Catégorie : Fiches de lecture
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JOHANN GOTTLIEB FICHTE : FONDEMENT DU DROIT NATUREL SELON LES PRINCIPES DE LA DOCTRINE DE LA SCIENCE (Résumé & Analyse)
Le droit dlri.ve de la moriile 1 4~M~• Un droit dissocié de la morale n'est qu'une abstraction, voire une chimère. Il n'est qu'un fait que l'on érige arbitrairement en droit. Ce dernier doit être l'instrument de la morale. Le droit est une convention sociale 1 1 n'existe pas de dr oit , au se ns contraignant ou res tri c tif du terme, en dehors d' un e volonté humain e. Autrement dit, le droit ne naît qu e dans et...
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JOHANN GOTTLIEB FICHTE : SYSTEME DE L'ETHIQUE D'APRES LES PRINCIPES DE LA SCIENCE (Résumé & Analyse)
La morale ne relève pas seulement de la conscience individuelle tH•U• La morale concerne prioritairement l'unité des consciences. Elle doit affirmer la nécessité de la communauté sociale. Ce n'est pas l'homme qui est une fin en soi, mais le Moi absolu, c'est-à-dire l'humanité. La lllorale vise l'unité sociale M êm e si le dro it per m et d 'assoc ier l es individu s, il ne le fait qu 'ex té ri e urem ent. Ces • L:honvne n'est un h...
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ALAIN FINKIELKRAUT : LA SAGESSE DE L'AMOUR (Résumé & Analyse)
L'amour ne SU'pprime 'fXlS la distance avec l'autre •~M~• Le rêve d'une fusion affective ne peut se réaliser. L'amour nous fait découvrir la véritable différence de l'autre. La distance n'est jamais comblée, même dans l'intimité la plus grande . L'amour nous révèle la véritable différence A lain Finkielkraut, dans La Sagesse de l ' amour, nous montre comment l'amour , loin de supp rim er la distance avec l'autre , nous révèle la...
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ALAIN FINKIELKRAUT : LA DEFAITE DE LA PENSEE (Résumé & Analyse)
1987 Le plai ir s'oppose-t-il à la culture? ~La culture exige un effort intellectuel et l'affirmation de hautes valeurs. Notre société hédoniste hait la vraie culture. 49 Il n'y a pas de culture sans plaisir. Le goût de l'esprit et de la beauté se cultive.
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PAUL FEYERABEND : CONTRE LA METHODE (Résumé & Analyse)
I:an.archisme mlthodologique ne permet 'fJ'1S iJ la science • ~ [.] ~ I de progresser L'anarchisme ne fait pas progresser la science. La science, aujourd'hui, ne se fonde que sur des données observables. Ses bases sont solides et n'ont pas besoin d'être sans cesse contestées. La science de l'Église. Auj o urd 'hui , Une théorie a conquis la base d e n otre sa vo ir doit être logique son autonomie es t sta ble e t n'a p lus et...
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LUDWIG FEUERBACH : L'ESSENCE DU CHRISTIANISME (Résumé & Analyse)
La. religion n'est pas la négation de l'essence de l'homme -~[.]~• La religion révèle à l'homme son origine divine. Elle lui fait comprendre les raisons de son existence ici-bas. C 'est elle qui le guide. L'essence de l'homme est dans la quête de la suprême félicité. L'homme est à l'image de Dieu D ieu, dit la Bible, a c réé le monde et l'a peuplé d'êtres vivants. Parmi tous ces êtres , seul l 'homme est à son image. •Dieu...
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LUDWIG FEUERBACH : PRINCIPE DE LA PHILOSOPHIE DE L'AVENIR (Résumé & Analyse)
La religion n'est 'fXlS un obstacle au progrès moral Ut-)~• C'est toujours la foi, que ce soit la foi en l'homme ou bien la foi en Dieu , qui me conduit à agir moralement. A ce titre, l'esprit religieux a plutôt tendance à venir au secours de l'éthique. Sans foi, il n'y a plus de morale 1 'athé is m e est en co re L un e fo rm e de c ro ya nce . Je peu x ê tre ath ée et n éa nm oin s me sou me ttre à des im pé rat i fs mo...
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LUC FERRY : LE NOUVEL ORDRE ECOLOGIQUE (Résumé & Analyse)
C'est l'éc ologie qui est antihumaniste •~M~• !:écologie profonde, c'est la haine de l'homme. En voulant instau rer la suprématie de la nature, elle nie la liberté humaine. Elle repose sur une nostalgie dangereuse des origines et de la pureté. L'écologie pro· fonde nie la spéci ficité de l'homme par rapport à la nature C omme l'ont vu Kant et Rou sseau , cet te spécificité est d 'ê tre un être libr e et moral. La libert...
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HERACLITE D'EPHESE : FRAGMENTS (Résumé & Analyse)
Antiquité __ ____...rm et identique», que l'identité traverse la différence, et que la différence est au cœur de l'unité. t Le monde est en éternel devenir* Ce qui fait qu'on est sourd à l'unité du monde, c'est qu'on ne comprend pas le temps: le monde est en devenir, mais un devenir cyclique (cycle des saisons, des générations ... ). Tout se transforme en tout, mais cela ne condamne pas à une multiplicité informe, chaotique, car si « tout coule...
