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Le bonheur

Publié le 06/01/2022

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Peut-on accéder au bonheur ? 

 

Introduction : 

Nous agissons soit par désir soit par devoir, mais la majorité de nos obligations sont la conséquence du désir. 

Le désir est moteur de nos actes. 

Parmi les désirs, celui qui nous anime tous est le bonheur, le désir d’être heureux. 

Généralement on place le bonheur dans le futur, c’est un état à atteindre. On a le reflexe de le renvoyer dans le futur. Il faut donc avoir une réflexion sur la définition du bonheur. 

Nous pensons tous avoir droit au bonheur. Longtemps nous avons cru qu’il était réservé à une élite Ex : élite sociale, intellectuelle, ou bien que le bonheur soit dû à la chance. Or peu de gens se disent heureux. 

 

I/ Les obstacles au bonheur 

1) Un problème de définition 

Le bonheur peut changer en fonction des individus. 

Arthur Schopenhawer :

Pour certain le bonheur est inaccessible, on les appelle les pessimistes. Pour lui, le bonheur est un leurre d’autant plus dangereux puisque certain sont heureux. Une extrême minorité est heureuse, cela permet d’attirer les autres dans cette quête et motiver ceux qui n’y arriverons jamais. 

 

Platon : 

Pour d’autre le bonheur peut exister, mais il se situe après la mort. Ce sont les plus optimistes. Ce sont souvent les religieux qui pensent ceci. Pour Platon on est heureux lorsque notre âme remonte dans le monde intelligible. 

 

Ce qui pense que le bonheur est accessible sur terre on des avis différents sur la définition du bonheur : 

Les hédonistes : 

Le bonheur se situe dans la multiplication des désirs. Les épicuriens sont une forme d’hédoniste. 

Les ascétismes : 

Ils prônent l’absence de tous désirs, puisqu’il y a une douleur 

Pour d’autre le bonheur réside dans l’ataraxie qui est l’absence de trouble : stoïcisme, épicurien 

Aristote :

Pour lui, le bonheur est la vie active, c’est-à-dire de transformer en activités toutes nos facultés. La capacité doit se transformer en activité. C’est l’épanouissement. 

De nos jours on représente le bonheur comme une vie épanouie d’un point de vue personnel. 

Ex : famille, amis, métier, confort matériel 

C’est cette multiplicité des définitions qui poussait Kant à refuser au bonheur le statut de concept de la raison « le concept de bonheur est un concept si indéterminé, que malgré le désir qu’à tout homme d’arriver à être heureux, personne ne peut dire en terme précis et cohérent ce que véritablement il veut et il désir… le bonheur est un idéal non de la raison mais de l’imagination. »

L’autre grande difficulté tient au désir même de bonheur puisqu’il peut être lui-même dangereux. Réaliser de nombreux désirs pour réaliser le désir fondamental du bonheur. 

 

2) Les dangers du désir 

A. Désirs et déception 

Le désir appartient à la vie affective (désigne ce que l’on ressent) au même titre que les émotions qui sont généralement brèves, brusques, monopolise le psychisme et souvent accompagné de manifestation physique (pleure, tremblement, rougissement…) Il y a aussi les sentiments, ils sont plus longs, durables. Plusieurs sentiments peuvent cohabiter ensemble. Nous pouvons aussi avoir des passions (le terme passion a la même racine que le therme pathologique), c’est un centre d’intérêt exclusif, il y a que cela qui compte pour le passionné. Le sens est plus fort que ce qu’on lui accorde de nos jours. 

Un désir suppose toujours l’absence de cet objet. Je désir ce que je n’ai pas, ce qui me manque. 

Platon l’avait déjà remarqué : 

Texte 1 : 

Celui qui désire ce qu’il a actuellement s’exprime mal, il désir ce qu’il a actuellement pour dans le futur. 

Pour qu’il y ai désir, il faut qu’il y ai un manque et que ce dernier provoque une souffrance. Cette souffrance est alimentée par la perspective de plaisir. 

Désir : manque + souffrance = perspective de plaisir. 

« Pour d’autre le bonheur réside dans l’ataraxie qui est l’absence de trouble : stoïcisme, épicurien Aristote : Pour lui, le bonheur est la vie active, c’est -à-dire de transformer en activités toutes nos facultés.

La capacité doit se transformer en activité.

C’est l’épanouissement.

De nos jours on représente le bonheur comme une vie épanouie d’un point de vue personnel.

Ex : famille, amis, métier, confort matériel C’est cette multiplicité des définitions qui poussait Kant à refuser au bonheur le statut de concept de la raison « le concept de bonheur est un concept si indéterminé, que malgré le désir qu’à tout homme d’arriver à être heureux, personne ne peut dire en terme précis et cohérent ce que véritablement il veut et il désir… le bonheur est un idéal non de la raison mais de l’imagination. » L’autre grande difficulté tient au désir même de bonheur puisqu’il peut être lui -même dangereux.

Réaliser de nombreux désir s pour réaliser le désir fondamental du bonheur.

2) Les dangers du désir A.

Désirs et déception Le désir appartient à la vie affective (désigne ce que l’on ressent) au même titre que les émotions qui sont généralement brèves, brusques, monopolise le psychism e et souvent accompagné de manifestation physique (pleure, tremblement, rougissement…) =l y a aussi les sentiments, ils sont plus longs, durables.

Plusieurs sentiments peuvent cohabiter ensemble.

Nous pouvons aussi avoir des passions (le terme passion a la même racine que le therme pathologique), c’est un centre d’intérêt exclusif, il y a que cela qui compte pour le passionné.

Le sens est plus fort que ce qu’on lui accorde de nos jours.

Un désir suppose toujours l’absence de cet objet.

He désir ce que je n ’ai pas, ce qui me manque.

Platon l’avait déjà remarqué : Texte 1 : Celui qui désire ce qu’il a actuellement s’exprime mal, il désir ce qu’il a actuellement pour dans le futur.

Pour qu’il y ai désir, il faut qu’il y ai un manque et que ce dernier provo que une souffrance.

Cette souffrance est alimentée par la perspective de plaisir.

Désir : manque + souffrance = perspective de plaisir.

Là où le désir est le plus fort l’impatience est la plus grande.

Tous désirs fait souffrir mais ils visent le plaisir. Il y a donc une frustration.

Tous désirs visent sa propre destruction.

Dès que nous avons ce que nous désirons ce désir s’évapore.

Le besoin est vital.

Certains de nos désirs sont la conséquence d’un besoin.

Or d’autres peuvent être artificiels Ex : dé sir de luxe, de gloire. »

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