28 résultats pour "henriot"
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HENRIOT Émile : sa vie et son oeuvre
du temps sensiblement vécu, perpétuellement retrouvé» (A. Chênebenoît), de l'éternel et mobile visage de la vie. Tourmenté par le besoin de croire sans jamais y parvenir, mélancolique devant la solitude et 1 'oubli, mais emporté par un indéfectible amour de la vie, il est soucieux de ne pas avoir à regretter les occasions perdues et de prolon ger un instanL de joie par le souvenir, plus doux que l'instant lui-même, et par l'imaginaire, plus durable que...
- Philippe Henriot
- Philippe Henriot De Munich à la collaboration.
- HENRIOT (Émile)
- [La culture, c'est ce qui reste quand on a tout oublié] Henriot. Commentez.
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Alphonse de Lamartine
par Émile Henriot
de l'Académie française
Né en 1790, Lamartine
par Émile Henriot de l'Académie française
- COURRIER LITTÉRAIRE. (résumé & analyse) Émile Henriot
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André Chénier
par Emile Henriot
de l'Académie française
André Chénier le seul véritable
par Emile Henriot de l'Académie française
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- Henriot, Philippe
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Alfred de Musset
par Emile Henriot
de l'Académie française
La grande chance de Musset est d'avoir exprimé avec bonheur les
sentiments de la jeunesse de son temps, et parmi eux quelques-uns des
sentiments de la jeunesse de toujours.
par Emile Henriot de l'Académie française
- Henriot ( Émile Maigrot.
- 1944 Exécution de Philippe Henriot.
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Henri regarda vivement par la fenêtre.
V –Anagramme Au milieu delarue Geoffroy-Lasnier venaitaboutir larue Garnier-sur-l’Eau, etau bout delarue Garnier-sur- l’Eau s’étendait àdroite etàgauche larue des Barres. Là, enfaisant quelques pasvers larue delaMortellerie, ontrouvait àdroite unepetite maison isoléeau milieu d’unjardin closdehautes murailles etauquel uneporte pleine donnait seuleentrée. Charles tiraune clefdesapoche, ouvritlaporte, quicéda aussitôt, étantfermée seulement aupêne ; puis ayant faitpasser Henrietlelaquais quiport...
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- C'est justement pour cela que je me défie d'elle, Sire.
– Henriot, ditCharles, jene sais pasceque tudésires, jene sais pasquel estton but ; mais sites désirs ne s’accomplissent point,situ manques lebut que tuteproposes, jeserai bienétonné. – Je puis donc compter surlasévérité duroi ? – Oui. – Alors, jesuis plus tranquille… Maintenant qu’ordonneVotreMajesté ? – Rentre cheztoi,Henriot. Moi,jesuis souffrant, jevais voir mes chiens etme mettre aulit. – Sire, ditHenri, VotreMajesté auraitdûfaire venir unmédecin ; sonindisposition d’aujourd’hui estpeut- êt...
- Bonnard, Abel Henriot, Philippe Vallat, Xavier
- 1944 Exécution de Philippe Henriot.
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- HENRIOT, Philippe (1899-1944) Homme politique, il est membre d'organisations d'extrême-droite et participe à la politique de collaboration du gouvernement de Vichy.
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- Mon fils, dit Catherine, vous recevez des gens suspects.
– Mon fils,ditCatherine enserrant lamain deCharles IX,jene leméprise pas,jelecrains. – Eh bien, vousaveztort,mamère. Henriot estmon ami,et,comme ill’a dit, s’ileût conspiré contremoi,il n’eût euqu’à laisser fairelesanglier. – Oui, ditCatherine, pourqueM. le ducd’Anjou, sonennemi personnel, fûtleroi deFrance ? – Ma mère, n’importe lemotif pourlequel Henriot m’asauvé lavie ; mais ilya un fait, c’est qu’ilmel’a sauvée, et,mort detous lesdiables !je ne veux pasqu’on luifasse delapeine. Quant àM. de ...
- HENRIOT, Philippe (1899-1944) Homme politique, il est membre d'organisations d'extrême-droite et participe à la politique de collaboration du gouvernement de Vichy.
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bien fatigué de sa chute et va en faire autant.
II –La reconnaissance duroi Charles IX Maurevel étaitresté unepartie delajournée danslecabinet desArmes duroi ; mais, quand Catherine avait vu approcher lemoment duretour delachasse, ellel’avait faitpasser danssonoratoire aveclessbires qui l’étaient venusrejoindre. Charles IX,averti àson arrivée parsanourrice qu’unhomme avaitpassé unepartie delajournée dansson cabinet, s’étaitd’abord misdans unegrande colèrequ’onsefût permis d’introduire unétranger chezlui.Mais se l’étant faitdépeindre, etsa no...
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- Mille noms du diable !
