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Avons-nous besoin des gens qui nous entourent pour trouver notre bonheur ?

Publié le 15/12/2012

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Pour finir, je termine ma dissertation en constatant que la notion de bonheur est différente pour chaque

individu. Nous avons tous envie d'accéder à cet état de bien être. A travers ma dissertation, j'ai pu

constater que le bonheur s'acquière en menant une quête personnelle en trouvant qui nous sommes et ce

qui nous est cher. Ensuite il se vit dans la réciprocité, au contact de nos proches.

Par rapport à la thèse d'André Gide, je reste sur mon opinion de départ qui dit qu'il n'est pas nécessaire

d'être heureux soi-même pour aider autrui à l'être. Nous pouvons rendre notre entourage heureux sans

l'être obligatoirement. Nous suscitons du bonheur à autrui avec des attentions, des gestes ou des

sourires. Il faut entretenir le bonheur comme un jardin pour qu'il reste.

« y a aussi les personnages de fond ou deuxièmes rôles qui sont tout aussi importants.

Ils font partie d'un tout construit dans un but général.

Le personnage principal fait avancer l'histoire et donne du sens aux actions.

Les personnages de fond sont essentiels pour accompagner le héros.

Ensemble ils racontent l'histoire du film.

Ils ont besoin des uns et des autres pour progresser. Deuxièmement c'est seulement lorsque nous avons atteint notre propre bonheur seuls que nous pouvons le partager avec les autres.

Durant notre vie, il est préférable de d'abord atteindre individuellement notre propre bonheur en trouvant l'état de satisfaction de soi par une quête. C'est un travail de longue haleine! Une fois ce but atteint, et que nous sommes suffisamment heureux, nous pouvons essayer d'aider les autres dans leur propre recherche en les guidant dans cette démarche.

Pour autant qu'il le désirent. Par exemple, dans le film Into The Wild de Sean Penn, le héros, un jeune étudiant brillant, décide de partir sur les routes d'Amérique en solitaire.

Il traverse une partie de son pays, tout en faisant des petits boulots pour pouvoir continuer son voyage.

Il fini par arriver en Alaska.

Il se réfugie dans un bus abandonné.

Il y passe cinq mois de solitude.

Il découvre le bonheur qu'il a toujours recherché et une paix intérieure.

Au bout de deux semaines passée dans ce bus où il a connu le bonheur, il décide de rentrer chez lui.

Ce voyage lui permet de comprendre que la solitude n'est pas faite pour l'homme et que « le bonheur n'est réel que lorsqu'il est partagé ». Le héros de ce film met en œuvre une quête pour trouver son bonheur personnel.

Après avoir découvert celui-ci il réalise qu'il a aussi besoin de son entourage pour avancer. Pour conclure la thèse d'André Gide, nous sommes les seuls auteurs de notre bonheur.

Il ne se communique pas à autrui.

Mais notre entourage peut contribuer à la recherche de ce sentiment de bien-être, être présent à nos côtés pour nous aider à progresser et à avancer. Seulement une fois le bonheur atteint, nous pouvons le transmette à nos proches et les aider dans leur propre recherche. Je vais développer la thèse en accord avec mon opinion.

Elle dit qu'il il n'est pas nécessaire d'être heureux soi-même pour aider autrui à l'être. Premièrement les gens qui nous entourent peuvent nous procurer du bonheur.

Le bonheur est transmissible pas seulement à nos proches mais aussi avec ceux avec qui nous rentrons en contact non directement.

Le bonheur est transmissible par un visage heureux, un rire convivial, une présence, un geste communicatif ou simplement une pensée. Le fait d'être simplement avec quelqu'un que nous aimons et qui nous fait nous sentir bien peut nous procurer un bien-être intérieur. Le bonheur peut être contagieux comme un virus.

Le simple fait de voir notre entourage heureux peut nous fournir de la satisfaction.

Le bonheur est influencé par les personnes qui nous entourent.

Il influence notre moral et nous permet d'atteindre satisfaction.

C'est comme une chaine. Par exemple, si notre bonheur peut être transmis à nos voisins, il peut être diffusé comme un virus.

Notre voisin va le communiquer à ses proches, et ceux-ci vont le répandre à leur famille, à leurs amis etc. On peut prendre comme image le virus de la grippe espagnole, qui a débuté en 1918 et se termina en 1920.

La grippe s'est transmise à plus de cent millions de personnes.

Le bonheur est diffusible mais n'est pas dangereux pour la santé.. »

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