La recherche du bonheur doit elle orienter notre vie ?

«     La recherche du bonheur est incontestablement une force pour l'Homme.Comme dit Aristote, le bonheur est le « bien suprême », c'est un objectif commun à tout les êtres humains, qui par des chemins différents, vont tout de même chercher ce bonheur.

Ce qui nous permet donc d'avoir un espoir, de trouver le courage de perpétuer cette quête au cours de notre existence.

Même les personnes qui sont dans le désespoir, qui n'ont plus foie en la vie, cherche le bonheur dans des actes comme le suicide, car ne trouvant pas ce bonheur dans leur vie, ils ont un dernier espoir de le trouver dans la mort.

Cependant nous avons tendances à confondre la notion de bonheur à celle de plaisir.

Le plaisir est une satisfaction ponctuelle, comme avoir une maison, une voiture, etc.., cela nous procure qu'un plaisir éphémère.

On en désire toujours plus, pour que ce plaisir dure plus qu'un instant.

« Moins on possède, moins on désire » Gandhi.

Cette notion de plaisir, nous procurent du bonheur durant un instant quand il nous fait pas tomber dans le dégoût.

Cette recherche permet d'unir toute les forces collectives ou individuelles, car on est tous tendu vers le même but.

Et nous permet d'éviter une indifférence à tout, et qui nous ferait tomber en dehors de l'humanité la plus élémentaire.

Cette recherche nous fait mobiliser nos forces les plus profonde, car elle est l'énergie, la raison de notre vie.

Cette force naturelle, entraîne les Hommes à s'engager sur la voie de tous les perfectionnements.     Si la recherche du bonheur est notre principal objectif, il a tendance à tout justifier, car au nom du bonheur, nous allons faire de nombreux sacrifices, sûrement plus légitime par rapport à notre dignité.

Ce qui à tendance à nous attiré, c'est le bonheur, mais un bonheur que nous seul concevons, chacun à sa propre définition du bonheur, « Les uns, en effet, identifient le bonheur à quelque chose d'apparent et de visuelle, comme le plaisir, la richesse ou l'honneur ; pour les uns c'est une chose et pour les autres autres, une autre chose » Aristote. Mais nous pourrions également orienter notre conduite vers l'accomplissement de nos devoirs fondamentaux, ce que l'on peut appeler la vertu.

On la définit souvent comme un habitus de la volonté, acquis par répétition. »