20 résultats pour "sponde"
- Sponde
- spondée.
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AMOURS (les) de Jean de Sponde (fiche de lecture)
(IV, Xl. XVII. XXV). l'absenc~ et la pr6sence 0/. VI. VIl XXN). Les images ct les comparaisons, util~es essentiellement d~ns les sonnets. son t • puisées à trois sources : la cosmoloa ic (l' ca.u et la terre : 1: fe cel et les ast~ : Ill: Arthlm~de et le globe terrestre : XIIQ . la mytholoc~ (~ : V : Achil le. HectO!" et Ajax : XIV). mals SLWtout I'Nstolre romaine. ses conqu ttes et ~ rival~ ll'l"..estine.s {(Agr : Il : Han nibal : Xl : Ro...
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SPONDE Jean de
sa gloire. L'Empereur tente en vain de se la concilier durant les Cent-Jours. Elle reste à Coppet, où elle s'est précipitée en apprenant le retour de l'« Ogre ». Elle revient en France après Waterloo, sans cesser de voyager entre Coppet et l'Italie. Très active, elle est frappée par la maladie, et meurt à Paris le 14 juillet 1817. Ses Consi dérations sur les principaux événements de la Révolution française paraissent en 1818....
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Commentaire littéraire, Jean de Sponde, Essai de quelques poèmes chrétiens, « Tout s'enfle contre moi... »
Séquence 1 : « la poésie baroque », texte 3. 2 1.1 : Les trois inquiétudes du « je » Ces tentations qui viennent assaillir le « je » sont au nombre de trois : « le Monde », « la Chair » et « l’Ange révolté ». Comme le sous -entend le sens de l’adjectif « révolté » au XVI e si ècle, qui signifie ici « détourné, tourné de l’autre coté », la tentation s’impose comme une tentative pour détourner le poète de la pensée de Dieu. Cette triple attaque constitue une triple inq...
- Sponde, Jean de - littérature.
- SONNETS et autres poésies, de Sponde (Résumé et analyse)
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Commentaire composé de la poésie baroque: Tout s'enfle contre moi.., Jean de Sponde
Joiţa Alexandra Roxana (étudiante Erasmus) Université Jean Monet de Saint Etienne Faculté des Lettres Modernes chaotique, un désordre où seul le hasard regne, où tous les éléments sont sensibles à l’inconstance et à l’inconsistance des forms, à leur metamorphoses ,à leur destruction, à leur difformités grotesque ou à leur hétérogéneité. Le rapport de l’homme avec le monde entier, avec soi même et avec Dieu est bien conturé dans les...
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SPONDE Jean de
1557-1595
Poète, né à Mauléon.
Son père, Inigo de Sponde, Espagnol de reli
gion protestante, sera égorgé...
SPONDE Jean de 1557-1595 Poète, né à Mauléon. Son père, Inigo de Sponde, Espagnol de reli gion protestante, sera égorgé par les ligueurs. Compagnon d'Henri IV, le j�une poète, quelque peu débauché, et par suite endetté, abjure en même temps que le roi, qui lui donne un emploi, tout honorifique, à l:.a Rochelle. Mais il n'en profite gu ère, et meurt, assez mal en point, à moins de trente-huit ans. Il a juste le temps de composer sur son lit d'hôpital, en 1594, un dérisoire plaidoyer pro domo: D...
- SPONDE (Jean de)
- ESSAI DE QUELQUES POÈMES CHRÉTIENS Jean de Sponde (résumé & analyse)
- Douleur de l'amour Jean de SPONDE
- Sonnets sur la mort - Jean de Sponde
- Sponde ( Jean de), 1557-1597, né à Mauléon (Deux-Sèvres), érudit et poète français.
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Sponde ; Poème V du recueil des Amours ; Commentaire de texte
sonorité dure à l’image des souffrances. + ennuis sens fort : peine et douleur Les antithèses (« si j’empire du tout ou bien si je respire » (v.3), « qu’elle qui me devrait faire vivre me tue » (v.11),« moi de ne la voir point, lui de l’avoir vue » (v.14) et la syntaxe complexe ainsi que les motivations (« font tantqu’à tout moment je ne sais que je suis » (v.3), trahissent le trouble intérieur du narrateur. C-Victime de la dilection (le sonnet fonctionne comme une litote géante dans lequel il e...
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Jean de Sponde, Les Amours, « Je meurs, et les soucis qui sortent du martyre ».
Je meurs, et les...
Jean de Sponde, Les Amours, « Je meurs, et les soucis qui sortent du martyre ». Je meurs, et les soucis qui sortent du martyre Que me donne l'absence, et les jours, et les nuits Font tant qu'à tous moments je ne sais que je suis, Si j'empire du tout ou bien si je respire ; Un chagrin survenant mille chagrins m'attire Et me croyant aider moi-même je me nuis, L'infini mouvement de mes roulants ennuis M'emporte, et je le sens, mais je ne le puis dire. Je suis cet Actéon de ces chiens déchiré ! Et l...
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Jean de Sponde, "Sonnets sur la mort" :
Tout s'enfle contre moi, tout m'assaut, tout me tente,
Et le monde,...
Jean de Sponde, "Sonnets sur la mort" : Tout s'enfle contre moi, tout m'assaut, tout me tente, Et le monde, et la Chair, et l'Ange révolté, Dont l'onde, dont l'effort, dont le charme inventé, Et m'abîme, Seigneur, et m'ébranle, et m'enchante. Quelle nef, quel appui, quelle oreille dormante, Sans péril, sans tomber, et sans être enchanté, Me donras-tu ? Ton Temple où vit ta Sainteté, Ton invincible main, et ta voix si constante ? Et quoi ! mon Dieu, je sens combattre maintes fois Encor avec ton T...
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Dictionnaire des personnages littéraires
127 8 / ADOLPHE Adolphe Adolphe, CONSTANT Adorno Hop Signor !, GHE LDERODE Adraste Illusion comique (l'), P. CORNEILLE Roman de Thèbes (le) Adrian Véritable Saint Genest (le), ROTROU Adrien Deume Belle du Seigneur, COHEN Adrienne Filles du Feu (les), NERVAL A élis Guillaume d'Orange (cycle de) Aëllo Bacchante (la), M. DE GUÉRIN Agamanor Me liador , FROISSART Agathe Électre, GIRAUDOUX Enf ants terribles (les), COCTEAU Francion, SOREL Pay san parven...
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« Mais si faut-il mourir » Jean de Sponde, Essay de quelques poèmes chrétiens, « sonnets sur la mort » II
• Phénomène sonore (assonance et allitération = « r » dernier quatrain, « f » au 2eme quatrain) + jeu deparonomase (« beau flambeau », « clairs éclairs »). Ces images auditives nous rapprochent encore de la réalité =recherche de réalisme• Le poète a donc réalisé une véritable recherche de l’esthétique, avec de nombreuses figures de styles, jeux demots et de sonorité Transition : Ce poème expose bien le paradoxe baroque, car il met en valeurs les belles facettes de la vie (objets,natur...
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baroque, littérature - littérature.
Tout ce qui ne te rend plus savant et plus sage. » Comme le rappelle l’universitaire Jean-Pierre Chauveau dans Lire le baroque (1997), il est de ceux, avec Agrippa d’Aubigné, Jean de Sponde et quelques autres poètes catholiques ou protestants, pour qui « l’affirmation de la foi et de l’espérance pass[e] d’abord par la contemplation angoissée du désordre et de l’inconstance du monde. » Par ce biais morbide, Jean-Baptiste Chassignet invite le lecteur à méditer sur la vanité de l’existence et lu...