17 résultats pour "vectoriels"
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vectoriel (espace).
Dimension. Soit E un espace vectoriel admettant une base ( Ô1, Ô2, ..., Ôn). Alors, toutes les bases de E ont le même nombre n d'éléments. Ce nombre s'appelle dimension de l'espace vectoriel E et se note dim E. On dit de manière qualitative que E est de dimension finie. L'espace vectoriel des fonctions numériques définies sur u n'admet pas de base de la forme précédente ; on dit qu'il est de dimension infinie. Il en est de même pour l'espace vectoriel des polynômes. Produit vectoriel....
- Citations avec vectoriel
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Espaces vectoriels et Groupes d'opérateurs
q B (q) r-:--____t:P __ f-:-;;---!--q:l--f-;-- --------- A AB n n Schéma de multiplication possibilités d'extenaion. de deux matrices et des même ensemble np. Il faut que le nombre des colonnes de A, matrice de gauche de la multi plication soit égal au nombre des lignes de B matrice de droite. Dans ces conditions le produit d'une matrice (np) par une matrice (p, q) est une matrice (nq) dont l'élément général est : p Cil...
- ESPACE VECTORIEL
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mécanique - physicien.
6.1 Principe d'inertie Ce principe stipule que si la somme vectorielle des forces s'appliquant sur un corps est nulle, alors ce corps est immobile ou est animé d'un mouvement rectiligne uniforme(vecteur vitesse constant). 6.2 Principe fondamental de la dynamique La deuxième loi de Newton relie l'accélération d'un corps aux forces auxquelles il est soumis. Si un solide de masse m et d'accélération est soumis à un ensemble de forces de somme vectorielle , le principe fondamental de la dyna...
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affine (géométrie), partie de la géométrie étudiant les propriétés d'alignement des points,
d'intersection ou de parallélisme de droites, de convexité et de barycentre, sans jamais faire
référence aux notions d'angle et de distance.
En fait, par un retournement classique de l'histoire, le calcul vectoriel, né de la géométrie classique au milieu du XIX e siècle, allait se généraliser et s'abstraire pour devenir l'algèbre linéaire, dont « les » géométries peuvent n'être aujourd'hui que des chapitres particuliers. La définition d'un espace affine. Soit o un espace vectoriel sur le corps des nombres réels, dont les éléments seront appelés « vecteurs », et \ un ensemble, dont les éléments seront appelés « points ». On dit...
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base - encyclopédie.
vectoriel (espace) 2. CHIMIE : composé dont la molécule peut offrir un ou plusieurs doublets électroniques. Cette définition des bases – la plus générale – est due au physicien et chimiste américain Gilbert Newton Lewis (1875-1946). Dans la majorité des cas, les doublets sont reçus par des ions H +, qui sont ainsi fixés (définition de Johannes Brønsted), quel que soit le milieu considéré (par exemple, phase gazeuse, solvant autre que l'eau). Mais, le plus souvent, les bases typiques M (OH) x...
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force.
En mécanique newtonnienne, dans un référentiel galiléen, la somme vectorielle des forces qui s'exercent sur le système, {F, est égale au produit de la masse m du système et de l'accélération aG de son centre d'inertie G : {F = m a G. La force d'inertie d'entraînement est la force qui réalise l'équilibre relatif d'un corps dans un repère non galiléen lié à ce corps (par exemple, la force centripète exercée par les parois de la voiture sur un passager lors d'un virage). Les force...
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matrice.
- la multiplication d'une matrice par un nombre : (on a multiplié chaque terme de la matrice par ce nombre) : - la multiplication d'une matrice à n lignes et p colonnes par une matrice à p lignes et r colonnes : (on a « couché » chaque colonne de la deuxième matrice sur chaque ligne de la première en effectuant le produit scalaire des deux vecteurs correspondants, comme ceci) : On ne peut pas multiplier entre elles deux matrices quelconques ; cependant, on peut multiplier entre elles des m...
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Les champs magnétiques (Travaux Pratiques Encadrés)
Le chDmp mDgn étique en un point donné est défini par son intensité , son sens et sa direction : c'est un champ vectoriel. Les relations qui existent entre le champ magnétique et le champ électrique sont définies par les équations de Maxwell. Au nombre de quatre , elles peuvent être considérées comme le postulat de base de l'électromagnétisme. Deux d'entre elles sont des équations définissant la structure même du champ électromagnétique, les deux...
- supplémentaire.
- vecteur - mathématiques.
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document
Exercice1 Soit dans un rep`ere les points A(− 1; 1), B(2; 3), C(− 2; −4) et D(1; −2). Montrer de deux mani`eres diff´erentes que le quadrilat`ere ABDCest un parall´elogramme. Exercice 2 Soit dans un rep`ere A(2; 3), B(− 5; 7) et C(3; −12). D´eterminer les coordonn´ees des vecteurs −→ AB ,−−→ BC ,−→ AC , et ~u= −→ AB +−−→ BC . Que retrouve-t-on ? Propri´et´e Equation r´eduite d’une droite Toute droite Dnon paral l`ele `a l’axe des ordonn´ees admet une ´equation d e la forme y = ax +bo`u aet bsont...
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moment.
2. MATHÉMATIQUES : moments d'une variable aléatoire. Soit X une variable aléatoire prenant les valeurs x 1, x 3, ..., x n avec les probabilités p 1, p 2, ..., p n : on appelle moment d'ordre r de X, où r est un entier naturel non nul, la somme m r (X) = x1r p 1 + x2r p 2 + ... + xnrpn . Cette notion s'étend au cas d'une variable aléatoire absolument continue de densité p . Le moment d'ordre r de X est alors donné par une intégrale impropre : m r (X) = ò-¥+¥ tr p (t)d t. Le mom...
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sinus - mathématiques.
Dans un plan vectoriel euclidien orienté, la rotation d’angle θ par rapport à une base orthonormée directe est une matrice de la forme : 5 ANALYSE D’un point de vue analytique, la fonction sinus est définie, continue et dérivable sur l’ensemble des nombres réels . Elle est périodique, de période égale à 2 p, d’où : sin ( x + 2 p) = sin x Elle est croissante sur l’intervalle [- p/2, p/2] avec sin (- p/2) = - 1, sin ( p/2) = 1 et sin (0) = 0, et strictement décroissante sur l’intervalle [...
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algèbre - mathématiques.
Le début du XIX e siècle marque un tournant dans l’histoire de l’algèbre, qui entre alors dans sa phase moderne. En effet, l’attention des mathématiciens se déplace peu à peu vers l’étude d’ensembles mathématiques abstraits, laissant de côté la résolution d’équations polynomiales concrètes. Ainsi, les fondateurs de l’algèbre moderne, comme les Français Évariste Galois et Augustin Cauchy, le Britannique Arthur Cayley et les Norvégiens Niels Henrik Abel et Sophus Lie, s’attachent à définir des s...
- Infographie - informatique.