Le Bonheur

« si le manque est imaginaire; le désir est alors dangereux et peux conduire à une certaine folie et donc au malheur; en effet on sublime l'objet désirer jusqu'a le rendre parfait et le projeter à des fins qui semblent irréalisables; alors qu'il s'agit d'un objet banale ou tout simplement d'une chimère.

On est donc tout d'abord désespérer de ne jamais avoir cet objet; puis déçu d'avoir désirer un objet banale ou dans le cas de la chimère, on ne peux jamais l'atteindre; ce qui dans les deux cas le désir nous rend malheureux.

De plus; lors de cette course vers cette chimère; ont peu causer sa propre perte en étant aveugler et en ratant un bonheur à porter de main.

Comme dit Alain, "l'éloquence des passions nous trompe presque toujours", c'est à dire que pour lui la chimère qu'il poursuis est tellement parfaite que tout ce qui est réel autour de lui est empreint de nullité qu'il dédaigne et rejette; alors qu'il peut être la clef de son bonheur.

Prenons par exemple un jeune homme qui recherche la femme de sa vie; il va tellement idéaliser cette femme, la rendre belle, serviable, douce, gentille, intelligente, bref parfaite qu'il va rater quelqu'un d'imparfait qui se rapproche pourtant de très près à la femme désirer.

Le désir est donc la clef du bonheur, mais il faut distinguer "bon" et "mauvais" désirs.

Intéressons nous maintenant au pourquoi de cette partie: la satisfaction systématique du désir nous conduit elle au bonheur? On a alors 2 visions: le désir est un manque, ou le désir est une énergie vitale? Le désir peu provenir d'un manque que l'on cherche à satisfaire; mais lorsque l'on le satisfait; cela nous permet il d'atteindre le bonheur? Lorsque quelque chose nous manques nous sommes malheureux; mais une fois que cette chose est comblé; on a un retour à la vie sans tourment mais pas au bonheur; car en effet le bonheur vient de la satisfaction globale et durable non pas d'une satisfaction momentanée et limité à un seul aspect de notre existence; car si on a combler le vide sur cette aspect de notre existence; nous somme seulement revenu à une forme de repos; comme le souligne Schopenhauer et non pas à un bonheur constant.

La satisfaction du désir est donc seulement un arrêt temporaire de la souffrance, c'est a dire que l'on ne gagne rien a satisfaire ses désirs mais on parvient simplement à une forme de repos.

Tous désirs provoquerai alors de la souffrance car on trouble notre sérénité et notre repos.

De plus si on reprend le raisonnement déjà énumérer, si on désire quelque chose tellement fort et que cette chose en réalité ne nous fait que revenir à un état de repos, elle peut nous décevoir car grâce à l'imagination on aurait pu croire que cette chose allais bouleverser notre vie.

Ce qui peux conduire à une haine et un rejet de l'objet; et donc à un malheur en plus du malheur accumuler d'avoir. »