23 résultats pour "venons"
- D'où venons-nous ?
-
D'où venons-nous ? de Paul Gauguin
Analyse ~ Cette œuvre est fondamentale dans le par cours artistique de Gauguin. L'artiste traverse en 1897 une crise financière et morale grave qui le conduira à une tentative de suicide à la fin de l'année. Il met beaucoup de lui-même dans cette toile monumentale conçue comme une somme philosophique sur la vie, la mort et la sexualité , et destinée à devenir son testament artistique (son titre exact est D'où venous-nous? Que somme...
- II. LE TERRITOIRE SENSITIF RADICULAIRE DU MEMBRE SUPERIEUR. Nous venons de
- Nous venons de parler de l'hostilité contre la civilisation, engendrée par la pression que celle-ci exerce, par les renonciations aux instincts qu'elle exige.
- «Titre», Nous venons d'apprendre que vous êtes alitée depuis plusieurs jours et que vous ne pourrez malheureusement pas prendre part comme prévu à notre petite excursion annuelle.
-
soit le seul lien de naissance qui lui convienne ; dans ces conditions en effet, chacune conserverait son unité et ne serait plus en butte aux difficultés dont nous venons de faire état.
LA CONCEPTION DU SAVOIR 219 nécessaire que le semblable et son semblable partici pent à la même unité?- S. Tout à fait.- P. Or ce par quoi les semblables sont semblables du fait qu'ils y participent, est-ce que ce n'est pas la Forme en soi? -S. Si, absolument.- P. Il n'est donc pas possible qu'une chose soit semblable à une Forme, ni la Forme à une autre chose. Car autrement, à côté de la Forme il apparaîtra toujours une autre Forme,...
-
Dans la longue suite des siècles, nous venons d'arrêter le curseur au temps des forêts profondes de la « Gaule
chevelue », comme l'appelaient les Romains : cherchons à savoir comment la raconter autrement.
nombreuses tribuspours’opposer plusdurement auxlégions : c’estCésar lui-même quinous enparle etnomme celui qu’ilvavaincre, Vercingétorix. Maiscomment êtresûrd’une histoire quin’est racontée queparson vainqueur ? Àdire vrai, decette conquête romaineonnesait pasgrand-chose. Certainshistoriens enminimisent l’horreur. Aucontraire, certainsautresparlent parfoisde« génocide gaulois »etchiffrent lesmorts pardizaines de milliers. Une chose estsûre, cesont lesRomains qui, in fine , ont donné unnom etune...
-
L e notariat à votre service / 217
L'action de «NOTARIAT 2000 »
L e C IRPIN que nous venons de citer est plus connu sous
le nom d e« NOTARIAT 2000 », qui est le titre d'une revue
qu'il édite.
218 / Le notariat à votre service Signalons que le siège de « NOTARIAT 2000 » est contigu à l'important immeuble de la société «NOTARIAT SER VICES». Cette société holding regroupe plusieurs sociétés desti nées à permettre aux notaires de rendre un meilleur service à leurs clients dans un certain nombre de domaines. Notamment: - Le C.N.P.H. (Centre national de prêts hypothécaires) a créé un certain nombre de types de prêts hypothécaires...
-
-
La Personne. — Dans quelle mesure la société contribue-t-elle à sa formation ?
PERSONNA LITÉ. - PERSONNE ET SOCIÉTÉ 173 etc ... etc ... On en trouvera une admirable analyse dans un chapitre de Ch. Blondel (lect.). II . - IMPORTANCE DE CES DISTIN CTIONS. Si nous avons beaucoup insisté sur cette que-stion de vocabulaire, c'est qu'elle est importante pour notre préparation de l'examen. A l' écrit surtout (car à l'oral l'examinateur peut remettre sur la bonne voie) des contre-sens seraient à craindre. Si, ayant à disserter sur la...
-
Percevoir est-ce interpréter ?
choses telles qu'elles sont ? Pour Husserl, le fondateur de la phénoménologie, la conscience est toujours liée à uncorps. Or, c'est toujours autour de ce corps que les objets se disposent, en sorte que la perception des objets n'estpas perception en soi, mais perception du point de vue de mon corps. Cette idée se prolonge par le statut que confère Husserl à la conscience. Selon notre auteur, celle-ci est toujours conscience de quelque chose, c'est-à-dire qu'elle se rapporte toujours, d'un certa...
-
l'appellerons-nous, Théétète ?
LA CONCEPTION DU SAVOIR 243 venons-nous de dire par ces mots différent et identi que? Est-ce que ce sont deux genres différents des trois premiers, bien que toujours mêlés nécessaire ment à eux ? faut-il en compter cinq et non pas trois, ou bien en disant : identique et différent, est-ce que nous n'employons pas un terme qui revient à l'un ou à l'autre de ces trois genres? - T. Il se peut. - É. Voyons, mouvement-repos, en...
-
La vie d'Ernest Psichari
En 1908, il nous revint plein d'enthousiasme.
Nous y venons pour faire un peu de bien a ces terres maudites. Mais nous y venons aussi pour nous faire du bien a nous-memes. L'Afrique est un des derniers refuges de l'energie nationale, un des derniers endroits ou nos meilleurs sentiments peuvent encore s'affirmer, ou les dernieres consciences fortes ont l'espoir de trouver un champ a leur activite tendue. Ce noble pays revela a ce soldat francais les vertus de la guerre: Nous reviendrons, dit-il, a l'opinion du peuple qui est la guerre. De...
-
La liberté est-elle un fardeau ?
