15 résultats pour "gentilshommes"
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Un nid de gentilshommes
« Lavr etski se trou va devant une petite porte, machin alem ent il la p o u ssa, e lle fit un léger b ruit et s'ouvr it comm e si e lle n'eût attendu que l e con tac t d'un e main .» EXTRAITS -- ------ Retour au bercail Ùl tête appuyée sur le coussin de la voiture, les bras croisés sur sa poitrine, wvretski regardait les champs clôturés s'ouvrir en éventail sur son passage, les saules défiler avec lenteur; les corbeaux et les corneilles, oi...
- DEUX GENTILSHOMMES DE VÉRONE (Les) (résumé & analyse)
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maître, tant ; chambre de laquais, tant ; attendu que si nous n'avons pas de laquais nous comptons en prendre.
– Beaucoup dehuguenots, oui,monsieur, réponditbrusquement LaHurière ; puissereprenant : Ah ! pardon, dit-il ;cesmessieurs sontpeut-être delareligion ? – Moi, delareligion ! s’écriaCoconnas ; allonsdonc ! jesuis catholique commenotresaint-père lepape. La Hurière seretourna versLaMole comme pourl’interroger ; maisouLaMole necomprit passon regard, ou ilne jugea pointàpropos d’yrépondre autrement queparune autre question. – Si vous neconnaissez pointSaMajesté leroi deNavarre, maîtreLaHurière, dit-il...
- NICHÉE DE GENTILSHOMMES (Une) de Tourguénev (résumé de l’oeuvre)
- Ivan TOURGUENIEV: Un nid de gentilshommes (Résumé & Analyse)
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IV - La soirée du 24 août 1572
Notre lecteur n'a pas oublié que dans le chapitre précédent il a été question d'un gentilhomme nommé La
ole, attendu avec quelque impatience par Henri de Navarre.
prie. –Oh ! monsieur, surmon âme, jen’en ferai rien, carjene suis quevotre humble serviteur, lecomte Annibal de Coconnas. – Et moi, monsieur, jene suis quelecomte Joseph-Hyacinthe-Boniface deLerac delaMole, toutàvotre service. –En cecas, monsieur, prenons-nous parlebras etentrons ensemble. Le résultat decette proposition conciliatrice futque lesdeux jeunes gensquidescendirent deleurs chevaux en jetèrent labride auxmains d’unpalefrenier, seprirent parlebras, et,ajustant leursépées, sedirigèrent v...
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La dame de Monsoreau v.
Oui, oui, dit Bussy, ce n'etait point au prince qu'ils en voulaient: c'etait a moi. En tout cas, reprit Diane, cette attaque eloigna le prince. Nous le vimes se retirer par la rue de Jouy, tandis que les cinq gentilshommes de l'embuscade allaient reprendre leur poste au coin de l'hotel des Tournelles. Il etait evident que, pour cette nuit du moins, le danger venait de s'ecarter de nous, car ce n'etait point a moi qu'en voulaient les cinq gentilshommes. Mais nous etions trop inquietes et trop e...
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Alors il avait coupé l'air en croix avec son chapeau, ce qui était le signal convenu pour dire que tout était
perdu.
XXI –Les investigations Le spectacle quifrappa lesdeux jeunes gensenentrant danslecercle futdeceux qu’on n’oublie jamais,neles eût-on vusqu’une seulefoisenun seul instant. Charles IXavait, comme nousl’avons dit,regardé défilertouslesgentilshommes enfermésdanslahutte des piqueurs etextraits l’unaprès l’autre parsesgardes. Lui etd’Alençon suivaientchaquemouvement d’unœilavide, s’attendant àvoir sortir leroi deNavarre àson tour. Leur attente avaitététrompée. Mais cen’était pointassez, ilfallait sa...
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- Mille noms du diable !
– Eh bien, dit-il, queleduc deGuise vienne encore mefaire despropos, etj’allongerai agréablement sa moustache enlui contant lesexploits desabelle-sœur. Aprèscela,ditleroi enseravisant, jene sais plus sic’est de M. de Coconnas oudeM. de La Molequ’ilm’aparlé. – Pas plus l’unquel’autre, Sire,ditHenri, etjevous réponds dessentiments dema femme. – Bon !Henriot, bon!dit leroi ; j’aime mieux tevoir ainsi qu’autrement ; et,sur mon honneur, tuessibrave garçon quejecrois quejefinirai parneplus pouvoir mep...
