16 résultats pour "aïeul"
- AÏEUL, -EULE, -EULS, -EULES, substantif.
- AÏEULE (L') Franz Grillparzer (résumé & analyse)
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Lamartine, dans son poème de La Vigne et la Maison, où il glorifie la famille, semble caractériser celle-ci en disant que le père commande, la mère aime et prie ... et dans ses petits fils, l'aïeule est réjouie de vqir multiplier son sein. - N'est-ce pas là, en effet, comme un fidèle aperçu de l'ensemble harmonieux formé par une famille ?
-f4- par exemple, quand Ghrysale, par failbless-e de caractère, par égoïsme, par lâcheté , ne sail .pas se faire obéir chez lui, tou1e sa maison est à l'e nv•ers, sa femme nég li ge son . intérioor, un e d es fililes est mal éie:vée, et l'au tre, malheureuse. Enfin, la p1ace des grnnds-p'fl.rents ·est marqué -e au foyer familial. En les voyant aimés, res'P'ec lés, honor és par Ieurs parents, -les e:n(ants app-rennent e-ux al\lssi à épro...
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Eugène de Savoie
1663-1736
Ce fils d'un soldat de valeur, prince de Savoie devenu Français, avait pour aïeul, du côté
paternel, un chef de guerre réputé et, par sa mère, Olympe Mancini, il était le petit-neveu
de Mazarin.
Néanmoins, le ministre resta, avant tout, soldat. En 1704, il réussit, avec le concours de l'Anglais Marlborough, par la belle victoire de H œ chstadt, à imposer la supériorité de l'Autriche et des puissances maritimes, ses alliées, au nord des Alpes. Deux ans plus tard, à la bataille de Turin, il chassa les Français d'Italie. De nouveau, il s'unit en Belgique à Marlborough pour être en position de menacer le Nord même de la France. La gloire leur revint, après leur victoire d'Oudenaarde en 170...
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Souvenir de la nuit 4
Hélas ! ce que la mort touche de ses mains froides Ne se réchauffe plus aux foyers d'ici-bas ! Elle pencha la tête et lui tira ses bas, Et dans ses vieilles mains prit les pieds du cadavre. - Est-ce que ce n'est pas une chose qui navre ! Cria-t-elle ; monsieur, il n'avait pas huit ans ! Ses maîtres, il allait en classe, étaient contents. Monsieur, quand il fallait que je fisse une lettre, C'est lui qui l'écrivait. Est-ce qu'on va se mettre A tuer les enfants maintenant ? Ah ! mon Dieu ! On est d...
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Souvenir de la nuit 4 - COmmentaire de texte
Hélas ! ce que la mort touche de ses mains froides Ne se réchauffe plus aux foyers d'ici-bas ! Elle pencha la tête et lui tira ses bas, Et dans ses vieilles mains prit les pieds du cadavre. - Est-ce que ce n'est pas une chose qui navre ! Cria-t-elle ; monsieur, il n'avait pas huit ans ! Ses maîtres, il allait en classe, étaient contents. Monsieur, quand il fallait que je fisse une lettre, C'est lui qui l'écrivait. Est-ce qu'on va se mettre A tuer les enfants maintenant ? Ah ! mon Dieu !...
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Avenir - Charles CROS, Le Coffret de santal, « vingt sonnets »
• Autres souvenirs :— « la tabatière »,— « le trictrac incrusté sur la petite table », souvenirs matériels : choses, et non sentimentaux.• Précision de l'objet vieilli décrit en un alexandrin ; déjà dans Les Mémoires d'Outre-Tombe de Chateaubriand letrictrac est présenté comme un jeu de vieilles gens. De même pour le tabac à priser qui date, et nécessitait une «tabatière ».• Mais là encore Ch. Cros s'amuse, gentiment. On pense à « j'ai du bon tabac dans ma tabatière », quand il indique :«Où mon...
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HUGO: Souvenir de la nuit du 4, Livre II, 3
Moi je suis vieille, il est tout simple que je parte ; Cela n'aurait rien fait à monsieur Bonaparte De me tuer au lieu de tuer mon enfant ! - Elle s'interrompit, les sanglots l'étouffant, 40 Puis elle dit, et tous pleuraient près de l'aïeule : - Que vais-je devenir à présent toute seule ? Expliquez-moi cela, vous autres, aujourdhui. Hélas ! je n'avais plus de sa mère que lui. Pourquoi l'a-t-on tué ? je veux qu'on me l'explique. 45 L'enfant n'a pas crié vive la République. - Nous nous taisions, d...
