Catégorie : SVT
-
Régulation et fonctionnement de l'appareil reproducteur chez l'homme
2 : Le système réglant comprenant les capteurs qui détectent les variations du paramètre réglé (la testostéronémie), le centre intégrateur qui intègre ces variations et répond grâce à un système de transmission qui véhicule les messages jusqu’aux effecteurs qui répondent en ramenant la valeur du paramètre à sa valeur de référence. Les cellules du complexe hypothalamo-hypophysaire constituent les capteurs et les centres intégrateurs de cette régulation. Le système réglant est composé de 3 nivea...
-
LES DEUX GRANDS TYPES DE DIABÈTES SUCRES : LE DIABÈTE DE TYPE 1 ET LE DIABETE DE TYPE 2
graisses important. Surplus de poid : le gras surtout logé à l’abdomen nuit à la fonction de l’insuline. Hypertension artérielle Sédentarité Alimentation riche en gras Age de survenue de la maladie Individus jeunes, avant 20 ans avec un pic à la puberté Adultes âgés : plus de 50 ans Moyens de dépistage Prise de sang : Glycémie à jeun supérieure à 4g/L + signes cliniques suivants : Prise de sang ; glycémie à jeun supérieure ou égale à 1,26 g/L Pathologies liées...
-
Aspects fondamentaux de la communication nerveuse
Au niveau de la moelle épinière, les fibres nociceptives afférentes entre en contact synaptique avec d'autresneurones dont le corps cellulaire est situé dans la corne dorsale de la substance grise. Ensuite, les axones de cesneurones remontent par la substance blanche de la moelle épinière en direction du cerveau. Les cornes dorsalesreprésentent un relais sur les voies nerveuses.Au niveau du cerveau, les fibres nociceptives ascendantes effectuent aussi un relais. En effet, il y a un conta...
-
L'analyse chimique
cas notamment d'éléments tels que le chrome, le magné sium, le cobalt et le cuivre. Une autre forme de la spectrophotométrie d'absorption utilise la capacité qu'ont certaines substances d'absorber certaines composantes du spectre lumineux. Les radia tions absorbées se traduiront par des raies sombres dans le spectre de la lumière. La longueur d'onde des raies ab sorbées permettra d'identifier la substance responsable de l'absorption. Cette...
-
La convergence lithosphérique
Ce document représente un diagramme de Pression/Température simplifié montrant les domaines de stabilité de quelques associations de minéraux caractéristiques sur lequel nous pouvons suivre les différents métamorphismes qu’on subit les roches présentes à la surface de la plaque plongeante. On observe que le domaine de stabilité de l'association glaucophane + jadéite se situe dans la zone C, c'est-à-dire à une température comprise ente 100 et 400°C et une pression comprise entre 0,7 GPa et 1,4...
-
Les Céréales
Les Céréales ! À Bhatgaon , au Népal, les paysans A apportent leur blé en ville pour le battre à la main. Dans le tiers monde , on bat toujours le blé par terre pour séparer les grains . l'agriculture moderne est plus intensiv e e t rep ose d é sormais sur des bases scientifiqu e s. Dans la deuxiè me moitié du xx· siècl e, le s recherches des agronomes ont la rgem e nt contri bué aux progr ès d e l'agricultur e. La sélection d es vari ét...
-
Le sang
blancs, les leucocytes, qui sont les ennemis naturels des bactéries pathogènes. La concentration en fibrinogène augmente également dans le plasma. Lorsqu'elle filtre à travers les fines parois capillaires, cet te protéine est transformée en fibrine qui emprisonne l'a mas des bactéries et des globules blancs morts. Une variété de globules blancs de la lignée des granulocy tes, les polynucléaires neutrophiles, s'échappent eux aus si des capillai...
-
L'importance de l'hérédité
met la caractéristique, mais il aura des filles qui seront toutes porteuses du gène anormal sans en souffrir elles mêmes . Les fils de ces filles auront cinquante pour cent de risques de présenter la caractéri stique anormale et d'en souffrir; les fils qui ne pré sentent pa s les symptômes de l'affection seront, de façon certaine, génétiquement normau x. Toutes les filles apparaîtront normales (aucun sy mptôme de la maladie), mais auront cinquante...
-
-
Le mécanisme de la digestion
aussi des enzymes digestives qui complètent l'action des enzymes gastriques et pancréatiques. Dans un organisme sain, ces chaînes complexes de mécanismes autorégula teurs assurent une absorption efficace de la nourriture et une élimination régulière des déchets. Lorsqu'une enzy me a rempli sa fonction, une autre prend la relève, et ain si de suite. A l'issue de ces transformations, les aliments peuvent être absorbés par le revêtement cellulai...
-
Les zones d'échange du corps humain
Nous sommes capables de mesurer la quantité d'énergie consommée par les cellules dans les différentes parties du corps. Chaque tissu particulier nécessite des substances dissoutes différentes en quantités variables. Chaque tissu a des exigences qui lui sont propres. Les besoins des cellu les musculaires diffèrent nettement de ceux des cellules nerveuses et les cellules du tissu conjonctif vivent à un rythme très différent des cel...
