QUESTION INTERPRETATION LITTERATURE HLP: de Lautréamont écrit l’œuvre Les Chants de Malodor

« HLP En 1869, le Compte de Lautréamont écrit l’œuvre Les Chants de Malodor.

Dans son livre on y trouve un extrait où le protagoniste transmet son point de vue sur l'humanité.

Dans cette explication il veille à exprimer sa sensibilité.

L'homme a un avis critique par rapport au monde, il y conte le mal et montre son désaccord avec les méthodes de Dieu. Comment Malodor partage son regard sur l'humanité à travers sa sensibilité ? Nous parlerons de sa sensibilité différentielle à l'égard de la stupidité humain. Puis, sa sensibilité devant la cruauté humaine et enfin l’indifférence des hommes face aux actes du créateur. L'auteur est sensible du fait qu'il se sent amplement supérieur aux hommes.

Il interprète les actes de ces personnes comme étant des manières insensées d'agir.

Malodor se qualifie comme une personne surhumaine qui ne partage pas les mêmes ressentis que les individus.

Il observe l'attitude humaine depuis son plus jeune age.

Il indique qu'il a vu plusieurs hommes « faire des actes stupides et nombreux ».

Ainsi, le personnage insiste sur les abominations humaines auxquelles il est sensible.

L'humain accumule les erreurs et les manipulations vicieuses auprès d'autrui.

Lorsque qu'il accuse la façon d'agir de ces hommes, il parle surtout de Dieu et des dirigeants des peuples.

Pour lui, le monde contient de nombreux chefs qui sont juste des manipulateurs.

Toutes les personnes qui acquiescent les décisions de leur meneur sans réfléchir sont considérées comme « leurs semblables » pour Malodor.

Ainsi, Malodor est contre le fait de suivre un chef sans réfléchir.

Il méprise énormément le fait que l'accomplissement d'un acte pour un chef soit considéré comme de « la gloire ». Le protagoniste est contre le fait que l'on puisse acclamer ces personnes.

En effet, ces chefs ont manipulé leurs peuples sans scrupule, ce ne sont pas des façons d'agir qui doivent être valorisées.

De plus, la comparaison « rire comme les autres » montre que Malodor est différent de ces hommes.

Il a tenté de les imiter afin de comprendre leurs engouements.

Le fait de vouloir leurs ressembler montre qu'avant de donner son avis Malodor a pris le soin d'essayer d'imiter leurs façons d'agir.

Il qualifie les conquêtes de la gloire par les chefs, d'un « spectacle », cela montre que le protagoniste n'approuve pas le respect donné à ces hommes.

Il est sensible à ce rapport de force imposé entre les hommes.

Il apporte beaucoup de respect à une vie humaine et souhaite que tout le monde puisse utiliser ses droits librement.

Le protagoniste a essayé de se fendre l'endroit où habituellement sont placées les lèvres humaines afin de pouvoir s'esclaffer devant l'acte du chef comme tout le monde .

Cependant c'est un échec, il n'arrive pas à rire.

Ainsi, même devant son visage ensanglanté il a l’audace de penser qu'il a sûrement atteint une ressemblance avec l'homme. Cela implique que la façon d'agir des hommes est vraiment une abomination pour lui.

De plus, malgré son dévouement à vouloir ressembler aux autres, il n'a pas réussi.

Cela était trop difficile pour lui car il est trop différent d'autrui. Ainsi, nous comprenons bien que Malodor est sensibilisé par cette différence avec les humains.

Il raconte les horreurs des hommes qui sont bien trop lointaines de ses valeurs à lui. Ainsi, Malodor est aussi sensible face à la cruauté humaine.

Dans ce récit, la narrateur conte les actes de l'humanité.

Cet homme a vu et connu beaucoup de chose.

C'est pour cela qu'il se permet de raconter les histoires de l'humanité car il est le mieux placé pour le faire comme s'il avait un regard omniscient sur ce monde.

Il se présente comme un être suprême et s'autorise la critique envers dieu.

Il énumère tous les mauvais comportements humains comme l'hypocrisie, l'insolence, la trahison...

Ainsi, il montre que ces actes ont « lassé les moralistes à découvrir leur cœur ».

Comme si les personnes de bonté « les moralistes » n'étaient plus en capacité d'apercevoir la grandeur de leur cœur à cause de toutes ces horreurs humaines.

L’attitude des hommes a détruit tout espoir chez les bonnes personnes et ont aussi fait ressurgir la colère de Dieu.

L'humanité est en tord.

L'immense erreur causée par les hommes dont Malodor ne reste pas passif face à cela, est le fait que même les âmes les plus pures qui sont celles des enfants arrivent à être touchées par cette méchanceté naturelle.

En effet, « enfant déjà pervers » mais encore les adjectifs « haineux » et « enfer » qui qualifient l'attitude de ces jeunes personnes montre que Malodor est choqué par la violence des exploits humains.

Un enfant devrait avoir l'âme pure, il devrait pouvoir découvrir le monde avant de le juger.

Le narrateur nous montre bien que ce n'est pas le cas, cela le touche.

L'enfant a déjà adopté la façon cruelle de vivre.... »