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La Legende des Siecles
Le soir, l'homme qui met de l'huile dans les lampes
A son heure ordinaire en descendit les rampes;
Là, mangé par les vers dans l'ombre de la mort,
Chaque marquis auprès de sa marquise dort,
Sans voir cette clarté qu'un vieil esclave apporte.
Ce tapis autrefois ornait la grande chambre; Au dire des vieillards, l'effrayant roi sicambre, Witikind, l'avait fait clouer en cet endroit, De peur que dans leur lit ses enfants n'eussent froid. VIII LA TOILETTE D'ISORA Cris, chansons; et voilà ces vieilles tours vivantes. La chambre d'Isora se remplit de servantes; Pour faire un digne accueil au roi d'Arle, on revêt L'enfant de ses habits de fête; à son chevet, L'aïeul, dans un fauteuil d'orme incrusté d'érable, S'assied, son...
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ÈVE. Poème de Charles Péguy (analyse détaillée)
aujourd'hui. Une démarche initiale désigne le locuteur : ''Jésus parle. >> Mais il ne raconte ni ne dialogue. Rap pelant à Ève son infortune puis le des tin de son innombrable descendance, le poète renvoie une vision, médiatisée par Jésus, des grands mythes de la chré tienté - la Chute, l'Incarnation, la Rédemption, le Jugement dernier - retenus ensemble, hors du temps, dans la mémoire de notre génitrice. De cette...
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Souvenir de la nuit du 4 - Les Châtiments - Hugo
Un rythme morne. Le poème est presque tout entier composé en parataxe, sans mots de transition. Le retourlancinant des rimes suivies concourt à l'impression de calme. Le rythme même des alexandrins se fait prosaïque. Dans la plupart des vers, la musique de l'alexandrin se trouve eneffet comme gommée par la place des accents et le jeu des e muets. L'effet est particulièrement sensible au vers 2, où la présence de quatre e muets casse la cadence. Au vers 14, Hugo avait d'abord écrit: « S...
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Gabriel
LE PRÉCEPTEUR.
Et puis vous preniez peut-être plaisir à faire une expérience philosophique. Eh bien, qu'avez-vous découvert? Qu'une femme pouvait acquérir par l'éducation autant de logique, de science et de courage qu'un homme. Mais vous n'avez pas réussi à empêcher qu'elle eût un coeur plus tendre, et que l'amour ne l'emportât chez elle sur les chimères de l'ambition. Le coeur vous a échappé, monsieur l'abbé, vous n'avez façonné que la tête. LE PRÉCEPTEUR. Ah! c'est là ce qui devrait vous rendre cette tête à...
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Le bruit de l’indicible dans les drames de Maeterlinck et de Beckett
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ÉMILE AUGIER (1820-1889). Le Gendre de M. Poirier
POIRIER. — Je le veux. Continuez.VATEL. — Relevé : la carpe du Rhin à la Lithuanienne, les poulardes à la Godard... le filet de bœuf braisé à laNapolitaine, le jambon de Westphalie, rôti madère....POIRIER. — Voici un relevé plus simple et plus sain : la barbue sauce aux câpres... le jambon de Bayonne auxépinards, le fricandeau à l'oseille, le lapin sauté.VATEL. — Mais, monsieur Poirier... je ne consentirai jamais....POIRIER. — Je suis le maître ici... entendez-vous? Continuez.VATEL. — En...
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Hernani ou l'Honneur castillan - Victor Hugo
le roi parti, le duc et Hernani font un pacte. Hernani confie sa vie au duc et son bras vengeur. Le quatrième acte sedéroule deux mois plus tard à Aix-la-Chapelle dans le tombeau de Charlemagne. Don Carlos y attend le résultat desélections et en profitent pour déjouer un complot qui le vise. Parmis les conjurés se trouvent Don Ruy Gomez deSilva et Hernani qui a été tiré au sort pour exécuter le meurtre. Le duc voulait se privilège et était prêt à renoncer àson emprise sur la vie de Hernani mais...
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Texte du bac francais (EAF)
ADM Communication Baccalauréat de français Page 2 sur 174 Étude de quarante sonnets.............................................................................................................51 Vers dorés..................................................................................................................................51 Bataille navale...........................................................................................................................52 Midi............