14 résultats pour "trompons"
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Pourquoi nous trompons-nous ?
porter des jugements sans limites. En revanche notre entendement est fini. En ce sens, l'erreur provient de la méconnaissance ou de l'infraction aux règles prescrites par Descartes. Mais au fond, il n'y a pas là matière à problème ! Cependant : La formulation « se tromper » au sens de « faire erreur » mérite notre attention. La construction du verbe n'est pas anodine. « Se tromper » : verbe pronominal et intransitif. Quand je fais erreur, c'est moi qui me trompe ! Je suis responsable de...
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Pourquoi nous trompons-nous ?
pose le problème de la culpabilité. Peut-on se tromper moralement, se tromper en faisant un choix, en agissant ? Pourquoi nous trompons-nous ? Dans un premier temps nous analyserons le phénomène de l’erreur pour essayer de mettre en évidence sa logique, ses causes. Nous verrons dans quelle mesure, dans un second temps, la responsabilité du sujet est engagée dans ce processus et en quoi la méthode peut permettre de bien juger. Enfin nous prendrons en compte le rôle des qualités d’...
- Pourquoi nous trompons nous ?
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Pourquoi nous trompons-nous ?
impatience ou légèreté d'esprit, au lieu de prendre le temps de considérer avec clarté, distinction et évidence, lesdonnées du problème qu'il faut juger. La découverte de la vérité està la portée de tous, puisque nous disposons tous du même instrument universel qu'est la raison, mais il convient des'y employer avec patience et persévérance. Nous devrions nous fier à la seule lumière naturelle ou intuitus mentis,et nous méfier plus souvent de nos instincts ou impulsions naturelles qui, si elles v...
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Pourquoi nous trompons nous
nous désirons la vérité. La question à traiter est donc : peut-on assigner des causes précises à l'erreur - ce qui permettrait de les prévenir et de les éviter, de ne pas subir passivement l'erreur ? III - LES GRANDES LIGNES Le désir de comprendre l'erreur renvoie au désir de l'éviter. Cette question est donc subordonnée à l'entreprise de construction d'une méthode, entreprise dont l'oeuvre de DESCARTES donne l'exemple par excellence. Cependant, l'analyse de l'erreur par DESCARTES laisse sub...
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Sujet : Pourquoi nous trompons-nous ?
« Se tromper » : verbe pronominal et intransitif. Quand je fais erreur, c’est moi qui me trompe ! Je suis responsable de mon erreur. Comment comprendre cette responsabilité ? Quelle est ma faute ? Est-ce négligence de ma part ou bien volonté de me tromper ? Il semble difficile d’affirmer que ce soit volonté de se tromper. Cela ne correspond pas à l’idée que nous nous faisons de l’erreur. Il nous arrive régulièrement de nous trompons sans le vouloir. Reste donc la négligence. Comment...
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Pourquoi nous trompons-nous ?
Lire : Descartes, Les Principes de la Philosophie, première partie, art. 45 et 46. Tandis que l'entendement est fini, la volonté est infinie en ce sens qu'elle s'éprouve totalement libre de donner oude refuser son adhésion. Son infinité fait qu'il lui est possible de s'engager au-delà des limites de l'entendement. "...je l'étends aussi aux choses que je n'entends pas", ou aux choses que l'entendement ne conçoit pas clairement etdistinctement. Telle est l'erreur. Conclure : que montre cette anal...
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René DESCARTES, Principes de la philosophie (1644)
Introduction / Problématisation
Dans ce texte, Descartes s’attaque à un problème classique : pourquoi nous trompons-nous ?
Partie I. Qu'est-ce qu'une erreur ? C'est un jugement faux qui affirme quelque chose qui ne correspond pas à la réalité, par opposition à la vérité qui signifie l'adéquation entre la pensée et la réalité. Une idée vraie est une pensée qui correspond à la réalité, tout simplement. Quand Descartes affirme que l'erreur dépend de notre volonté, ça signifie que notre raison n'est pas en cause quand on se trompe. Elle n'est pas défectueuse à la manière d'une calculatrice mal programmée qui nous ferai...
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Pourquoi nous trompons-nous ?
II. Comment se fait-il que même les hommes de sciences se trompent ? L'histoire des sciences peut aussi bien être vue comme une série de réussites que comme une série d'erreurs.En effet, les scientifiques se trompent constamment, puisque d'autres, arrivés après eux élaborent des théoriesqui contredisent les précédentes et qui sont meilleures qu'elles. Est-ce vraiment alors un défaut d'attention ?l'impératif de l'action les oblige-t-il à agir alors même qu'ils ne détiennent pas...
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Emmanuel Kant, Métaphysique des moeurs, Première partie : Doctrine du droit.
BAC 2003 + S + SUJET NATIONAL + JUIN 2003 Avant de commencer Principales notions abordées La conscience ; autrui (L et ES) ; l'histoire (L et ES) ; théorie et expérience (L) ; la justice et le droit; l'État (Let ES)/I'État et la société (S); le devoir. Repères utilisés Abstrait/concret; contingent/nécessaire/possible; idéal/réel ; légal/légitime; obligation/contrainte; origine/fondement; universel/général/particulier/singulier. Analyse du suj...
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Électre (Acte II, scène 6) - Giraudoux
Agathe exprime avec force ce qui a été prise de conscience, refus, puis révolte. Malgré les apparences, on estfort loin de l'habituel registre du vaudeville. L'aveu libératoire est celui d'un contexte dramatisé (« Électre m'adonné son courage ») et bien proche de la tonalité tragique, avec la mort comme perpective si cette libérationéchoue (« J'aime autant mourir »). Lorsque la jeune femme s'exclame « C'est fini, c'est fini », puis « C'est fait,c'est fait », elle révèle l'accomplissement d'un...
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Agathe et le président - Electre de Giraudoux
AGATHE.Je suis jolie et il est laid.Je suis jeune et il est vieux.J'ai de l'esprit et il est bête. J'ai une âme et il n'en a pas. Et c'est lui qui a tout. En tout cas, il 35 m'a. Et c'est moi qui n'ai rien. En tout cas, je l'ai. Et jusqu'à ce matin, moi qui donnais tout, c'est moi qui devais paraître comblée. Pourquoi ? ... Je lui cire ses chaussures, Pourquoi? ... Je lui brosse ses pellicules. Pourquoi? ... Je lui filtre...
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KANT: De la guerre
état légal « intérieurement », mais ils ont négligé de le faire « extérieurement ». La thématisation kantiennese précise ici dans une réflexion sur le rapport qui pourrait bien exister entre la paix civile et la « paixextérieure », c'est-à-dire à l'échelle cosmopolitique. Si, selon la formule proposée, « chacun doit chercherson droit », ce ne peut être, pour Kant, que dans l'institution de lois, afin de régler les rapports entre lesÉtats comme se règlent, dans la Constitution républicaine...