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UMBERTO ECO : L'OEUVRE OUVERTE (Résumé & Analyse)
i 1, L 21 • Œuvre ouverte / 111 dans des situations de ce type, l'interprète dispose d'une certaine marge de manœuvre, et, bien que le texte· soit scrupuleusement respecté, on n'écoutera jamais exactement la même suite de Bach, on assistera à autant de Phèdre qu'il y aura d'actrices et de metteurs en scène. En tenant compte de cette marge laissée à l'interprète ou au lecteur, Umberto Eco parle d'une ouverture au premier degré. Mais, à côté...
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EMILE DURKHEIM : LES REGLES DE LA METHODE SOCIOLOGIQUE (Résumé & Analyse)
LL ES REGL \ E E M M I I L L E E D D U U R R K K H H E E I I M M ES REG L ES ES DE DE LL A A MET M E T HODE H O DE SOCIOLOGIQUE S O CIO LO GI QUE
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EMILE DURKHEIM : LE SUICIDE (Résumé & Analyse)
- 2 - Introduction 1. Résumé du livre 2. Explication de la thèse de Durkheim 3. Le suicide avant et après Durkheim Conclusion
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DENIS DIDEROT : JACQUES LE FATALISTE ET SON MAITRE (Résumé & Analyse)
Locution : « Il ne tiendrait qu’à moi. » Ludique : (1an, 2 ans.) C’est la parfaite liberté du narrateur que privilège Diderot qui a lu Spinoza (qui défend le panthéisme : athéisme de système Dieu se confond avec le tt.) B) La religion (INEFICACE) Elle apparait à travers : …..Les formules stéréotypées : « Donner au diable son prochain » De telles formules montrent la banalisation, l’inefficacité de la religion. …. Les questions existentielles qui ouvrent le roman. Ces questions porten...
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DENIS DIDEROT : SUPPLEMENT AU VOYAGE DE BOUGAINVILLE (Résumé & Analyse)
B ? Lit Le Voyage de Bougainville.A ? S'informe.Entre les dialogues introductif et conclusif, se d?oule un compte rendu de lecture, celle d'un livre : Le Voyage deBougainville, qui est pr?ent?par B, avec quelques interventions de A (chapitres II, III, IV). Conclusion : suite du dialogue entre A et B (chapitre V).Le brouillard est retomb?: ils vont donc pouvoir sortir apr? d?er, du moins si les femmes le souhaitent...Entre l'introduction et la conclusion, le r?it se fait g??alement sous la forme...
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DENIS DIDEROT : LE REVE DE D'ALEMBERT (Résumé & Analyse)
Le Rêve de d'Alembert, de Denis Diderot Pour ses contemporains, Denis Diderot (1713-1784) est d'abord l'éditeur de l'Encyclopédie avec puis sans d'Alembert(1717-1783). Son œuvre plus personnelle, elle, est réservée à un public restreint : l'essentiel de ses « grands »textes n'a pas été diffusé au-delà du cercle immédiat des « philosophes », où ils circulaient sous forme manuscrite.Si cette clandestinité l'a longtemps empêché d'occuper la place majeure qui est ensuite devenue la sienne dans lepan...
- DENIS DIDEROT : LETTRE SUR LES AVEUGLES (Résumé & Analyse)
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- ETIENNE BONNOT DE CONDILLAC : ESSAI SUR L'ORIGINE DES CONNAISSANCES HUMAINES (Résumé & Analyse)
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AUGUSTE COMTE : DISCOURS SUR L'ESPRIT POSITIF (Résumé & Analyse)
monothéisme. Cette opposition s'est finalement étendue au monothéisme lui-même, que la science remplace dansson double office mental et social. Une des manifestations décisives de l'ascendant de l'esprit positif a été latransaction métaphysique associant la Nature à Dieu, les Lois aux Volontés. Une autre manifestation de cetascendant a été la substitution du principe des conditions d'existence au dogme des causes finales. Cettesubstitution fait ressortir, de plus en plus,...
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CESARE BONESANA, MARQUIS DE BECCARIA : DES DELITS ET DES PEINES (Résumé & Analyse)
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)D�LITS ET DES PEINES (DES), Dei deletti e delle pene, 1764. BECCARIA (Cesare Bonesana, marquis de) 1738-1794. ' Beccaria propose une idée neuve pour son temps: la justice n'est pas la servante de la religion; une condamnation ne venge pas une offense à la divinité. Le droit ne doit être défini et jugé que comme instance sociale. Sa raison d'être est l'utilité. On est ici au cœur de l'inspiration politique anti absolu...
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JEAN BODIN : LES SIX LIVRES DE LA REPUBLIQUE (Résumé & Analyse)
POUVOIR POLITIQUE, ÉTAT• 345 jour le véritable fonctionnement des institutions politiques. Cette analyse faite, il s'en servira pour montrer que la « monarchi~ royale » est le meilleur des systèmes. Le mot « République », chez Bodin, correspondant à ce que nous appelons l'Etat, nous utiliserons indifféremment l'un ou l'autre de ces termes dans le développement qui suit. Les spécialistes s'accordent donc pour dire que Jean Bodin a été un précurseur...