralement légitime. Obéissance et contraintes'excluent réciproquement. L'obéissance ne peut naître que de ma volonté raisonnable d'obéir. « L'obéissance à la loiqu'on s'est prescrite est liberté » dit...
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Rousseau écrit: l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. Cette liberté vous paraît-elle être la condition de la moralité ?
relle entre les hommes, à son antithèse qui fait du rapport de force la composante fondamentale · de tout rapport humain, Rousseau affronte l'an tinomie du bonheur et de la liberté sur le terrain politique.· D'abord, la thèse paternaliste cherche à justi fier les inégalités de fait en se référant à l'auto rité paternelle : si le roi est au peuple ce que le père est à ses enfants, il existe alors une inégalité naturelle...
- «Titre», Je vous ai adressé le 5 août dernier un dossier de maladie en vue d'un remboursement des frais de consultation d'un spécialiste et des médicaments prescrits.
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l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. Rousseau, Jean-Jacques. Commentez cette citation.
On entend alors par liberté une forme de spontanéité ce qui nous conduit à considérer les autres comme des obstacles. Tel est le sens également de l'adage : « Ma liberté s'arrête là où commence celle des autres. »Or Rousseau nous dit radicalement l'inverse ici : être libre, c'est commencer par obéir. Toutefois, on peut immédiatement remarquer qu'il ne s'agit pas de n'importe quelle obéissance mais de l'obéissance« à la loi qu'on s'est...
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La liberté demande-t-elle des garanties ?
Deuxième partie : La liberté est légitimée à exiger de l'individu des garanties intérieures. 2.1 Inaliénabilité de la liberté. « L'esclavage, le servage, l'incapacité à posséder une propriété, la non-liberté de celle-ci, etc. sont des exemples d'aliénation de ma personnalité ; l'aliénation de la rationalité intelligente, de la moralité, de l'éthicité, de lareligion se produisent dans la superstition, dans l'autorité et la pleine puissance concédées à d'autres de déterminerpour moi et de...
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LA LIBERTÉ EST-ELLE L'ACCEPTATION DE LA NÉCESSITÉ ?
est libertas. » Adopter de bon coeur le déterminisme inéluctable c'est être libre. Ce que Rousseau nous demandait à raisonnable, l'auteur, ou encore, obéir à sa propre raison. Obéir à sa raison, c'est être pleinement responsable de sa conduite. Etre libre, c'est s'obliger soi-même à une conduite raisonnable,s'interdire certains débordements, en un mot c'est obéir à la loi qu'on s'est prescrite.La loi peut s'entendre ici dans un sens moral, comme dans un sens politique. Autrement dit,...
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Doit-on toujours obéir au légal ?
Le problème du fondement de la loi fut notamment abordé par Kant. Cedernier conçoit la loi à partir du fondement moral : « Deux choses me remplissent le coeur d'une admiration et d'une vénération,toujours nouvelles et toujours croissantes, à mesure que la réflexion s'yattache et s'y applique : le ciel étoilé au-dessus de moi et la loi morale enmoi. » (cf. Critique de la raison pratique , V). La véritable loi est, selon Kant, appuyée sur le sentiment moral. Ce dernierdoit, en outr...
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« L'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté ». Que pensez-vous de cette affirmation?
« L'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté . Que pensez-vous de cette affirmation ? >> DIRECT IONS DE RECHERCHE • Position de Spinoza . - Lettre 58 à Scholler : « J'appelle libre une chose qui est agie par la seule nécessité de sa nature, contrainte celle qui est déterminée par une autre à exister et à agir. » - « Éthique » 1. Selon Spinoza tous les modes, tous les accidents sont reliés à la substance par une nécessité rationne lle; t...
