8651 résultats pour "chose"
- Quelle est la différence entre l'essence et la nature de quelque chose ?
-
Aristote: Il est manifeste [...] que la cité fait partie des choses naturelles
De même donc que la distinction entre le sauvage et le citoyen permettait de passer de la solitude violente à l'idéede communauté réglée, de même la distinction entre l'animal grégaire et l'homme permet de passer de l'idée desolidarité instinctive entre congénères à celle de communauté rationnelle entre concitoyens.À ce propos Aristote fait une allusion qui vaudrait à elle seule tout un développement : il suggère que la distinctionentre le juste et l'injuste est dérivée de la distinction entre...
- La connaissance de soi est-elle plus aisée que la connaissance des choses ?
-
Le bonheur doit-il quelque chose à la chance ?
Introduction: Le bonheur est traditionnellement défini comme un état de parfaite et complète satisfaction de tous les penchantshumain. Il semble donc naturel pour l'homme de hercher cet état de plénitude et de tranquillité de l'âme. Cependantmême si le bonheur est la quête de tous les hommes, il n'en reste pas moins qu'il se décrit de manière différentespour chacun et qu'il s'obtient par divers moyens. Pour certains, le principal moyen est d'être chanceux. La chanceserait-elle alors responsable...
-
Y a-t-il dans le devenir quelque chose qui échappe au devenir ?
Il n'y a dans le devenir que du changement incessant. Mais ce changement est régi par des lois, de l'immuable, et par là tend àdevenir lui aussi immuable. Cependant, rien ne nous prouve l'existence de ces lois et il n'existe dans le devenir rien deconstant, si ce n'est la conscience. On va à présent voir en quoi l'empirique n'est que du changement incessant. Il est évident à première vu qu'il existe deséléments immuables, mais ceux-ci sont à poser hors du devenir. L'idée que l'on a...
-
Aimer, est ce la même chose qu'etre amoureux ?
L'amour est un sentiment que nous aspirons tous à ressentir car il est source de joie. En effet l'amoureux ou l'amantc'est-à-dire celui qui aime, se sent immergé par une telle force qu'il serait prêt à tout pour l'aimé : ne dit-on pascommunément que l'amour donne des ailes. Les soucis du quotidien ne nous affectent plus car toute notre attentionest tournée du côté de celui qu'on aime. Mais peut-on assimiler le sentiment amoureux et le fait s'aimer ? Autrementdit aimer, est-ce la même chose qu'êt...
- MALEBRANCHE: L'empire des passions s'étend aux choses spirituelles.
-
L'ordre des choses dépend-il d'une volonté divine ?
mouvements des atomes qui composent la matière et les corps vivants. La matière et les corps vivantssont constitués d'atomes. Ceux-ci régissent aussi bien les objets inertes et les lois de la nature que l'âme humaine. Le mouvement des atomes suffit à expliquer l'ordre des choses.] Les atomes sont partout et en nombre infiniRien ne se perd, rien ne se crée; l'univers reste toujours identique à lui-même et est constitué de corps et de vide, c'est-à-dire d'un espacesans matière. S'il n'y avait...
-
- Doit-on accorder de la valeur à toutes les choses qui viennent de la nature ou qui sont spontanées p
- Quel sens et quelle valeur faut-il accorder à l'expression: c'est dans la nature des choses ?
- Les mots peuvent-ils rendre compte de la nature des choses ?
- Suis-je une chose qui pense ?
- Les choses sont-elles dans l'espace ?
-
Pouvons-nous apprendre quelque chose de nos erreurs ?
d'opinions contradictoires dont certaines auraient le privilège d'être choisies pour vérité ? C'est ce que réfute lapratique de l'entretien dialectique de Socrate où les opinions, une fois mises en commun dans le dialogue, perdentla singularité qui les rattachaient à leur émetteur. Il importe peu que l'opinion qui coïncide avec la vérité proviennede Socrate ou de son interlocuteur car quelque soit son origine, elle est à la lettre, produite par le dialogue. AinsiSocrate dans le Protagoras (337...