Nous venons de voir que la liberté est une valeur essentielle dans notre société pour permettre l'épanouissement dechacun. Cependant, nous allons voir que, devenue primordiale, elle peut aussi être perçue comme une contrainte. «Je suis condamné à être libre» a déclaré Sartre. Le mot condamné nous ramène bien à la notion de contrainte, defardeau. Effectivement ont peut sentir peser cette liberté sur nous, par le déterminisme qui nous empêche semble-ild'être nous même et de nous exprimer comme bon...
-
Dissertation gratuite: Un être libre est-il un être imprévisible ?
soit pas déterminer causalement ? Ce qui nous ramène à notre problème qui était de savoir si l'on peut seulement définir la libertépar la spontanéité. Nous allons donc dans cette deuxième partie montrer qu'un être libre n'est pas absolument imprévisible. C'est donc dans ce second temps que nous allons voir qu'il est tout de même possible de prévoir les agissements d'un être libre.Si on prévoit les choses, c'est qu'elles obéissent à une certaine rationalité. L'être libre serait alors un fou, un c...
-
Une dénonciation du matérialisme et de l’économisme dans Le
Meilleur des Mondes d'Huxley
Nous venons de voir, dans le chapitre...
Une dénonciation du matérialisme et de l’économisme dans Le Meilleur des Mondes d'Huxley Nous venons de voir, dans le chapitre précédent, à quels résultats contraires pouvait aboutir la volonté de faire le bonheur de l’homme en lui épargnant totalement la souffrance. Mais la définition matérialiste du bonheur, telle que nous l’avons énoncée ci-dessus (cf. p. 62), comporte un autre grand critère, à savoir la satisfaction systématique des besoins et des appétits de l’homme. Et les implications de...
-
CONSEILS UTILES
• L'étape que nous venons d'aborder de façon détaillée,
parce qu'elle soulève de nombreu.ses questions d'ordre non
seulement...
CONSEILS UTILES • L'étape que nous venons d'aborder de façon détaillée, parce qu'elle soulève de nombreu.ses questions d'ordre non seulement méthodologique mais théorique, constitue un moment important de votre travail. Il va de soi cependant que les textes proposés ne renvoient qu'à quelques-uns des paramètres présentés : ainsi les difficultés d'interprétation se réduisent en principe au minimum, et si un jour de contrôle ou d'examen vous ne connaissez ni l'auteur de la page ni l'œuvre d'où c...
-
-
> de
Voltaire
VANITÉ DES DISCOURS
Nous venons de voir que Voltaire récuse toute métaphy
sique. Il ne s'en tient...
> de Voltaire VANITÉ DES DISCOURS Nous venons de voir que Voltaire récuse toute métaphy sique. Il ne s'en tient pas là et propose dans les dernières lignes du livre un idéal de vie ou du moins une recette pour trouver ce que la terre peut nous offrir de bonheur. « Il faut cultiver notre jardin » : aucune formule, peut-être, n'a suscité autant d'exégèses - ce qui est vraiment un comble, car s'il est une leçon qui se dégage à l'évidence du chapitre final de Candide quand on le lit sans préventio...
-
A quoi l'art peut-il servir ? (Art & Utilité ?)
autrement dit la chose elle-même, va consister, selon la première interprétation, dans « ce autour de quoi... se sontgroupées de telles qualités » (Heidegger, ibid., p. 16). On pourra alors définir l'être de la chose comme « le supportdes qualités marquantes » de celle-ci. En choisissant une seconde interprétation, on peut estimer que l'être de lachose réside dans « l'unité d'une multiplicité sensible donnée » (id., ibid., p. 18). Or cette seconde interprétationnous interdit tout autant que la p...
-
Faut-il toujours suivre la conscience ?
Aristote ne tire pas une telle conclusion. L'homme est responsable des habitudes qu'ilcontracte, et donc de son caractère mais peut-on réellement choisir sa vie ? Nous pouvonschoisir de ne pas satisfaire un désir immoral mais cela est plus aisé pour certains que pourd'autres. c) La possibilité de choisir le bien contre l'agréable ne pose, semble-t-il, pas de problème, cela se complique quand le choix porte entre le bien et le nécessaire. En reprenantl'exemple du vol, si pour surv...
-
Le beau est aussi une propriété des œuvres de G.-W. F. HEGEL
Une réflexion qui se rattache à ce que nous venons de dire est celle-ci: l'art a un but qui lui est commun avec beaucoup d'autres manifestations de l'esprit et qui consiste à s'adresser aux sens et à éveiller, susciter des sentiments. Et pour être plus précis, on ajoute que l'art est fait pour éveiller en nous le sentiment du beau. Ce sens ne serait pas inhérent à l'homme, en tant qu'instinct, ou comme quelque chose qui lui se...
-
Comment n'en conviendrais-je pas ?
LA CONCEPTION DU SAVOIR 237 mais parce que celui-ci possède de la petitesse à côté de la grandeur de Simmias.- C. C'est vrai. -S. À son tour, s'il est dépassé par Phédon, ce n'est pas parce que Phédon est Phédon, mais parce que Phédon possède de la grandeur à côté de la petitesse de Sim mias. - C. C'est cela. - S. Voici donc comment Simmias a la dénomination , lui qui est au milieu entre les deux : en soumettant sa petitesse à l...
-
braves musiciens qui tracassent les cordes et les mettent à la torture en les tordant sur les chevilles.
76 PLATON PAR LUI-MÊME nous l'avons vu, d'abord vers les vivants, puis vers les astres, enfin vers le soleil lui-même. De même que ce parcours accède à la cime du monde visible, de même lorsqu'on entreprend dans la dialectique, sans recourir à aucune sensation, d'accéder par la raison à ce que chaque chose est en elle-même et qu'on n'a de cesse avant d'avoir atteint par la seule intelligence intuitive ce que le Bien est en lui-même...
- la division du travail