1163 résultats pour "mathématiquement"
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Dissertation gratuite: Dans quelle mesure la science doit-elle prendre en compte le probable ?
l'incertitude, sortir de l'indétermination. Mais nous constatons en même temps que les probabilités qui rendentpossible l'avancée scientifique sont-elles mêmes problématiques du point de vue la connaissance. En effet, si l'onadmet la probabilité comme valeur suffisante d'une théorie scientifique, n'est-ce pas par là-même faire de la scienceune simple croyance, et ne reconnaître ainsi à toute théorie qu'une valeur subjective ? Il nous faut donc chercher lavaleur de vérité des probabilités...
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premiers, nombres - mathématiques.
En 1742, le mathématicien russe Christian Goldbach énonce sans démonstration que tout entier pair est la somme de deux nombres premiers. Ainsi, 4 = 2 + 2, 6 = 3 + 3, 8 = 3 + 5, 10 = 5 + 5, 20 = 3 + 17, 100 = 3 + 97, etc. Pour le moment, cette hypothèse n’a pas été prouvée. Goldbach affirme également que tout nombre est la somme de trois nombres premiers. Bien que cette assertion n’ait pas été démontrée dans le cas général, le mathématicien soviétique Ivan Vinogradov prouve en 1937 qu’elle est vr...
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Concept
La philosophie née avec Socrate à Athènes au 5éme siècle avant J-C. La Grèce étais un empire de conquête par la soumission. La Grèce étais composé de cité ( Polis ), ville-état avec une autonomie politique et économique. Thalassocratie = Grèce qui tiens sa force par la mer, les grecs étaient d'excellent marin militaire, ils dominent le bassin méditerranéen. Athènes est un peu plus civilisé, c'est la capital du commerce et du savoir scientifique, qui font la puissance intellectuel....
- En quoi la déduction mathématique différe-t-elle du syllogisme ?
- Pourquoi les mathématiques et les sciences de la nature ont-elles des méthodes différentes ?
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Peut-on tout démontrer ?
que l’esprit pense sur le modèle scientifique ou mathématique qui devient le modèle épistémologique. C’est un modèle de certitude tel que «ceux qui cherchent le droit chemin de la vérité ne devront s'occuper de rien qui ne puisse être l'objet d'une certitude égale à celle des démonstrations d'arithmétique et de géométrie», nous dit Descartes dans les Regulae II .Ce qui voudrais dire que le modèle mathématique peut être transposé à la philosophie qui est capable d'atteindre des vé...
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Einstein: l'expérience est le commencement et la fin de toute notre connaissance
Pour l'auteur, la raison et l'expérience ont donc toutes deux « leur place dans le système de la physique théorique ». 2ème partie : L'importance des concepts irréductibles de base et le problème de leur acquisition. 1èresolution : les éléments de base proviennent de l'expérience. Si raison et expérience sont toutes deux indispensable à la science déductive que constitue la physique, c'est entant qu'elles se justifient mutuellement. Ainsi, pour l'auteur, il est nécessaire que l'expérience vienne...
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logique - philosophie.
Comme l’avait esquissé prudemment Frege, mathématiques et logique, sans être à proprement parler identiques, ne peuvent plus être séparées « nettement » l’une de l’autre. L’application des langages logiques à la cybernétique, c’est-à-dire à la programmation des ordinateurs, resserra encore les relations entre la logique et les mathématiques. Les langages binaires utilisés pour faire fonctionner les ordinateurs sont des applications de système de transformation de signes, qui découlent des connai...
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- L'application des mathématiques à tous les domaines est-elle légitime ?
- Pourquoi tant d'esprits sont-ils réfractaires aux mathématiques ?
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La science nous livre-t-elle le réel tel qu'il est ?
(au-dessous de la Lune). Ils croyaient que le monde supralunaire était parfait, immuable, car on observe à l'oeil nuque le cours des astres est régulier, et toujours identique, et l'un ne peut voir aucun accident, aucun changement àla surface des étoiles. Par contre, sur Terre, tout change, tout se modifie constamment : les choses apparaissent,se transforment et meurent. Tout est dans un perpétuel changement. Notre monde était considéré comme celui dela génération et de la corruption, par opposi...
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Les sciences de la nature recherchent-elles la vérité ?
mathématiques, et où les paramètres se mesurent.Pour un homme du vingtième siècle cette imbrication de la physique et des mathématiques va de soi, comme ilsemble évident que nous devons mesurer et calculer les phénomènes observés. Pourtant, c'est une véritablerévolution qui se manifeste dans ces lignes : elles signent la fin d'une tradition d'au moins vingt et un siècle. Latradition inaugurée par Aristote, et que Saint Thomas a christianisé au treizième siècle. Pour comprendre la portée...
