7 résultats pour "biddy"
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- Non, Biddy, c'est vrai ; seulement je n'aime pas cela, et je ne l'approuve pas.
XVIII C’était unsamedi soirdelaquatrième annéedemon apprentissage chezJoe.Ungroupe entourait lefeu des Trois jolis Bateliers et prêtait uneoreille attentive àM. Wopsle, quilisait lejournal àhaute voix.Jefaisais partiedece groupe. Uncrime quicausait granderumeur danslepublic venait d’êtrecommis, etM. Wopsle, enleracontant, avaitl’air d’être plongé danslesang jusqu’aux sourcils.Ilappuyait surchaque adjectif exprimant l’horreur,ets’identifiait avec chacun destémoins del’enquête. Nousl’entendions gé...
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avant de venir ici, vois maintenant ce que tu as appris.
Biddy soupira enregardant lesvaisseaux passerauloin etrépondit : « Oui, jene suis pastrès difficile. » Je ne pouvais prendre celapour uneflatterie ; maisjesavais qu’elle n’ymettait pasdemauvaise intention. « Au lieudecela, dis-je encontinuant àarracher quelques brinsd’herbe etàen mâcher unou deux ; voiscomme je vis, mécontent etmalheureux... Etque m’importerait d’êtregrossier etcommun, sipersonne neme l’avait dit ! » Biddy seretourna toutàcoup demon côtéetme regarda avecplusd’attention qu’ellen’...
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XVI
La tête remplie de George Barnwell, je ne fus d'abord
réservé degens quiensavent beaucoup plusqu’ils neveulent endire, etcela remplissait toutlevillage d’admiration. Ils avaient desfaçons aussimystérieuses ensaisissant leursverres ques’ilseussent saisilecoupable lui-même ; pastout à fait, cependant, puisqu’ilsn’enfirent jamais rien. Longtemps aprèsledépart deces dignes représentants delaloi, ma sœur étaitencore aulittrès malade. Elleavait la vue toute troublée, desorte qu’elle voyaitlesobjets doubles, etsouvent ellesaisissait unverre ouune tasse àt...
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voudrais bien que tu ne m'aies pas appris à appeler les valets des Jeannots, et je voudrais que mes mains fussent moins
rudes et mes souliers moins épais.
X Un oudeux jours après, unmatin enm’éveillant, ilme vint l’heureuse idéequelemeilleur moyenpourn’être plus commun étaitdetirer deBiddy toutcequ’elle pouvait savoirsurcepoint important. Enconséquence, jedéclarai à Biddy, unsoir que j’étais alléchez lagrand-tante deM. Wopsle, quej’avais desraisons particulières pourdésirer faire mon chemin encemonde, etque jelui serais trèsobligé sielle voulait bienm’enseigner toutcequ’elle savait.Biddy, qui était lafille laplus obligeante dumonde, merépondit imm...
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- Il est bien dommage aujourd'hui, Joe, que tu n'aies pas un peu plus profité, quand nous apprenions nos leçons ici,
n'est-ce pas ?
Je redis encore unefoisavec chaleur quec’était undes vilains côtésdelanature humaine. Jeme trompais dans l’application demon raisonnement, maisplustard, lescirconstances m’ontprouvé sajustesse, etjem’éloignai de Biddy, encontinuant d’avancerdanslapetite allée,etBiddy rentra danslamaison. Jesortis parlaporte dujardin, et j’errai auhasard jusqu’à l’heuredusouper, songeant combienilétait étrange etmalheureux quelaseconde nuitdema brillante fortunefûtaussi solitaire ettriste quelapremière. Mais lema...
- DEVENIR UN GENTLEMAN. Charles DICKENS. Les grandes espérances
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Dickens, les Grandes Espérances (extrait).
— Je suis bien changée… Je m’étonne que tu me reconnaisses. » La fraîcheur de sa beauté était en effet partie, mais sa majesté si indescriptible et son charme indescriptible étaient restés. Ces attraits, je les connaissais. Ce que je n’avais pas encore vu, c’était le regard adouci, attristé de ses yeux autrefois si fiers ; ce que je n’avais pas encore vu, c’était la pression affectueuse de sa main autrefois insensible. Nous nous assîmes sur un banc près de là, et je dis : « Après tant d’années,...