177 résultats pour "bientôt"
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côté du fringant général La Fayette, chef de la garde nationale, le roi prête serment à la Nation assemblée.
Waterloo, en1815. Elledoit servir àclarifier leschoses. Elleaboutira àbouleverser lecours delaRévolution. Tout vasivite, alors. Le20 juin 1792,journée révolutionnaire : lepeuple veutêtresûrdes sentiments patriotiques du roi. Une foule immense desans-culottes entreauxTuileries etlecherche. Ilsletrouvent, lecoincent dans l’embrasement d’unefenêtre, leforcent àporter lebonnet rougedelaRévolution. C’estunavertissement àla vieille royauté capétienne, c’estunchiffon écarlate brandiaunez despuissances,...
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bien riche, par ma foi, pour gaspiller ton argent de cette façon !
Miss Sarah Pocket, etnon Estelle, vintm’ouvrir. « Comment ! c’estencore toi ?ditmiss Pocket. Queveux-tu ? » Quand jelui eus ditque j’étais seulement venupoursavoir comment seportait missHavisham, Sarahdélibéra si elle merenverrait ounon àmon ouvrage. Maisnevoulant pasprendre surelle une pareille responsabilité, elleme laissa entrer, etrevint bientôt medire sèchement quejepouvais monter. Rien n’était changé, etmiss Havisham étaitseule. « Eh bien ! dit-elle enfixant sesyeux surmoi, j’espère quetun...
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issue.
23 Yvan avaitconsacré unepartie deson dimanche àétudier lesminces documents quesonclient avait transmis àChristie’s. Àbord duvol AF857, unehôtesse passaentrelesrangées defauteuils et proposa unpetit déjeuner. L’odeurducafé etlavue desviennoiseries tentèrentYvan.Ildéplia sa tablette. L’avionvenaitdequitter Paris.Dansuneheure, ilatterrirait àBordeaux et,en finde matinée, il serait dansunevilla dubassin d’Arcachon. Yvann’avait pasprévu dedormir surplace, maisletravail qui l’attendait neluipermettra...
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de chaise pour aller s'asseoir plus près du docteur, et
lequel ildevait monter ; ilallait êtreabsent, disait-on, pourplusieurs années,àmoins qu’ilnepût obtenir uncongé, ou que sasanté nel’obligeât derevenir plustôt.Jeme souviens qu’ondécida quel’Inde étaitunpays calomnié, etqu’on n’avait autrechose àycraindre qu’untigre,par-ci par-là, etune chaleur unpeu excessive aumilieu dujour. Pour mon compte, jeregardais M. JackMaldon commeunmoderne Sindbad ; jeme lereprésentai commel’amiintime detous les rajahs del’Orient, assissousundais, etfumant deshookabs d...
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AUBIGNÉ Théodore Agrippa d' : sa vie et son oeuvre
il se réfugie à Genève, où il s'occupe des fortifications de la ville et se remarie. Avant de mourir, au terme d'un «hiver» malgré tout serein, il voit son fils Constant, le père de la future Mm• de Maintenon, se révolter contre lui, et il assiste. avec le siège de La Rochelle, à la défaite du parti qu'il avait servi par l'épée et par la plume. Un Printemps de péchés Émule de Ronsard, qu'il révère en dépit d'un engage ment politique diamétraleme...
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Préambule
Le second Empire et Napoléon III n'occupent pas une place très enviable dans notre conscience collective.
qu'il améditées, mûries,etqu'il vaimposer àun entourage rétifetune opinion versatile, sansjamais céderàla tentation duconfort etdu conformisme. Ce qui faitdeLouis Napoléon unhomme àla fois attachant etrespectable, cen'est passeulement sonoeuvre, aussi impressionnante quemalcomprise, passeulement sonhabileté etlaforce decaractère dontila fait montre pourpasser del'exil aupouvoir, c'estaussi etsurtout safidélité àses convictions. Touthomme public,à la faveur demille petites lâchetés successives et...