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modélisation.
diverses ; par exemple, beaucoup de choses coûtent en général moins cher à l'unité que peu de choses. Ensuite, les théories sont en concurrence les unes avec les autres ; ainsi, les mathématiques ne proposent pas « une » vérité : telle ou telle théorie (en contradiction l'une avec l'autre) peut être choisie. En revanche, les mathématiques proposent des conséquences logiques suivant nécessairement les hypothèses « abstraites » ; c'est à celui qui a voulu les utiliser d'en tirer les conséquences...
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géométrie.
L'axiomatisation de la géométrie. Ainsi, à la fin du XIX e siècle, les problèmes de fondements de la géométrie étaient-ils totalement élucidés ; en 1899, David Hilbert énonça explicitement et exhaustivement les axiomes de la géométrie euclidienne sous une forme ordonnée qui fait clairement apparaître les liens et les différences avec les autres géométries alternatives. Cependant, après les travaux de Georg Cantor sur les nombres réels et les avancées de Giuseppe Peano, Ernst Zermelo et des logi...
- mathématiques : les gr ands nombr es Tu écris ces nombres
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Qu'est-ce qui caractérise les sciences de la nature ?
« monde clos à l'univers infini ».Pour les anciens, le monde était fini, comparable à une sphère, dont le centre était la Terre, immobile au centre dumonde, et la circonférence les étoiles fixes. L'espace est non seulement fini, clos, achevé, mais parfaitementordonné.De plus, les anciens séparaient ce monde en deux zones : le supralunaire (au-dessus de la Lune), et le sublunaire(au-dessous de la Lune). Ils croyaient que le monde supralunaire était parfait, immuable, car on observe à l'oei...
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Les sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances ?
Nous savons donc que nos sens sont indispensables pour acquérir nos connaissances mais ils ne sont pas essentiellementsuffisants. Nous savons que l'expérience sensible nous permet d'avoir des connaissances fondamentales, et par expériencesensible, on entend expérience Sensible acquise par nos sens. Mais il faut examiner la question qui permet de démontrer que les sens sont suffisants ou non a« l'apprentissage » de nos connaissances, est ce que l'expérience sensible qu'on acquiert par nos sens et...
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CHAOS, FRACTALES, COMPLEXITÉ (Sciences et Techniques)
de souligner les aspects fondamentaux du mouvement déterminé par le phénomène élastique et d'écarter lesaspects de moindre importance pour sa compréhension. C'est ainsi que nous pouvons mesurer la masse de laballe (en grammes, par exemple), mais considérer comme négligeable la masse du ressort, c'est-à-diresupposer que cette masse est nulle (bien entendu, si cela était vrai dans la réalité, le ressort n'existerait pas et iln'y aurait pas de mouvement, ce qui représente un beau paradoxe !)....
- LES ÊTRES MATHÉMATIQUES CHEZ PLATON
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Pascal, Blaise - philosophie.
Ses travaux ont porté sur la pesanteur, le vide et la pression, l'hydrostatique ( voir Fluides, mécanique des), la géométrie, l'arithmétique, les probabilités et les mathématiques. Dès son Essay pour les coniques (1640), Pascal utilisa la méthode projective pour déduire les propriétés des coniques du théorème sur l'hexagramme. À la suite de Torricelli, disciple de Galilée, il se livra à l'étude de la question du vide : « la nature a horreur du vide » pensait-on depuis le Moyen Âge. En 16...
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L'intuition et le raisonnement formel en mathématique ?
• Le rôle joué par les mathématiques. Dans l'histoire de la pensée, les mathématiques semblent occuper une position privilégiée. La plupart des sciences,en effet, se sont constituées comme telles en se «mathématisant», c'est-à-dire en pensant leur objet selon lesprocédés et les techniques d'analyse ou de raisonnement propres aux mathématiques. S'affranchissant del'empirisme et de l'approximation, elles ont emprunté aux mathématiques leur caractère d'emblée logique et formel.Galilée disait...
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Faut-il dire la science ou les sciences ?
Signalons d'abord, bien que dans la question posée il s'agisse uniquement de " la science '" que le terme se construit également avec " une " qui peut remplir deux fonctions gram maticales distinctes : article indéfini (traiter une question avec une science consommée) ; adjectif numéral (la physique n'est plus une science, mais l'ensemble de plusieurs sciences). L'article défini, dans le cas actuel, n'a pas un emploi aussi universel...
- mathématiques : division Huit pirates se partagent 5 327 pièces d' r.