-
L'oeil et son fonctionnement
pigment, le rétinène et d'une protéine, l' opsine. Sous l'ef fet d'une faible lumière, le complexe rhodopsine se dé compose en rétinène et opsine; l'énergie libérée lors de cette réaction excite les terminaisons nerveuses du nerf optique, créant les sensations lumineuses. La synthèse du rétinène dépend étroitement de la vitamine A, et on conçoit, de ce fait, qu'une déficience de cette vitamine soit responsable d'une diminution de la vision no...
-
Comment fonctionne l'oreille?
diffèrent de 2 à 3 Hz; au-delà de 1 000 Hz, le seuil de dis crimination augmente pour atteindre 60 Hz lorsque les fréquences sont voisines de 20 000 Hz. La sensibilité de l'oreille à la hauteur d'un son est donc plus grande pour les sons graves (basses fréquences) que pour les sons ai gus. La sensibilité de l'oreille à l'intensité des sons varie également avec la fréquence: la différence d'intensité est mieux perçue pour les sons grave...
-
La circulation sanguine
que." Certains vaisseaux sanguins sont capables de mo difier leur diamètre et, par conséquent, la quantité de sang qui circule dans les différentes parties correspon dantes du corps. Bien que les veines et les grosses artères ne présentent pas cette capacité, les artères plus petites et les artérioles con tiennent une couche musculaire, qui les maintient en état de tension, c'est-à-dire qu'elles ne sont jamais entière ment relâchées. Le de...
-
La cellule, unité vivante
la séquence normale des codons est altérée, une protéine anormale sera synthétisée et, comme les gènes sont les unités de base de l'hérédité, les maladies qui en résultent pourront se transmettre à la descendance. Parfois, c'est Je processus de renouvellement de l 'A DN ou duplication qui fonctionne mal, et il en résulte une nouvelle séquence des unités dans l'ADN . Une telle altération est appelée mutation. Etant donné que les unités dont est con...
-
Le cycle de la vie
l'utérus en un embryon humain caractéristique), descend dans la trompe de Fallope pour atteindre l'utérus. Avant d'arriver à destination, il se divise en deux cellules, puis en quatre et ainsi de suite, jusqu'à former, cinq jours plus tard, une sphère creuse de plusieurs centaines de cel lules: le blastocyste. Alors que le blastocyste descend dans la trompe de Fallo pe, l'utérus se prépare à le recevoir en s'épaississant et en d...
-
Les tissus du corps humain
ne. Les épithéliums forment aussi bien la surface interne qu'externe de l'organe et sont composés presque entière ment de cellules avec peu d'espace extra-cellulaire et au cun contact avec les vaisseaux sanguins. Cette couche in interrompue de cellules doit servir à contrôler le passage des matières à la surface de l'organe. Elle est séparée du tissu sous-jacent par une couche qu'on appelle la mem brane basale. II existe des variations q...
-
-
Les défenses de l'organisme
fier et s'infectent. L'issue de l'infection dépend de nom breux facteurs, les plus importants étant d'une part, la faculté des germes à se multiplier et à produire des toxi nes dangereuses et, d'autre part, la capacité de l'orga nisme à produire des moyens de défense en nombre suffi sant. Heureusement pour nous, notre système de défense est très efficace et est capable de juguler la plupart des at taques, à condition bien sûr que...
-
Les rythmes circadiens
accumuler des réserves de nourriture à n'importe quel moment de la journée ou de la nuit et, dans la plupart des communautés civilisées, on ne craint plus les prédateurs. Mais cette situation recèle néanmoins des dangers. En ef fet, bon nombre des rythmes inscrits en nous ont tendan ce à subsister malgré les modifications survenues dans nos habitudes ou les conditions environnantes . Ces ryth mes ne répondent pas à notre désir d...
-
LE RÉFLEXE MYOTATIQUE
Un nerf est constitué par le regroupement de dizaine de fibres . Chacune présentant son propre seuil. En fonction, de l’intensité du stimulus une partie seulement de ces fibres sera activée et donnera naissance à un train de potentiels d’action avec une certaine fréquence. L’état Electrique du nerf pris dans son ensemble varie donc en fonction de l’intensité du stimulus . Le potentiel global du nerf contrairement au potentiel d’action, n’obéit pas à la loi du tout ou rien et présente donc une...
-
La fécondation in vitro
Le plasma séminal qui limite le pouvoir fécondant du sperme est éliminé et les spermatozoïdes les plus mobiles, qui sont normalement les plus fécondants, sont sélectionnés. Les ovules sont prélevés dans les ovaires à l'aide d'une fine aiguille attachée à une sonde normalement utilisée pour les échographies vaginales. L’aiguille perfore chaque follicule contenu dans les deux ovaires et recueille le liquide qu’il renferme. Le liquide folliculaire est examiné sous microscope pour détecter la présen...