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elle la rencontre par hasard.
d'une cause quilesdépasse. Pour sapart, Louis Napoléon, préféreraitsouventêtreailleurs, libre d'orienter sonesprit verssesdomaines dedilection. Ons'ennuie souventàla Cour, etLouis Napoléon sans doute plusquetous lesautres. Enmaintes occasions, onsent qu'ilpense àautre chose, poursuivant une idée, mûrissant uneintention, échafaudant uneinitiative. Néanmoins, unprotocole stricts'imposait :au début, onavait euune fâcheuse tendance àimproviser. Ainsile soir durepas denoces, fautederègle bienétablie,...
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CHAPITRE NEUF LES HAVRES GRIS
tout le monde les appelait à présent), pour avoir leur avis. « Je me demandais quand tu y penserais, dit Frodon. Ouvre -la ! » Elle était remplie d’une poussière grise, douce et fine, au milieu de laquelle se trouvait une graine semblable à une petite noix à la coquille argentée. « Que puis -je faire de ça ? » dit Sam. « Jette le en l’air par un jour de vent et laisse le faire son œuvre ! » dit Pippin. « Sur quoi ? » demanda Sam. « Choisis un endroit comme pépinière, et...
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Article de presse: Klaus Barbie, ou le crime sans reniement
confiance qu'il inspirait : camarade irréprochable, des performances dans le service excellentes, un comportement de SSexemplaire tant dans le service qu'en dehors. Une phrase était ajoutée : " son opinion relative à la conception du monde nazi estconsidérée comme affirmée ". Au printemps 1940, la Hollande réduite, il était affecté à Amsterdam au groupe d'intervention de la police de sécurité. Il devaitaffirmer qu'il ne fit là que rechercher des renseignements sur des questions de politique i...
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emile zola
personnages ont donc à la fois une nature et une histoire. Le portrait est statique lorsqu'il témoigne des dispositions et dynamique quand il enregistre les réactions. Assez économe de ses moyens, Zola, dans ce roman court et à effets qu'est Thérèse Raquin, brosse des portraits rapides autour de caractérisants fonctionnels et systématiques, mais il a conçu ses principaux personnages en évolution. Il leur fait vivre des transformations. Telle est l'expérience qu'il livre au lecteur. Par exemple,...
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Élégante et raffinée, battue par le flux de millions de touristes, provinciale à ses heures
dans ses fonctions de métropole toscane, Florence est une ville exceptionnelle par la
richesse de son héritage historique.
Italie - l'Arno et le Ponte Vecchio, à Florence, page 2618, volume 5 Un illustre foyer de civilisation Jusqu'au XII e siècle, Florence occupa une place modeste dans l'histoire italienne. Municipe romain et siège d'une colonie de vétérans au I er siècle avant J.-C., elle passa successivement sous l'influence des Goths, des Byzantins puis des Lombards, avant d'être comprise dans le marquisat de Toscane et, par celui-ci, dans le royaume d'Italie et le Saint Empire romain germanique. Bénéfici...
- DON QUICHOTTE
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Le Reich capitule
des partisans, et à la fin d'avril ils ont libéré Vérone, Venise et Trieste. Sur le front de l'Est, les Soviétiques, après un bond enjanvier de la Vistule à l'Oder, poursuivent une irrésistible marche en avant : en avril, l'Oder franchi, ils écrasent les défensesallemandes en Poméranie et en Brandebourg, occupent Vienne, encerclent Berlin, dont ils s'emparent après des combatsacharnés. Le 2 mai, le drapeau rouge flotte sur le Reichstag. Certes, parallèlement à ces succès spectaculaires, l'ent...
- La leçon de violon de Hoffmann
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Article de presse: La " vache folle ", chronique d'une négligence d'Etat
Le comité prend néanmoins une première recommandation de bon sens : la destruction des carcasses d'animaux infectés.Proposition adoptée par le gouvernement, qui offre de compenser auprès des malheureux éleveurs 50 % du prix des animauxdétruits. Non content d'avoir déjà laissé recycler au moins six cents carcasses d'animaux déclarés malades sans parler des autres, le ministre de l'agriculture, avare de ses deniers, dissuade les fermiers de rapporter scrupuleusement le moindre cas de maladiesurven...
