D'après Rousseau, ce qui est légal n'est pas toujours légitime. Commencez par expliquer le sens de ce constat à partir du texte puis prenez position personnellement en argumentant et en produisant des exemples précis (une trentaine de lignes environ).
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Dans son Discours sur l'origine de l'inégalité parmi les hommes, l'auteur procède à un renversement des perspectives admises, car il interroge le postulat d'après lequel l'état civil serait préférable à l'état de nature : il pose la question de la légitimité de l'état civil — alors que Montesquieu pose le problème en termes de droit. Pour Rousseau, ce qui est légal n'est pas forcément légitime. Ainsi, dans les Confessions, il raconte comment des personnes tout à fait morales peuvent, elles aussi, et en toute bonne foi, se tromper sur la réalité des faits et commettre une injustice.
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- « Il n'y a pas de vrai sens d'un texte. Pas d'autorité de l'auteur. Quoi qu'il ait voulu dire, il a écrit ce qu'il a écrit ; une fois publié, un texte est comme un appareil dont chacun peut se servir à sa guise et selon ses moyens. » Justifiez et discutez cette affirmation de Paul Valéry, en vous appuyant sur des arguments et des exemples précis. ?
- La littérature et les autres arts ont toujours traité avec une particulière faveur le thème du monstre : être fabuleux, créature de cauchemar, personnage infernal, homme ou femme au comportement insolite et terrifiant. Sans dresser un répertoire de ces créations, et donc en évitant toute énumération fastidieuse, vous essaierez d'expliquer, à partir d'exemples précis que vous analyserez soigneusement, l'espèce de fascination qu'exerce ce thème sur la personnalité du lecteur ou du spectateur, et même, si cet aspect vous intéresse, sur l'imagination du créateur.
- On pouvait lire dans Les Lettres françaises du 25 février 1954 (Gallimard) ces lignes de Thomas Mann : «Le classicisme, ce n'est pas quelque chose d'exemplaire ; en général, et hors du temps, même s'il a beaucoup et tout à faire avec les deux idées implicites ici, celle d'une forme, et celle de la précellence de cette forme. Bien loin de là, le classicisme est plutôt cet exemple tel qu'il a été réalisé, la première création d'une forme de vie spirituelle se manifestant dans la vie individuelle, ce qui a autrefois modelé un type originel, où la vie ultérieure se reconnaît, dans la perspective duquel elle se développe ; il s'agit donc d'un mythe, car le type est un mythe, et l'être est retour, absence du temps, éternellement présent. En ce sens seulement, le classicisme a valeur d'exemple, non quand il désigne simplement une forme vide. L'époque classique est celle des patriarches, du mythe, de la première création de ce qui a modelé notre vie nationale.» Vous expliquerez et discuterez cette conception du classicisme en vous appuyant sur des exemples précis tirés de la littérature française ou des littératures anciennes ou des littératures étrangères, à votre gré.
- La littérature et les autres arts ont toujours traité avec une particulière faveur le thème du monstre : être fabuleux, créature de cauchemar, personnage infernal, homme ou femme au comportement insolite et terrifiant. Sans dresser un répertoire de ces créations, et donc en évitant toute énumération fastidieuse, vous essaierez d'expliquer, à partir d'exemples précis que vous analyserez soigneusement, l'espèce de fascination qu'exerce ce thème sur la personnalité du lecteur ou du spectateur, et même, si cet aspect vous intéresse, sur l'imagination du créateur.
- La littérature et les autres arts ont toujours traité avec une particulière faveur le thème du monstre : être fabuleux, créature de cau-chemar, personnage infernal, homme ou femme au comportement insolite et terrifiant. Sans dresser un répertoire de ces créations, et donc en évitant toute énumération fastidieuse, vous essaierez d'expliquer, à partir d'exemples précis que vous analyserez soigneusement, l'espèce de fascination qu'exerce ce thème sur la personnalité du lecteur ou du spectateur, et même, si cet aspect vous intéresse, sur l'imagination du créateur.