14 résultats pour "haïsse"
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Ce coeur qui haissait la guerre
la mer à l'assaut des falaises » est le bruit des cœurs qui se lancent au combat (métaphore), « Liberté a suffi à réveiller les vieilles colères » (personnification), les millions de cœur constituent une hyperbole. Cela renforce le message de Robert Desnos qui compare la révolte de ces cœurs à une vague qui emporte tout. III) L'argumentation dans le poème : - Le poète prend clairement la parole en...
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Lecture analytique " ce coeur qui haissait la guerre "
Commentaire n°13: Robert Desnos: “Ce cœur qui haïssait la guerre” Robert Desnos est né en 1900 et mort en 1945. Poète surréaliste, adepte des jeux poétiques aux côtés de ses amis André Breton, Paul Eluard, Louis Aragon, il a eu sous hypnose la prémonition de son destin. Il s’est engagé dans la résistance, a été déporté en 1944 et il est mort dans le camp de concentration de Terezin en Tchécoslovaquie peu de temps avant la libération de ce camps par les armés alliés. Les poèmes du recueil...
- Robert Desnos (1900-1945) : Ce coeur qui haïssait la guerre... - Destinée arbitraire (1975)
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BADOIL Etienne 1èreS3
La révolte
« JE SUIS CELUI QUI SOUFFRE ET QUI S'EST RÉVOLTÉ !
Poème n°1 : « Ce coeur qui haîssait la guerre » Ce poème a été écrit par Robert Desnos (1900-1945) en 1943, et paru dans le recueil « L'Honneur des poètes ». C'est un poème qui se présente comme un constat entre les opinions pacifistes de l'auteur et de la réalité de l'engagement armé. C'est un poème en prose où il y a des passages fréquents à la ligne. Ce poème m'a particulièremen...
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anthologie sur la guerre
1 ) par ce que dans le fond, aucun cœur au monde, n'aime pas la guerre. « Ce cœur qui haïssait la guerre… » Ce cœur qui haïssait la guerre voilà qu’il bat pour le combat et la bataille ! Ce cœur qui ne battait qu’au rythme des marées, à celui des saisons, à celui des heures du jour et de la nuit, Voilà qu’il se gonfle et qu’il envoie dans les veines un sang brûlant de salpêtre et de haine. Et qu’il mène un tel bruit dans la cervelle que les oreilles en sifflent, Et qu’il n’est pas possi...
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Robert Desnos: Ce cœur qui haïssait la guerre (commentaire)
4) La justification et son choix (v.12) La conjonction « mais » ouvre le vers, cela rappel les réticences du poètes. Se n’est pas un écho mais la réalité . (v.23) La majuscule à « Liberté » en fait maintenant une valeure, un idéale à défendre pour que l’espoir de paix se réalise Cette paix est exprimée par la métaphore de l’aube (v.27) Cette liberté justifie « le réveil des vieilles colères », donc s eul la défense de la liberté peut justifier qu’on fasse la guerre...
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Robert Desnos, Ce cœur qui haïssait la guerre, 1943
personnels, comme la « haine » (verset 3), la « colère » (verset 14). La ponctuation traduit cette émotion. C'est ici tout l'intérêt du texte, qui est d'ouvrir le lyrisme du texte à une dimension collective, pour montrer que les sentiments du poète se rejoignent avec des millions d'autres : « je l'entends qui me revient renvoyé par les échos » (verset 7), d'où l'emploi, non pas du « Je » mais de « ce coeur » relayé par « ces coeurs ». Une particularité de l'énonciation de ce poème : le mot « coe...
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Oderint dum metuant 9 20 t haïsse il ;ils me me pourvu qu craignent s � � u . . . . t la Att DeJa d sq. ). prover us est R. (203 terreur, sur e tonde e nni tyra t Antiquité, elle souvent utilisée �� l' par Cicéron s dan ale bi . s Pro ; 102), De 28, 97 Sest10, 14, 1, et...
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Andromaque
ANDROMAQUE.
Ce fils même, ce fils, l'objet de tant de soins, Si je l'avais sauvé, vous l'en aimeriez moins. La haine, le mépris, contre moi tout s'assemble ; Vous me haïssez plus que tous les Grecs ensemble. Jouissez à loisir d'un si noble courroux. Allons, Phoenix. ANDROMAQUE, Allons rejoindre mon époux. CÉPHISE. Madame... ANDROMAQUE, (à Céphise.) Et que veux-tu que je lui dise encore ? Auteur de tous mes maux, crois-tu qu'il les ignore ? (A Pyrrhus.) Seigneur, voyez l'état où vous me réduise...
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Lecture méthodique de l’acte II, scène 8 d'Electre de Jean Giraudoux
jurais qu'il était un dieu. Roi des rois, la seule excuse de ce surnom est qu'iljustifie la haine de la haine. Sais-tu ce que 35 j'ai fait, le jour de son départ, Électre, son navire encore en vue? J'ai fait immoler le bélier le plus bouclé, le plus indé frisable, etje me suis glissée vers minuit, dans la salle du trône, toute seule, pour prendre le sceptre à pleines mains ! Maintenant tu sais tout. Tu voulais un hymne à l...
- Desnos (1900-1945) Destinée arbitraire
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pendant les longues nuits silencieuses, et de se rouler sur la paille, aux sons joyeux d'une lourde
chaîne.
me rouler surlaterre, enm’arrachant lescheveux avecdescrisdejoie ! Ilsne sedoutaient guère qu’ilsl’avaient mariéeàun fou. « Un moment… S’ilsl’avaient su,aurait-elle étésauvée ? Lebonheur d’unesœurcontre l’orde son mari ? Leplus léger duvet quivole dans l’aircontre lasuperbe chaînequiorne moncorps ! « Sur unpoint, cependant, jefus trompé, malgrétoutemamalice. Sije n’avais pasétéfou… car, nous autres fous,quoique noussoyons assezrusés, nousnousembrouillons quelquefois… sije n’avais pasétéfou, jeme...
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perdre du temps en examens.
comme honoraires ? « – Douze milleflorins, payables parchèque, àAmsterdam. « Je… tremblai… jetremblai decolère et…aussi d’admiration. Elleavait toutcalculé, lasomme etlemode de paiement, quidevait m’obliger àpartir ; ellem’avait évaluéetacheté sansmeconnaître ; elleavait disposé de moi dans l’intuition desavolonté. J’avaisbienenvie delagifler… mais,comme jeme levais entremblant, –elle aussi s’était levée–et que précisément, jela regardais danslesyeux, jeme sentis soudain, envoyant cette bouche c...
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langage de ceux que les
C’est seulement au Pays de Dun que les Hommes de cette race avaient conservé leur ancien parler et leu rs coutumes d’autrefois : une peuplade mystérieuse, furtive, hostile aux Dúnedain et haïssant les Rohirrim. Dans ce livre, leur langue n’est point mentionnée, sauf pour le nom, Forgoil , dont ils désignaient les Rohirrim (et qui signifie, dit -on, Têtes -de -P aille). Les Rohirrim, eux, les appelaient gens du Pays de Dun , ou Ceux du Pays de Dun parce qu’ils avaient le teint basané...