-
demanderais pas quelque chose si je n'estimais pas que c'est nécessaire.
arrivé dansunétat degrande surexcitation. Ildélirait presque. Laissons-le sereposer ets’habituer àson nouvel environnement. Jel’interrogerai entemps utile. — Pensez-vous pouvoirleramener autravail ? Blaustein sourit. — Comment lesaurais-je ? Jene sais même pasquelle estsamaladie. — Ne pourriez-vous aumoins ledébarrasser dupire – de cetteobsession desuicide – et poursuivrele traitement quandilse sera remis autravail ? — Peut-être. Maisilme sera impossible dehasarder unehypothèse avantplusieurs e...
- Jusqu'à quel point faut-il se soumettre à l'ordre des choses ?
-
- Est-ce qu'il y a quelque chose de poétique dans les mathématiques ?
- Les hommes existent-il comme existent les choses ?
- SOCRATE : Y a-t-il quelque chose que tu appelles savoir ?
-
Le Parti pris des Choses - Présentation de l'oeuvre
texte, perfectible mais destinée à survivre à son auteur ; la description de l'escargot rejoint l'universel.- La crevette dont la forme évoque le signe de ponctuation et qui se meut dans une confusion marine semblable au domaine de l'écriture ; elle incarne par ses bonds lemouvements de l'esprit qi cherche à multiplier les points de vue. 3 Style - Une écriture scientifique, objective. Mais aussi- Une langue pure, classique. La recherche de la précision, du mot adquat.
-
Y a-t-il quelque chose qui puisse valoir qu'on y sacrifie sa vie ?
« Or je dis : l'homme, et en général tout être raisonnable, existe comme fin en soi, et non pas simplement comme moyen dont telle ou tellevolonté puisse user à son gré ; dans toutes ces actions, aussi bien danscelles qui le concernent lui-même que dans celles qui concernent d'autresêtres raisonnables, il doit toujours être considéré en même temps comme unfin. Tous les objets des inclinations n'ont qu'une valeur conditionnelle ; car, siles inclinations et les besoins qui en déri...
-
Peut-on dire que "tout travail travaille à faire un homme en même temps qu'une chose" ?
• En plus des références indiquées voir : particulièrement Leroi Gourhan. Le geste et la parole (Albin Michel).• Kojine : Introduction à la lecture de Hegel (Gallimard). C'est une banalité d'observer que la conception du travail a souvent varié au cours de l'histoire et d'unecivilisation à l'autre. Cependant, à travers ces variations, on retrouve toujours dans la notion de travail uneambiguïté ou une ambivalence fondamentale: le travail est en effet perçu tout à la fois comme qu...
- obéissez à vos parents en toutes choses existe la réciprocité
- Baruch SPINOZA: cette chose est libre et agit par la seule necessite de sa nature
-
- Pouvons-nous etre au pouvoir de choses ?
- Des choses peuvent-elles exercer un pouvoir sur nous ?
- L'abstraction augmente-t-elle notre pouvoir sur les choses ?
- nant cette digression pour revenir à mes considérations sur l'impuissance de la physique à fournir l'explication dernière des choses.
-
LA CONTRADICTION N'EST-ELLE QUE DANS LES IDÉES, OU PEUT-ELLE SE TROUVER ÉGALEMENT DANS LES CHOSES ?
la contradiction, et cette expérience est à l'origine de ce principe formel qui est le principe de non-contradiction. b. Avec Hegel , le mérite des sceptiques, c'est de vider la logique finie de l'entendement (qui a une attitude dogmatique) en éclairant les contradictions motrices du monde. Mais l'aspectnégatif est que le sceptique ne voit pas que la contradiction est contradictionde quelque chose et qu'ainsi elle se dépasse et se surpasse elle-même. Lenégatif devient ici une fin en soi...
- Pouvons-nous jouir de la liberté comme d'une chose sensible ?
-
Yad Vashem - où, parmi d'autres choses, j'ai bien obtenu en
le fait que lespointes deson coldechemise reposaient surlaveste, donnaient curieusement à cet homme dequatre-vingt-trois ansl'air d'être àla mode. Nous avions l'intention defaire l'interview etde dîner ensuite. Danssagrande salledeséjour, Alena avaitinstallé devantledivan oùjeme suis assis unepetite tablebasse enverre etacier. Elle yavait disposé unassortiment deboissons :Evian, eaugazeuse, petitesbouteilles dejus de fruit. Lemur entier surma gauche étaitcouvert delivres soigneusement rangés,leg...
-
Est-ce la même chose de faire respecter la loi par la force que de fonder le droit sur la force ?