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Molière.
« l’École des femmes » et l’Impromptu de Versailles ) dans lesquelles il se mit en scène avec ses comédiens pour tourner en dérision ses détracteurs (petits marquis, fausses prudes et comédiens de l’Hôtel de Bourgogne). Les détracteurs ne cessèrent pas leurs attaques pour autant, mais Molière jouissait de la protection du roi et recevait régulièrement de lui des commandes pour les fêtes de la cour, en particulier les grandes fêtes dites des « Plaisirs de l’Île enchantée », pour lesquelles Mol...
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Molière - littérature.
« l’École des femmes » et l’Impromptu de Versailles ) dans lesquelles il se mit en scène avec ses comédiens pour tourner en dérision ses détracteurs (petits marquis, fausses prudes et comédiens de l’Hôtel de Bourgogne). Les détracteurs ne cessèrent pas leurs attaques pour autant, mais Molière jouissait de la protection du roi et recevait régulièrement de lui des commandes pour les fêtes de la cour, en particulier les grandes fêtes dites des « Plaisirs de l’Île enchantée », pour lesquelles Mol...
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LE DRAME EN LITTERATURE
res qu'il faut mettre sur la scène. mais les conditions. Jus qu'à présent. dans la comédie. le caractère a été l'objet principal. et la condition n'a été que l'accessoire; il faut que la condition devienne aujourd'hui l'objet principal et que le caractère ne soit que l'accessoire. C'est du caractère qu'on tirait toute l'i ntri gue . On cherchait en général les circons tances qui le faisaient sortir, et l'on ench aîn ait ces circons tances. C'est la con...
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MALRAUX André : sa vie et son oeuvre
dans le logement surplombant l'épicerie familiale de Bondy. Il fréq uente le collège, puis, à dix-sept ans, décide de prendre en main sa propre éducation. Pas sionné d'art, élève au musée Guimet et à l'école du Louvre, ce lecteur insatiable apprend le sanskrit. Il gagne sa vie dans le commerce des livres d'occasion, et cette activité l'introduit auprès d'intellectuels chevronnés (Gide, Max Jacob, Reverdy) qui l'encouragent à écrire : la revue...
- nommer
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1900 - 1994: CHRONOLOGIE ARTISTIQUE
Antonio Gaudí fait la décoration intérieure de la cathédrale de Palma.1905Aleksandr Constantinovicht Glasounov est nommé professeur au conservatoire de Saint-Petersbourg, puis directeurjusqu'en 1928. Arnold Schoenberg compose le premier quatuor à cordes. Études d'Oscar Kokochka à l'école des Artsdécoratifs de Vienne. Composition durant les quatre années passées là de deux drames Le Sphinx et l'Épouvantail etAssassin espérance des femmes avec l'affiche Pieta, une des œuvres maîtresses de l'E...
- Madame bovary
- candide ou l'optimisme
- Émile Zola LA CURÉE (1872)
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I
Au retour, dans l'encombrement des voitures qui rentraient par le bord du lac, la calèche dut marcher au pas.
mondaines envoiture découverte, menaçaitdeseterminer parune soirée d’unefraîcheur aiguë. Un moment, lajeune femme restapelotonnée, retrouvantlachaleur deson coin, s’abandonnant aubercement voluptueux de toutes cesroues quitournaient devantelle.Puis, levant latête vers Maxime, dontlesregards déshabillaient tranquillement lesfemmes étaléesdanslescoupés etdans leslandaus voisins : – Vrai, demanda-t-elle, est-cequetulatrouves jolie,cette Laure d’Aurigny ? Vousenfaisiez unéloge, l’autre jour,lorsqu’o...
- Le siècle de Louis XIV
- 861 SUJETS-TEXTES DE L’ÉPREUVE DE PHILOSOPHIE AU BACCALAURÉAT