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La démocratie, tyrannie de l'incompétence. Que penser de cette affirmation ?
dont on est, en tant qu'être raisonnable, l'auteur, ou encore, obéir à sa propre raison. Obéir à sa raison, c'est êtrepleinement responsable de sa conduite. Etre libre, c'est s'obliger soi-même à une conduite raisonnable, s'interdirecertains débordements, en un mot c'est obéir à la loi qu'on s'est prescrite.La loi peut s'entendre ici dans un sens moral, comme dans un sens politique. Autrement dit, les obligationsauxquelles on se soumet volontairement et librement (alors qu'on subit bon...
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Peut-on concilier liberté et égalité dans la vie sociale ?
Cette analyse n'est pas cependant sans poser quelques problèmes : enadmettant cette définition de la liberté comme « obéissance à la loi qu'ons'est prescrite » reste la question de savoir si tous sont d'accord quant aucontenu de la loi. L'idéal en démocratie c'est que la loi soit oeuvre del'unanimité et à défaut de l'unanimité, de la majorité. L'obéissance auseul appétit estesclavage etl'obéissance à la loiqu'on s'estprescrite estliberté. (Du ContratSocial) La liberté ne...
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La liberté morale est-elle supérieure à la liberté civile, peuvent-elles s’opposer ?
même occasion l'Etat qui est à l'origine de la « liberté civile ». C'est l'Etat qui n'a pas réussi à façonner la « liberté civile » par l'instauration de lois selon la volonté de tous. D'un autre côté, il ne faut pas oublier que l'Etat est censé répondre à la « volonté générale » et non aux volontés particulières, cela induit donc que quelque soit les lois qui sont votées, il risque d'y avoir des mécontents. Pour autant, cela conduit-il l'individu à être responsable de ses actes, cela conduit-il...
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Y a-t-il une servitude volontaire ?
raison même de l'existence d'une pluralité de volontés et de libertés concurrentes. En ce sens, « dans un Etat,c'est-à-dire dans une société où il y a des lois, la liberté ne peut consister qu'à pouvoir faire ce que l'on doit vouloir,et à n'être point contraint de faire ce que l'on ne doit pas vouloir ». Il y a donc une distinction nécessaire entreobéissance et contrainte, cette dernière plus directement en conflit avec la liberté bien qu'elle soit nécessaire dansl'ordre social. Ainsi, la liber...
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L'obéissance est elle incompatible avec la liberté ?
peuple obéit à des lois qu'il s'est fixé lui même par des votes justes et un consentement commun, l'obéissance n'aplus lieu d'être puisque les hommes n'obéissent finalement qu'à eux mêmes. Cette idée est résumée dans la célèbrephrase de Rousseau: « l'obéissance qu'on s'est prescrite est liberté. ». Ainsi, loin d'être incompatibles, l'obéissanceet la liberté sont ici favorables l'une à l'autre et l'obéissance à la loi garantie la liberté de tous.Ceux qui obéissent de façon ponctuelle ou tempor...
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Définition:
EXACT, EXACTE, adjectif.
a) Conforme aux règles, aux normes prescrites. (Quasi-) synonymes : fidèle, rigoureux. L'examen de conscience quand il est, ainsi le veut l'Église, quotidien, exact et profond (PAUL BOURGET, Nos actes nous suivent, 1926, page 112 ). b) Conforme à ce qu'exige une situation. (Quasi-)synonymes : convenable, juste. Un imbécile nommé Moreau, que je n'y avais pas vu [chez Pierret] depuis longtemps, y était en toilette exacte et ganté hermétiquement (EUGÈNE DELACROIX, Journal, 1849, page 260 ). Marcell...
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antibiotiques - Mécedine.
Les pénicillines sont les antibiotiques les plus anciens et les mieux tolérés. Ils inhibent la formation de la membrane bactérienne et sont donc bactéricides. Il existe quatrecatégories de pénicillines : pénicillines de type G à spectre étroit, ampicillines et leurs dérivés, pénicillines résistant aux pénicillinases (enzymes détruisant les pénicillines)et pénicillines antipseudomonas. Les pénicillines de type G sont efficaces contre les souches Gram positives de streptocoques, de staphylocoques...