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CHAOS, FRACTALES, COMPLEXITÉ
2 des scientifiques, comme l’écrivit Ludwig von Bertalanffy dans sa Théorie générale des systèmes, publiée aux Etats-Unis en 1968. Toutefois, malgré ces glissements dans les conceptions sur les méthodes et les fins de la recherche scientifique, il est un aspect qui est demeuré inchangé, et qui jouait et joue aujourd’hui encore un rôle fondamental : le rôle des mathématiques comme instrument principal de la connaissance scientifique. ÉQUATIONS DIFFÉRENTIELLES Considérons un dispositif physiq...
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Ne doit-on tenir une proposition pour vraie que si elle est contrôlable par l'expérience ?
Par exemple : à partir du théorème que la somme des angles d'un triangle vaut deux droits, on déduit que lasomme des angles d'un polygone vaut autant de fois deux droits qu'il a de côtés moins deux. Comme plus généralement : à partir d'une hypothèse (axiome, postulat, définition) indémontrée, on déduitlogiquement une théorie, un système, une construction. C'est grâce à cette méthode qu'il est possible de mesurer, compter, peser, et de rendre le réel intelligible etdonc objectf.Mais les mathéma...
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Le vrai peut-il ne pas être démontrable ?
jour de nos idées innées, mais celles-ci sont données intellectuellement et non induites de l'expérience sensible,elles sont d'une autre nature. Platon écrit quant à l'origine de nos concepts, qu'on s'en souvient : l'âme a contempléles réalités intelligibles quand elle n'était pas emprisonnée dans le corps, une fois incarnée elle se ressouvient decelles-ci. Dans le dialogue le Ménon, Socrate montre à son interlocuteur cette thèse en amenant un esclave inculteà comprendre un théorème mathémat...
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Fiche de révision pour le bac: LES MATHEMATIQUES ?
ont laissé au genre humain des modèles de l'art de démontrer» (Nouveaux essais sur l'entendement humain, 1703). Vérité ou validité ?A dater de la constitution de géométries cohérentes mais non euclidiennes, on a considéré que ce ne sont pas lespropositions de la géométrie qui recèlent, isolément, une vérité absolue. En effet, la géométrie de Lobatchevski(1826) postule que par un point extérieur à une droite, il peut passer une infinité de non-sécantes ; celle deRiemann (1854), à l'...
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CHAOS, FRACTALES, COMPLEXITÉ
SYSTÈMES
Dans la deuxième moitié du XXe siècle, le
2 des scientifiques, comme l’écrivit Ludwig von Bertalanffy dans sa Théorie générale des systèmes, publiée aux Etats-Unis en 1968. Toutefois, malgré ces glissements dans les conceptions sur les méthodes et les fins de la recherche scientifique, il est un aspect qui est demeuré inchangé, et qui jouait et joue aujourd’hui encore un rôle fondamental : le rôle des mathématiques comme instrument principal de la connaissance scientifique. ÉQUATIONS DIFFÉRENTIELLES Considérons un dispositif physiq...
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fonction.
Une fonction affine est la composée d'une fonction linéaire et d'une translation : x _ k . x + x0. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats application circulaires (fonctions) continue (fonction) dérivée domaine - 2.MATHÉMATIQUES exponentielle (fonction) fonctionnelle (équation) homographique (fonction) intégrale limite logarithme périodique (fonction) puissance - 4.MATHÉMATIQUES récursive (fonction) sciences (histoire des) - La lumière - Les nombres compl...
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Notion de conscience selon les grands philosophes
Quelques questions d’auto-évaluation ............................................................................................................ 22 Sujets de dissertation ...................................................................................................................................... 22 Introduction Etymologie : conscience vient du latin cum scientia qui signifie « avec science », « qui est accompagné de connaissance ». Rappel : l’opposition entre le désir e...
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La nature est-elle écrite en langage mathématiques ?
Ø On peut exprimer le mouvement des corps et prévoir leur chute grâce à une formulation mathématique. Lesmathématiques peuvent servir de « langage » pour décrire la réalité concrète des corps physiques. Enfin, Galilée en vient à soutenir que Copernic avait raison : la Terre n'est pas au centre du monde ; elle n'est pas immobile. C'est le soleil qui est au centre du monde, et la Terre tourne autour de lui et sur elle-même. De plus, lemonde n'est certainement pas fini, mais infini...
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Objet physique et. objet mathématique
~IÉTHODES DES MATHÉMATIQUES 245 toutes les soiences n'ont pas le mème caracll·re de suLjecliYité. C'est de ce point de vue que nous pournns comparer l 'oLjet pl1ysique et l'objet mathématique; l'un semble plus réel, l 'aulre plus construit. * * * L'objet mathématique est en grande partie l'œuvre de l'esprit. - Le monde ne nous présente nulle part de figures géométriques et le nombre tel n'existe pas. C'est de là que vient la cla...