– Eh bien, dit-il, queleduc deGuise vienne encore mefaire despropos, etj’allongerai agréablement sa moustache enlui contant lesexploits desabelle-sœur. Aprèscela,ditleroi enseravisant, jene sais plus sic’est de M. de Coconnas oudeM. de La Molequ’ilm’aparlé. – Pas plus l’unquel’autre, Sire,ditHenri, etjevous réponds dessentiments dema femme. – Bon !Henriot, bon!dit leroi ; j’aime mieux tevoir ainsi qu’autrement ; et,sur mon honneur, tuessibrave garçon quejecrois quejefinirai parneplus pouvoir mep...
- HENRIOT, Philippe
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MALEBRANCHE
ou
Les raisons de l'ordre
par Patrice Henriot
Malebranche ... l'un des plus profonds
méditatifs qui aient jamais écrit....
MALEBRANCHE ou Les raisons de l'ordre par Patrice Henriot Malebranche ... l'un des plus profonds méditatifs qui aient jamais écrit. Voltaire, Le Siècle de Louis XIV. Malebranche intempestif Ce n'est pas sauver un penseur que de le rattacher à notre temps, comme si ce temps jouissait de titres incontestables pour s'ériger en juge et comme si toute pensée formulée dans le passé se trouvait en situation d'accusée. Par sa vie, par la lettre de son œuvre, Malebranche est pour nous profondément ina...
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SUJET
Vo�s expliquerez et prec1serez ces lignes extraites
d'un article d'Émile Henriot sur le livre de Jean
Rousset consacré à...
SUJET Vo�s expliquerez et prec1serez ces lignes extraites d'un article d'Émile Henriot sur le livre de Jean Rousset consacré à La littérature __ de l'âge baroque en 'France : « Le baroque est un art solide, inassif, membré; la préciosité est une afféterie, un jeu salonnier de la pointe ! moins que rien.... Cependant baroque et précieux parfois . se rencontrent. Co:gi.me le baroque et le classique; comme se rencontreront, . sans nécessaire ment se confondre, le baroque et le romantique.... » R...
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Vous expliquerez et préciserez ces lignes extraites d'un article du critique Émile Henriot sur le livre de Jean Rousset consacré à La Littérature de l'âge baroque en France (1953) : «Le baroque est un art solide, massif, membré ; la préciosité est une afféterie, un jeu salonnier de la pointe, moins que rien... Cependant baroque et précieux parfois se rencontrent. Comme le baroque et le classique ; comme se rencontreront, sans nécessairement se confondre, le baroque et le romantique...»
Larmes de saint Pierre de Malherbe la comparaison des Saints Innocents à des lys, où l'image du lys se prolonge parles mots : «blancheur», «incarnate peinture», «teint délicat», «fleurir», «printemps éternel», vers 199-204); • la métaphore outrée (hyperbolique). Le procédé est commun à la galanterie précieuse («les yeux qui assassinent»)et à l'art baroque ; dans le poème cité précédemment, où le désespoir de saint Pierre est comparé à un orage, lamétaphore est prolongée et renforcée de façon hyp...
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LA CARICATURE
journal universel est connu pour sa réussite technique de la presse illustrée. Crée en 1843 par Paulin, Joanne et Charton, l'illustration publie un texte très riche avec de nombreuses illustrations de format divers. Ce journal est vendu au prix élevé pour l'époque de 75 centimes. Il est réservé à un public riche. Sa collection représente un siècle de documentation sur les événements survenus en France et à l'étranger l'art et la littérature y ont une large place. On y trouve aussi des dessins de...
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Ce livre, sur lequel Charles était courbé, était celui qu'il avait déposé chez Henri !
XIX –La chasse auvol Charles lisaittoujours. Danssacuriosité, ildévorait lespages ; etchaque page,nousl’avons dit,soit àcause de l’humidité àlaquelle ellesavaient étélongtemps exposées,soitpour toutautre motif, adhérait àla page suivante. D’Alençon considérait d’unœilhagard ceterrible spectacle dontilentrevoyait seulledénouement. – Oh !murmura-t-il, queva-t-il doncsepasser ici ?Comment !je partirais, jem’exilerais, j’iraischercher un trône imaginaire, tandisqueHenri, àla première nouvelledelama...
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point existé, lut les discours, et, hormis Charles, chacun discuta ce qu'il répondrait.
sont adroits etforts, cesgens-là !Nation militaire, peupledesoldats, ilsprennent uncapitaine pourprince, c’est logique, peste!d’Anjou faitleur affaire : lehéros deJarnac etde Moncontour leurvacomme ungant… Qui voulez-vous quejeleur envoie ? d’Alençon ? unlâche !cela leur donnerait unebelle idéedesValois !… D’Alençon !il fuirait àla première ballequiluisifflerait auxoreilles, tandisqueHenri d’Anjou, unbatailleur, bon !toujours l’épéeaupoing, toujours marchant enavant, àpied ouàcheval !… Hardi !pi...