Nous n'avons donc pas affaire aux mêmes réalités car il peut être légitime (pas seulement nécessaire) de fairerespecter le droit par la force tandis que " fonder " le droit sur la force est illégitime. Qu'est-ce qui peut alors fonder le droit positif et rendre légitime l'utilisation de la force pour le faire respecter ? On asouvent mis en avant les droits imprescriptibles de l'homme, les " droits naturels " proclamés par la Déclaration desdroits de l'homme et du citoyens : égalité, liberté...
-
-
Toute chose inutile est-elle pour autant dénuée de valeur ?
qu'on ne peut ignorer - et non l'adaptation de l'oeuvre à telle ou telle fin extérieure, qu'elle soit économique,politique, religieuse. La nécessité interne à l'oeuvre prime sur la nécessité externe. Si le projet initial de l'artrésidait dans l'accomplissement des plus hautes fins de l'homme, dans l'accession à un idéal désintéressé-enl'absence d'un consensus sur cet idéal -, l'art d'aujourd'hui ne se limite-t-il pas dès lors à la remise enquestion de tout rapport utilitaire avec le mon...
- l'art est-il la représentation de belles choses ?
- l'expérience nous donne-t-elle les choses mêmes ?
- RAPPORT SUR LES CHOSES DE LA FRANCE de Machiavel
- duction d'objets particuliers (les oeuvres d'art ne sont pas autre chose) et par une modification correspondante du sujet connaissant.
- FREUD: « Le psychique ne coïncide pas en toi avec le conscient. Qu'une chose se passe dans ton âme ou que tu en sois de plus averti, voilà qui n'est pas la même chose »
- Autrui peut il m'apprendre sur moi-même quelque chose que je ne sais pas ?
- La Principale Erreur De Notre Temps Est De Chercher En Toute Chose La Vitesse
-
- DES CHOSES QUI DÉPENDENT DE NOUS ET DE CELLES QUI N'EN DÉPENDENT PAS (selon Épictète)
- Chapitre 4 : La liberté « La liberté comme fait démontrable et la politique coïncident et son relatives l’une à l’autre comme deux côtés d’une même chose.
-
Rousseau : « On ne peut être heureux sur la terre qu’à proportion qu’on s’éloigne des choses et qu’on se rapproche de soi. »
vie tout luxe superflu : « plus d'épée, plus de montre, plus de bas blancs, de dorure, de coiff ure ». On song e aux épicur iens antiques, qui cher chaient le plaisir dans la frugalité ; aux stoïciens, à ces ascètes chrétiens, pour qui le détachement à l'égard des choses du monde est la condition nécessaire, sinon suffisante, de la paix intérieure. Le « généreux » de Descartes, lui aussi , connaît la joie parce qu'il dénie toute impor tance à ce qui...
- La logique sert-elle a quelque chose ?
- À l'ère du numérique, le secret doit céder la place à la transparence. Seuls ceux qui ont quelque chose à cacher doivent la craindre.
-
Les choses sont-elles simplement d'importuns obstacles qui s'interposent entre les hommes, engen¬drant rivalités, incompréhension, conflits ?
-----------~ Cl La réification des activités humaines. 1/ L'homme transformé en marchandise, son travail est une chose qui a un coût , qu'on peut comparer par exemple au coût d'achat et d'entretien d'une mach ine qui effectuerait sa tâche à sa place . 2/ La transformation des activités humaines en simples choses marchandes . III ... et peut-on alors rêver d'un monde de rencontres et d'échanges immédiats? Al Qu'auraient à se dire, qu...
- A.Camus:"l'héroïsme est peu de chose, le bonheur est plus difficile." ?
- l'ordre des choses est-il identique à celui de la pensée ?
-
- L'art nous montre-t-il les choses telles qu'elles sont ?
-
La raison, cause de notre jugement ou cause dans les choses ? G. W. LEIBNIZ
POUR MIEUX COMPRENDRE LE TEXTE La correspondance des raisons qui nous convainquent avec les causes des choses est l'idéal de la connaissance. Cet idéal satisferait pleinement au fameux « principe de raison suffisante »,que Leibniz énonce ailleurs : « aucun fait ne saurait se trouver vrai, ou existant, aucune énoncia tion véritable, sans qu'il y ait une raison suffisante, pour quoi il en soit ainsi et pas autrement » (Monadologi...