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- Le théorème mathématique et la loi physique.
- Est-ce qu'il y a quelque chose de poétique dans les mathématiques ?
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Les mathématiques sont-elles l'archétype de toutes vérités ?
Elles doivent par conséquent constituer l'idéal des sciences pour leur rigueur, leur clarté et leur certitude. b) Abstraction : A propos des objets dont elles traitent, les mathématiques ne se mettent guère en peine de savoir« si elles sont dans la nature,ou si elles n'y sont pas » (Descartes, Méditations métaphysiques, 1641 ). Selon le mot de Goblot, les mathématiquesn'ont pas besoin pour êtrevraies que leurs objets soient réels. La certitude de leurs démonstrations ne requiert aucunement la...
- Les mathématiques sont-elles le modèle d'intelligibilité par excellence ?
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La méthode scientifique ( histoire de l'épistémologie des sciences)
serviront de base à la révolution scientifique de la Renaissance. Guillaume d'Ockham (1295-1349, franciscain anglais, empiriste) énonce le principe de parcimonie, ou « Rasoir d'Ockham », selon lequel les explications les plus simples sont souvent les meilleures. Retenu par la logique et la science modernes, il consiste à choisir l'hypothèse la plus simple ou la plus facilement démontrable entre plusieurs ayant la même vraisemblance. DU XIV' AU XVI'...
- cube. n.m. MATHÉMATIQUES : le cube d'un nombre a est
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Comment les mathematique ont-elle dompté l'infini ?
Question grand oral Comment les mathematiques ont-elles dompté l’infini ? 1,2,3,4,5,6,7,8,9,10,11, … et après ? 12,13,14,15,… et après ? C’est bien la question reccurente que nous pose un enfant qui apprend à comptés : « et après… ? ». Et après … les nombres 16,17,18 …100,200,… se suivent pour etre depassé par des plus grands (millions,milliards,…) qui voient à leur tour s’echaper très loin devant eux de très grand (centillons, googol, googolplex,…), suite qui continue sa course effrené v...
- CRITIQUE DES CONCEPTIONS MATHÉMATIQUES CARTÉSIENNES.
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Peut-on parler de langage mathématique ?
Le langage logico-mathématique n'est plus un langage Une langue comme le français permet de promettre, d'ordonner, etc. Le langage formel est limité à la description. En outre le langage formel ne permet pas de parler du monde réel. Le langage formel est limité aux lois scientifiques L es symboles logico- mathématiques cons- tituent-ils un langage? Le propre d'un lan- gage est de permettre d'effectuer différents actes tels que: affirmer, promettre, demander...
- INFINI MATHÉMATIQUE (De L’). Louis Couturat
- Cours de philosophie sur LOGIQUE & MATHEMATIQUES ?
- Lobatchevski, Nikolaï Ivanovitch - mathématiques.
- Les objets mathématiques sont-ils « du ciel » ou « de la terre » ?
- Les mathématiques se définissent-elles par leur objet ou par leur méthode ?
- Poncelet, Jean Victor - mathématiques.
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ESTHETIQUE
émergentes au niveau de la conscience. Lorsque ces informations sortantes possèderont des qualités esthétiqueson pourra être tenté de dire que les informations entrantes appartiennent à un objet d'art. Mais il faut alorsdistinguer entre les attributs et les propriétés de l'objet. Une distinction a laquelle nous a habitué la physique, laphysique quantique en particulier. L'attribut est une caractérisation ontologique de l'objet. Il appartient à l'objet enpropre. Contrairement à ce que s...
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La démonstration mathématique comme idéal de rationalité
SUPPLEMENT: LA DEMONSTRATION EN MATHEMATIQUES Une démonstration, en général, est un raisonnement contraignant pour l'esprit. C'est-à-dire que si on accepte lesprémisses, on est obligé d'accepter la conséquence. Mais les mathématiques font une utilisation spécifique de la démonstration par rapport à la logique, qui estréellement la science de la démonstration, un "art de raisonner". Une démonstration en géométrie ne consiste passimplement à enchaîner des propositions. C'est en même temps d...
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science - Biologiste / Naturaliste.
Les méthodes et résultats scientifiques modernes apparaissent au XVII e siècle grâce à la combinaison des capacités de théoricien et d'artisan de Galilée. Aux anciennes méthodes fondées sur l'induction et la déduction, Galilée ajoute la vérification systématique par l'expérience, en utilisant les outils scientifiques nouvellement inventés telsque le télescope, le microscope et le thermomètre. Vers la fin du XVII e siècle, l'expérimentation est élargie par l'utilisation du baromètre découvert p...