15 résultats pour "appelons"
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La pensée et le mouvant - Bergson: la vérité - « nous appelons vraie toute affirmation qui, en nous dirigeant à travers la réalité mouvante, nous donne prise sur elle et nous place dans de meilleures conditions pour agir. »
vérité et régirais les faits eux même. Ce concept est naturel. Le caractère naturel de cette conception de la vérité, est je pense dû à la nature même de l'esprit humain qui préfère cereprésenter la réalité comme « un tout parfaitement cohérent » et que ce tout ne serait, a contrario de ce que pense Bergson,pas mouvant car il s'agit de quelque chose de rassurant pour l'homme, qui matérialise sa science comme outil pour exploré saréalité, cette armature qu'il croit logique. Dans sa deuxiè...
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Commentez ce texte de Spinoza : « Ce n'est pas parce que nous croyons une chose bonne qu'elle devient l'objet de nos désirs, mais au contraire nous appelons bon ce que nous désirons, et conséquemment nous appelons mal ce pour quoi nous avons de l'aversion. » Scholie du Th. 39 du livre III de l'Ethique.
Il ne s'agit pas en effet, pour l'auteur de l'Ethique, de soutenir d'une manière) générale que le Désir dirige nosjugements et que nos jugements sont incapables de le faire naître, mais d'affirmer cette fonction déterminante desTendances dans les propositions ayant particulièrement trait au Bon et au Mauvais. « Nous désirons une chose non pas parce que nous jugeons que cela est bon mais au contraire nous appelons bonce que nous désirons. » Il ne s'agit donc pas simplement de juger mais d'a...
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L'art entre réalité et illusion
et la difficulté à exister dans cette réalité. Il faudra donc justifier la fuite et l'art nous donnera une jolie porte desortie, qui plus est, une porte de sortie socialement admissible. De là à voir dans l'art seulement une sorte devengeance et de compensation contre la réalité, il n'y a qu'un pas qui sera vite franchi. 2) Cependant, avant d'examiner ces conséquences, il nous faut examiner le fondement de cette représentation. Laréalité empirique n'existe pas toute seule. Ce n'est pas un...
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L'Arioste
par Jacques Audiberti
Lodovico Ariosto, que nous appelons l'Arioste (à ne
par Jacques Audiberti
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Le Tasse
par Jacques Audiberti
Torquato Tasso, qu'en France nous appelons Le Tasse, naquit à Sorrente, le
11 mars (mois des fous) 1544.
par Jacques Audiberti
- Le développement individuel nous apparaît comme un produit de l'interférence entre deux aspirations, l'aspiration au bonheur, que nous appelons habituellement « égoïste », et l'aspiration à l'union avec les autres en une communauté, que nous disons altruiste.
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qui produit aussi les vivants ?
174 PLATON PAR LUI-MÊME ments : quand nous le traiterons de faiseur d'images, il nous demandera ce que, de façon générale, nous appelons : image. Il nous faut donc, Théétète, exa miner la réponse à faire à ce gaillard. - T. Évi demment nous citerons les images dans les eaux et dans les miroirs, ·ainsi que les images peintes et sculptées et toutes les autres du même genre. -É. C'est à croire que tu n'as jamais vu de sophiste, Thé...
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qu'est-ce qu'une norme?
à ce concept ? Finalement, qu'est-ce qui justifierait que la présence de normes serait indispensable quant au bon fonctionnement de toute société ? Tout d'abord, qu'est-ce que cela que nous appelons une norme ? Par la volonté de certains acteurs, ou tout simplement par son éducation et par le jeu de ses habitudes, l'être humain a tendance à édicter des normes précisant ce qui est normalement attendu et ce qui ne l'est pas. Ces normes varient fortement avec les époques, les individus et de mani...
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Oral: le singulier
concept ? Puis, le singulier n'est-il réductible qu'à lui-même, ou peut-il être une voie possible vers ce qui est commun à tous et universel ? Est-il un obstacle, ou au contraire une voie possible dans les champs de la connaissance ou de la pensée, par exemple ? Enfin, peut-on le cerner par la pensée ou nous échappe-t-il ? Qu'est-ce que cela que nous appelons singulier? Par définition, est singulier ce qui se différencie par son unité, ce qui est particulier. Il apparaît donc envisageable de...
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Le mot "froideur" dans l'oeuvre de DESCARTES
sentiment de la chaleur, et sa diminution celui de la froideur. LE MONDE OU TRAITÉ DE LA LUMIERE, CHAPITRE V, Du nombre des éléments et de leurs qualités. Que si vous trouvez étrange que, pour expliquer ces éléments, je ne me serve point des qualités qu'on nomme chaleur, froideur,humidité, et sécheresse, ainsi que font les philosophes, je vous dirai que ces qualités me semblent avoir elles-mêmes besoind'explication, et que, si je ne me trompe, non seulement ces quatre qualités, mais a...
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La réduction du vivant à de l'inerte ?
1979. « La faculté d'un être d'agir selon ses représentations s'appelle la vie. » Kant, Doctrine du droit, 1797. « La vie apparaît comme un courant qui va d'un germe à un germe par l'intermédiaire d'un organisme développé. »Bergson, L'Évolution créatrice, 1907.Ce courant, c'est précisément l'élan vital, qui se transmet d'individu à individu, de génération à génération, d'espèceà espèce en s'intensifiant toujours davantage et en créant perpétuellement de nouvelles formes, plus complexes quele...
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La technique peut-elle devenir un danger pour l'homme ?
puisse s'aviser d'utiliser les sciences exactes de la nature ? » Pour répondre à cette question, il faut inverser le rapport traditionnel entre science et technique. En apparence, la technique suit les sciencesexactes de la nature ; en réalité, la relation est presque inverse : c'est l'application technique quirenforce un certain aspect de ces sciences naturelles : « La physique moderne n'est pas une physique expérimentale parce qu'elle applique à la nature des appareils pour l'interr...
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Freud: L'erreur n'est-elle due qu'à l'ignorance ?
commun qui fait que nous en sommes venus à confondre ces deux notions. La problématique générale de ce texte est liée au regard psychanalytique de l'auteur sur la question du phénomènede l'illusion. Cette problématique est celle du procès critique des racines et de l'avenir des religions et de la cultureeuropéenne. Celles-ci s'alimentent des angoisses existentielles (mort, souffrance), ainsi que des frustrations(renoncements, interdits culturels) que rencontre l'humain dans les limites que l...
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Y a-t-il des questions auxquelles aucune science ne répond ?
soumis à la causalité comme l'ensemble des autres choses. Spinoza disait déjà dans l'éthique que « l'homme n'est pas un empire dans un empire » voulant signifier par là qu'il était comme le reste de la nature soumis aux lois. De même, les sciences aujourd'hui telles que les neurosciences voient dans l'esprit un mot illusoire qui trouve sesexplications dans le fonctionnement purement matériel du cerveau. Jean-Pierre Changeux dans L'homme neuronal défend l'idée que le fonctionnement du ce...
- 861 SUJETS-TEXTES DE L’ÉPREUVE DE PHILOSOPHIE AU BACCALAURÉAT