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- Ah !
ses gentilshommes. – Vous voyez bien,deMouy, répétaHenri, qu’onsaittout. – C’est vrai,ditdeMouy. – J’en étais sûr,ditHenri, queM. d’Alençon s’étaitemparé devous. – C’est votre faute, Sire.Pourquoi avez-vous refusésiobstinément ceque jevenais vousoffrir ? – Vous avezrefusé ! s’écriaMarguerite. Cerefus quejepressentais étaitdonc réel ? – Madame, ditHenri secouant latête, ettoi, mon brave deMouy, envérité vousmefaites rireavec vos exclamations. Quoi !unhomme entrechezmoi, meparle detrône, derévolte...
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La dame de Monsoreau v.
Aussi n'etait-ce pas pour son plaisir particulier, comme pourraient le croire ceux qui connaissent l'egoisme du duc d'Anjou, qu'il faisait de si belles cavalcades dans la ville. Non. Ces promenades tournaient au plaisir des gentilshommes parisiens, qui etaient venus le rejoindre, des seigneurs angevins, et surtout des dames angevines. Dieu d'abord devait s'en rejouir, puisque la cause de la Ligue etait la cause de Dieu. Puis le roi devait incontestablement en enrager. Enfin les dames en etaient...
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La dame de Monsoreau v.
Ceux qui viendront le verront, repondit le roi. Les mignons assurerent leurs epees, agraferent leurs manteaux et suivirent le roi, qui, un falot a la main, les conduisit par le corridor secret que nous connaissons, et par lequel, plus d'une fois deja, nous avons vu la reine mere et le roi Charles IX se rendre chez leur fille et chez leur soeur, cette bonne Margot dont le duc d'Anjou, nous l'avons deja dit, avait repris les appartements. Un valet de chambre veillait dans ce corridor; mais, avant...
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Dariole, étendue dans un grand fauteuil, dormait près du lit de sa maîtresse.
XXVIII –La lettre deRome Quelques jourss’étaient écoulésdepuislesévénements quenous venons deraconter, lorsqu’un matinune litière escortée deplusieurs gentilshommes auxcouleurs deM. de Guise entraauLouvre, etque l’on vint annoncer àla reine deNavarre quemadame laDuchesse deNevers sollicitait l’honneur delui faire sacour. Marguerite recevaitlavisite demadame deSauve. C’étaitlapremière foisque labelle baronne sortaitdepuis sa prétendue maladie.Elleavait suque lareine avaitmanifesté àson mari uneg...
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Analyse des
« Précieuses Ridicules »
UN DIVERTISSEMENT
EXTRÊMEMENT GAI,
UN BALLET DÉSINVOLTE
Scène 1. Deux gentilshommes parisiens, La Grange...
Analyse des « Précieuses Ridicules » UN DIVERTISSEMENT EXTRÊMEMENT GAI, UN BALLET DÉSINVOLTE Scène 1. Deux gentilshommes parisiens, La Grange et Du Croisy, qui étaient venus présenter leurs hommages à deux jeunes filles récemment arrivées de province (ils envisageaient niême de les demander en mariage au vieux Gorgibus si elles leur plaisaient et s'ils leur plaisaient), ont été, par elles, fort mal reçus. La Grange comprend pourquoi : ce sont des éoquettes qui se piquent de la plus mauvaise pré...
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XV - L'hôtellerie de la Belle-Étoile
Deux heures après l'événement que nous avons raconté, et dont nulle trace n'était restée même sur la figure
e Catherine, madame de Sauve, ayant fini son travail chez la reine, remonta dans son appartement.
beau d’arriver àla minute. – Est-ce votreconvive ? demanda LaHurière. – Oui, ditlepremier venuenallant aujeune homme àla rapière eten lui serrant lamain ; servez-nous à souper. –Ici, oudans votre chambre ? – Où vous voudrez. – Maître, fitLa Mole enappelant LaHurière, débarrassez-nous deces figures dehuguenots ; nousne pourrions pas,devant eux,Coconnas etmoi, direunmot denos affaires. – Dressez lesouper danslachambre numéro2,au troisième, ditLaHurière. Montez,messieurs, montez.Les deux voyageurs...